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Steve M
15 abonnés
141 critiques
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4,0
Publiée le 12 août 2022
Une histoire vrai qui fait froid dans le dos... Néanmoins cet histoire met en lumière la capacité de l'humain à se battre pour sa vie, l'instinct de survie plus fort que tout. La réalisation du film est un peu particulière mais on s'habitue vite. La performance de James Franco est indéniable.
Il y a de quoi être mitigé. La mise en scène du début ressemble à une publicité d’une demi-heure pour un magasin de sport ou une boisson énergisante. Mais il faut reconnaître qu’on ne s’ennuie pas (trop). Le film est assez chargé en émotion pour ce qu’on a vu (un homme coincé 5jours sous un rocher)… En bref, c’est pas du grand cinéma mais ça reste une bonne distraction !
Le 26 avril 2003, Aron Ralston, jeune homme de 27 ans, se met en route pour une randonnée dans les gorges de l'Utah. Il est seul et n'a prévenu personne de son exécution. Alpiniste expérimenté, il collectionne les plus beaux sommets de la région. Pourtant au fin fond d'un canyon reculé, l'impensable survient : au-dessus de lui un rocher se détache et emprisonne son bras dans le mur de rocaille.
127 heures de Danny Boyle de 2010 est un très bon film qu'il faut absolument voir au moin une fois dans sa vie. Inspiré d'une histoire vrais, le film retrace l'histoire vécu d'Aron Ralston campé ici par le fameux James Franco. et donc comment il s'en ai sorti. Le film est très intéressant et nous fait vivre une aventure. Je précise que c'est un film calme donc il ne faut pas s'attendre à du grand spectacle. C'est idiot de ne pas aimer le film juste à cause de ça. chaque film a sa propre ambiance. Je dirais même que ce film est une petite leçon de vie. Je lui met 3,5 et je le conseille vivement.
Pitch : encore une histoire de mec cis hétéro qui se croit plus fort que les éléments, et part seul à l'aventure sans prévenir personne de sa destination.
Bilan : film fort, captivant, traumatisant. Je conseille de le regarder bien entouré.e de ses proches, et surtout pas avant de se coucher. Bon courage.
Bon il est quand même très moyen comme film. James Franco est bon c'est sûr, il colle assez bien pour jouer ce type de héros. Mais le problème est surtout lié à la lenteur du récit, très lié au fait que le film est une copie très fidèle d'une histoire vraie, ce que je n'ai découvert qu'à la fin. Dans tous les cas, il est assez mou comme film, je ne le recommanderai pas, ni ne le regarderai à nouveau, pas grand intérêt.
Je ne trouve pas que les films de Danny Boyle soient tous excellents, mais 127 heures en fait plutôt partie. Porté par un James Franco totalement impliqué dans son rôle, le film arrive à nous tenir en haleine alors que, comme le personnage principal, on est bloqué dans une faille au milieu d'un parc où il n'y a personnes à des kilomètres. Une mise en scène inventive, avec laquelle je n'accroche pas tout le temps pour ma part. Mais elle nous fait suivre le parcours psychologique d'Aron Ralston au cours des 127 heures les plus longues de sa vie, alors au bord de la folie et de la mort. Les flashbacks auraient pu être plus développé mais sinon un bon Man vs Wild. PS: Avertissement aux ames sensibles, une scène est particulièrement violente à regarder, mais ça montre combien on croit à ce que l'on voit !
Sans être un mauvais film, "127 heures" ne parvient jamais à dépasser le fait divers incroyable qu'il est. C'est un peu comme filmer une bête de foire en plan fixe, ça n'en fait pas 'Elephant man". Faire un film sur les attentats du 11 septembre ou sur un jeune homme sportif coincé dans un canyon en se contentant de retracer le déroulement des faits, ça n'a aucun intérêt. La finalité tout le monde la connait, donc on attend le générique de fin. Le sens de la vie, l'homme face à la nature, l'amour, le courage, la réalité vs. l'image, plein de têtes sont survolés et effleurés sans vraiment devenir le sujet. On reste donc sur un film, ni bon, ni mauvais, moi j'attendais une œuvre artistique. Ceux qui attendent une réflexion passeront leur chemin, et ceux qui sont en manque d'action et de suspense, également. Et je passerai sur la stylisation qui, pour vouloir nous imprégner de ce que vit le personnage, est parfois franchement too much.
Si le huis clos est bien mis en scène par Danny Boyle et que la prestation de James Franco est très bonne, le film peine à se trouver. Hormis les scènes finales où il finit par se couper le bras, on ne ressent quasiment jamais le véritable calvaire qu'il a vécu. Les scènes passent et s'enchaînent sans qu'on ne puisse se mettre à sa place. Et pour un film dont c'est le sujet principal, c'est sacrément dommage. Et hormis quelques scènes qui sortent de l'ordinaire, la globalité est très classique et le huis clos n'apporte pas grand chose. Mais le plus frustrant est probablement la fin car le moment où il se coupe le bras doit être le moment clé et pourtant il est presque accéléré. On passe peu de temps face à ce cauchemar à vivre. Il y avait mieux à faire.
