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Un visiteur
3,5
Publiée le 30 avril 2011
Un film divertissant qui nous montre les limites de la spéculation! Les acteurs sont bons quoi que le film un peu long à démarrer, un peu d'humour plutôt agréable.
Un film partant sur une bonne idée, mais la fin tourne un peu au n'importe quoi vindicatif. Les acteurs principaux sont en diapason avec leur sujet et montrent une grande diversité dans leur jeu. On passe du rire à la colère, en apssant par le sourire et l'atterrement.
Le film démarre un quart d'heure avant la fin. Comédie sociale où il ne se passe rien, hormis de grosses caricatures. Une fin sans fin…. Je reste sur ma faim. Le vide absolu, le trou noir. A fuir.
j ai adore ce film, sa change des autres meme si la fin et un peu decevante ( c est pour ca que j ai enleve une demi etoile) mais sinon les acteurs jouaient tres bien surtout l actrice principale! A voir, change les idees!
Voici un film qui nous a beaucoup plu. L'humour, souvent cynique, est très bien utilisé et le réalisateur casse les clichés du genre pour notre plus grand plaisir. Ce film, qui pourrait paraître léger au départ, bénéficie aussi de belles performances d'acteurs et d'un message de fond engagé.
Manque cruel de subtilité dans ce film où Cédric Klapisch nous livre une vision manichéenne du monde de la finance où l'employée d'usine du nord est hyper sympa, tendre, gentille comme tout alors que le trader est un salaud, sans-coeur, orgueilleux. Tout ça est banal, déjà vu et loin de ce que Klapisch sait faire de mieux d'habitude.
Un film plein d'émotions, une Karin Viard excellente,seulement je suis très déçue de la fin. Ce film est à voir, Karin est etonnante, elle sauve la prestation de Gilles Lelouche qui est assez bonne mais sans plus.
Cedric Klapish fait du cinéma engagé, ses films transposent toujours un message social emprunt d'un réalisme appréciable comme dans «Paris» par exemple... «Ma part du gâteau» arpente un versant un peu différent car pour arriver à ses fins le réalisateur use de personnages et de dialogues qui manquent franchement de subtilité. Partant d'une opposition trader/ouvrière sans nuance, présentant deux mondes caricaturaux au possible à la manière d'une fable moderne, c'est en versant l'un dans l'autre qu'il commence à trouver un dosage intéressant. Mais avec ses ficelles très manichéennes il n'arrive pas à trouver sa crédibilité et sa résonance dans la réalité qui est la notre. Son message ne passe pourtant pas complètement à côté de la cible et nous invite à réfléchir (un peu), Karin Viard prend son rôle très à cœur et domine un casting bancal, c'est plutôt pertinent mais assez maladroit. On en retient dans l'ensemble un divertissement agréable réservant des moments sympathiques et un final bien pensé, malgré l'avalanche de clichés. Pas si mal.
Une réussite ! Tant du point de vue du scénario (en trompe l'oeil, puisque que Clapich nous fait croire à un remake de pretty woman avant de tout envoyer péter), de la direction d'acteurs (Lellouch et Viard en tout point formidables) que de la réalisation maîtrisée et formellemnt belle, jamais tape à l'oeil... Un film à voir et pourtant pour lequel les critiques sont frileuses voire totalement injustifiées lorsqu'elles ignorent les qualités de cette oeuvre (encore réussie) de Cédric Clapich.
Un film, ça fait toujours plaisir, soit pendant qu'on le regarde, soit lorsqu'il se termine enfin. Cédric Klapisch nous inflige ici un cours d'initiation à la dialectique trotskiste. Alors forcément, comme c'est un cours débutant, il faut simplifier : les riches sont méchants, très méchants, et les pauvres ouvriers sont gentils, très gentils. Malheureusement pour la thèse des méchants traders, l'auteur ou peut-être Gilles Lelouche finissent par nous rendre sympathique le personnage du trader un peu pommé dans son rôle de père, un peu maladroit avec les femmes, mais finalement plutôt amoureux. Et à la fin, on ne comprend plus pourquoi les ouvriers le coursent, puisqu'il est bien plus malheureux qu'eux. Au passage, le scénario semble justifier (proposer ?) l'enlèvement d'enfant comme un acte totalement révolutionnaire.