Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
1,0
Publiée le 21 août 2011
Klapisch a commencé avec un téléfilm qui ressemblait à un film (le péril jeune) il fait maintenant des films qui ressemblent à des téléfilms. Un scénario à la Mimie Mathie sur TF1. Des poncifs gros comme la Déco de Valerie Damido. Il faut se remettre au travail Cédric ca ne va plus du tout
les 40 premières minutes du film son pas mal par contre après ça par en cacahuète c'est trop prévisible et aucune surprise on s'attend à des rebondissements, mais rien ne ce passe en bref petit film petit scénario qui est banal (le riche et la pauvre qui se lie d'amitié) c'est du vu et revu pour ma part le film doit beaucoup aux prestations de karin viard et gilles lellouche qui sont parfait dans leur role et qui sauve le film
Si la mise en bouche par le synopsis et la 1ère heure pour la mise en place est une réussite complète même fragmentés par quelques clichés de toute façon véridique et bien présents, l’essoufflement se fait sentir et l'ensemble devient brouillon. Rien à redire sur les interprétations, également sur le fil conducteur du scénario même s'il ne nous emmène pas où l'on souhaiterait. Dommage que l'immersion de notre trader ne se fasse pas à Dunkerque et que l'on ai qu'une face du problème. Un film qui était voué à dénoncer l'ignominie des traders et d'un monde sans régulations, vraiment dommage que la fin soit totalement loupée, bâclée et reste en suspend ! Comme beaucoup de critiques, quel gâchis avec une fin de la sorte. 3/5 à voir pour la 1ère heure seulement !!!
Pauvre Cédric Klapisch !!!!! Il est loin le temps de l'Auberge Espagnole .... , pour ce pauvre film , scénario raplapla sans aucune ambition ; une toile de fond en critique du monde de la finance ( bien à la mode ) qui sert de support à un film que des lycéens auraient pu écrire , pauvres dialogues , pauvre scénar , pauvre fin , pauvre Karine Viard qui soutient de toutes ses forces un décidement pauvre film !!!! PAUVRE CINEMA FRANCAIS ...... OUFFFFFFF ...... !
Après Paris, nouvelle déception Klapisch. Quand le film se termine on se demande ce qu'il raconte. Est-ce une comédie romantique? une critique sociale? un film engagé (mais contre quoi?)? Vous l'aurez compris, j'ai trouvé le film confus. Klapisch ne tranche jamais, ne choisit jamais l'une des pistes abordées et laisse tout en suspens (le final est d'ailleurs particulièrement révélateur de cette tendance), ce qui est assez frustrant voire vain car certains rebondissements scénaristiques paraissent injustifiés et les dialogues manquent donc cruellement de profondeur. C'est dommage...
Encore un Klapisch bien décevant ! L'histoire, d'une cruelle actualité, est mal ficelée, le scénario accumule les poncifs et les caricatures fadasses, les dialogues sont aussi creux qu'une présentation PowerPoint. Une seule petite lueur, l'interprétation de Karine Viard, fine, drôle et émouvante. Une piètre comédie sociale, très loin derrière les réalisations britanniques !
Ce film est plutot pas mal tout le long mais il s'arrête brutalement. J'ai pensé à une panne de projecteur mais j'ai vu le générique donc j'imagine qu'il n'a tout simplement pas de fin. C'est la première fois que je vois un film qui laisse le spectateur aussi libre de s'imaginer absolument tout ce qu'il veut comme fin!
Du bon Klapish comme très souvent... Tout est présent l'humour, la description des personnages, la colère, la tristesse, l'émotion... Seul petit bémol un côté souvent prévisible! Mais à voir ne serait-ce que par l'interprétation de Karine Viard et Gilles Lellouche de plus en plus parfait role après role
La générosité dont a toujours fait preuve Cédric Klapish dans son cinéma ne se dément pas avec "Ma part du gâteau". Ses personnages sont toujours aussi attachants, son sujet est à nouveau sensiblement humaniste même s'il frôle la caricature. Un thème social qu'il aborde de front avec une sincérité qu'on ne peut pas lui reprocher. Mais la confrontation de deux milieux devient rapidement manichéenne et enfonce des portes ouvertes. La comédie dramatique vire progressivement au drame tout court de façon abrupte mais attendue. Ce n'est pas du Ken Loach (pas assez de recul) et la conclusion du film apparaît comme beaucoup trop démonstrative. Karin Viard est parfaite.
Amusant cette tendance qu’a le septième art à ressortir certains sujet à certaines périodes : il y eu Wall Street, il y eut Inside Job, il y eut ma part du gateau. Car le nouveau Klapisch nous plonge à son tour dans cette célèbre dualité entre traders d’en haut et ouvriers d’en bas. Le résultat en ressort très conventionnel, avec un film qui peine à se lancer mais réserve quelques jolis moments sur le final. Surtout, Klapisch réussit quand même à nous faire rire par moments par quelques réparties bien trouvées. On retiendra enfin une briante confrontation Viard Lellouche, ce dernier excellant dans son rôle de trader, et on ressortira quelques peu ébranlé par ce film…
Un sujet intéressant, et d'actualité, traité avec facilité et beaucoup trop de clichés. La fin est assez ridicule même si la morale qu'elle veut faire passer ne l'est pas.