Ennuyeux à souhait!Le réalisateur aurait pu ajouter des flash back bcp + intenses. pour alléger la durée du film et sa monotonie.. Soulagé d'arriver à la fin , aussi stupide que le reste par ailleurs...
Film génial, histoire géniale et acteur génial. Le film nous raconte l'histoire vrai d'un homme qui c'est coincé le bras sous un rocher pendant 127 heures ( d'où le titre). Je vous conseille vraiment se film sauf si vous n'aimez pas les films sans action. Parcequ'il ne se passe presque rien pendant les 1h30 sauf à la fin où spoiler: il se coupe le bras ,déconseillé aux personnes sensibles.
Les biopics basés sur la survie, ça ne va pas toujours loin, et il y a souvent un fond de curiosité malsaine : Everest et Sanctum sont les cousins proches de 127 heures, des aventures héroïques avec un fort côté voyeur. Ce côté-là me dérange toujours et l'ouvrage de Danny Boyle me laisse cette impression aussi.
Il y a des gros "mais", cependant, car il faut déjà admettre qu'il ne s'est pas facilité la tâche en n'ajoutant pas de voyeurisme avoué ni de culte voué à l'agonie au prétexte que « ne vous en faites pas, ça se finira bien ». Au deuxième visionnage, je me rends d'ailleurs compte de la « surexposition » au sens scénaristique : il n'y a presqu'aucune place pour le mystère de ce qui va se produire, les plans d'exposition sont assumés et la direction de l'histoire est toujours très claire. On parle d'autres choses à la place : de la communion avec les éléments, qui demeurent l'allié de l'homme alors même qu'ils essaient de le tuer, et de la folie qui s'immisce par vagues et par à-coups fiévreux. Boyle renoue avec un cinéma bien à lui où il peut se montrer maître de la descente aux Enfers, et où la douleur est éloquente.
Il n'y a pas grand-chose dans 127 heures en théorie (le sujet était très… étroit), mais c'est fascinant de voir le réalisateur du fourmillant Slumdog Millionaire et de l'irréaliste Sunshine se rabattre sur du contemplatif bien terrestre, pour une ambiance tout en chocs thermiques qui s'imprime durablement dans l'esprit (+2 étoiles au second visionnage pour ça). Du sportif, aussi. Car c'est un film qui a coûté cher en sueur et en claustrophobie, pour un résultat qui connecte aussi bien à l'amour d'Aron Ralston pour les canyons qu'à une fin qui nous fait conclure par une moue approbatrice. Bien joué.
Incroyable film, avec ce très bon acteur qu'est James Franco. Je l'appréciais déjà dans les films où il.jouait, mais là de le voir comme acteur principal dans un film où on ne voit que lui, on peut admirer son jeu.
Ce film est une vrai catastrophe! A Eviter absolument! Tout au plus un documentaire .... mais pas un film!! Pas d'histoire .... après 15minutes, le gars est coincé par un rocher et cela dure jusqu'à la fin .... La musique ne passe pas du tout et est extrement stressante! L'intro est extrement longue et enervante ..... Seuls les paysages des 15 prmieres minutes sont beaux ... mais cela n'a rien à voir avec le réalisateur!
L’inspirante vie tragique d’Aron Ralston, à bluffer sa force, le respect, le courage et l'admiration ! Danny Boyle explore donc l'âme de son héros malgré lui et toutes les étapes de son calvaire ! Aidé par sa mise en scène et sa photographie aidant le spectateur à être sans cesse intrigué par la continué de l’histoire, rien n’a raconté après les 20 première minutes, laissant Aron face sa destinée. Sa "bêtise", ou sa "renaissance" 5 jours après quand nous connaissons la finalité de l'histoire. Pour avoir redécouvert le film après plusieurs années, j’ai été surpris par la photographie réellement splendide. Parfois des plans plus immenses que dans "Into The Wild", un film fait pour en mettre pleins la vu des états sauvages. L’esthétique aussi magnifique que le sujet traité. La tête d’Aron mélangé avec des hallucinations et des envies de vivre est clairement les meilleurs moyens de mise en scène. Danny Boyle renouvelle tout le temps de manière à rendre dynamique un film qui se passe sûr dans un décor d'1m2. A l'image par exemple du jeu télévisé improvisé en solitaire et qui est un coup de génie. James Franco montre une nouvelle fois via sa performance sa capacité à feindre les émotions à un niveau rarement aperçu jusqu'ici. Somme tout un film technique, puissant et émouvant. La bande son et sonore du film, est simplement excellente. Rien n’a redire sur chaque note, et d’une telle immersion globalement impressionnante, sanglante au moment décisif du cœur du film et de la vie de Ralston. Pour comprendre ça, un visionnage du film s’impose, pour profiter d’un dilemme sanglant face à nous meme. L'histoire met en lumière la capacité de l'humain à se battre pour sa vie, James Franco signe son meilleur jeu d’acteur. Danny Boyle, son meilleur film. "127 Heures" témoigne d'une virtuosité qu'on rechigne bien souvent à lui reconnaître. Bref 10/10 car le film me rend nostalgique 👍