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Un visiteur
4,5
Publiée le 12 février 2016
« 127 Heures » est un très bon film dramatique. L’histoire revêt un caractère particulier sachant qu’elle est l’aventure réelle d’une personne. Le scénario est habilement construit et l’interprétation de James Franco est tout à fait remarquable. Le développement psychologique du personnage, jusqu’à sa rupture physique et émotionnelle sont profondément réalistes. On vit pleinement l’angoisse, le stresse, mais également la douleur du personnage. Les décors naturels sont somptueux. Un film à voir, sans hésiter !
un nouveau coup de grandiose de la part de Danny Boyle, des images magnifique et une situation nullement recommandable surtout pour des solitaires en mal de liberté voué à soi même. James Franco tient à lui seul le film sur ces épaules, oublié le fils milliardaire Oscorp de Spiderman, le garçon s'est envolé vers d'autre cieux. des images choquante voir très dure, à ne pas mettre sous tous les regards. même si le cadre est magnifique, on ne s'ennuis pas, comprenant bien que le personnage Aron perd les pédales, et que la décisions à la fin est très difficile mais comme on dit rien ne vaux la vie, et bien là c'est encore plus vraie sur une histoire vraie.
Film très bien tourné, scénario dans la crevasse plein de suspens. On se demande quand même quel est l’intérêt de ce film .. Gros défaut : aucun but, pas vraiment d'histoire mais sinon les paysages sont superbes et le film fait quand même pas mal stresser, les scènes où il est bloqué sont intense ! :D Et n'oubliez pas, c'est mieux de faire du vélo à plusieurs. :p
Au cours d’une randonnée, Aron Ralston se retrouve piégé au fond d’un canyon de l’Utah, durant « 127 heures », l’avant-bras coincé par un rocher. A partir de ce dramatique fait divers, Danny Boyle réussi à nous faire partager et ressentir les différentes phases de la douloureuse survie de la victime en jouant aussi bien sur les effets visuels que sonores. Sa mise en scène est techniquement inventive et d’un étonnant réalisme. La caméra colle au plus près d’un James Franco dont la performance est particulièrement impressionnante. Un huit clos intense, une délivrance éprouvante mais émotionnellement forte, qui peut certes choquer les âmes les plus sensibles.
Je confirmes la note générale pour ce bon film basé sur une histoire vrai. On est attaché, touché et choqué par cet alpiniste. James Franco signe une de ces meilleurs performance. Le rôle lui convient très bien. La survie pendant les 5 jours de ce pauvre jeune homme est très réaliste. Tout est bien pensé. On se met très vite dans peau du personnage, et cela évite l'ennuie jusqu'à la fin. Après avoir vu 127 heures, on a moins envie d'aller se promener seul. Il y a également de super paysages au coeur des canyons et des musiques sympatiques. Un biopic très réussi.
Un véritable huit clos, à aucun moment je ne me suis ennuyé de par une mise en scène absolument divine, Boyle a son style caractéristique, très nerveux en parfait contraste avec le scénario " bloqué " et c'est aussi pour cela qu'il était la personne idéal ... Comme je disais, visuellement c'est somptueux, des images d'une beauté rare, assez violente mais délicate quand même. Les monologues ou bien discutions avec sa caméra d'Aron m'ont beaucoup ému, superbement écrit et interprété. Clemence Poésy apporte sa délicatesse et sa fragilité sur quelques instants seulement, bravo mais bien évidemment comment passé à coté de l'une des performance les plus intense et folle possible, James Franco ! Putain d'Oscars. La musique est génial comme pour tout films de son auteur, une bonne habitude qu'il a pris, Plastique Bertrand y compris ...
Beaucoup de souffrance et de torture ( physique et psychologique ) avec en apothéose l'un des plus grands choc et traumatisme de ma vie ...
Faire un film sur le pitch d'un casse-cou bloqué au fond d'un canyon pendant 127 heures, qui n'endorme pas le spectateur sans pour autant avoir l'air de se dérouler sur 2 pauvres jours, c'était pas gagné d'avance. Heureusement il y a deux noms de choix au tableau: Danny Boyle et James Franco. Le premier y apporte le rythme effréné d'un "Slumdog Millionnaire" et s'ils abuse un peu de ses tics visuels, des plans débullés à 45° aux splits screens en passant par des hallucinations un peu trop présentes et trop démonstratives, son rythme donne une sacrée patate au film qui passe comme du petit lait malgré sa nature de huis-clos. Hell, c'est même surement un de ces films que je pourrais revoir avec plaisir sans ressentir la moindre longueur. Le réalisateur se fait plaisir en filmant le désert Américain sous tous les angles, jouant comme un petit fou avec les lumières lors des quelques brefs moments de soleil auxquels le personnage a droit. James Franco prouve une fois pour toutes qu'il fait partie des grands, son interprétation d'Aron est parfaite. D'abord gentillement fun à voir pour sa photographie, le film prend vite la forme d'une véritable torture psychologique et ne nous épargne rien jusqu'au moment fatidique de l'amputation, loin d'être hors-champ en plus. Pour un Danny Boyle le film donne un peu l'impression de se reposer sur la mention "inspiré d'une histoire vraie" (et dans ce sens, la fin est un peu too much), c'est pour moi loin d'être un chef d'oeuvre au même titre qu'une bonne partie de ses réalisations comme beaucoup le considèrent, plutôt un petit plaisir qui n'a pas la prétention d'explorer un trait profond de la nature humaine (ou ce qu'on veut bien y mettre) mais une touchante histoire de survie tout de même.
Très très déçu de Boyle dont j'ai vraiment apprécié Slumdog Millionnaire, La Plage, Trainspotting ou meme encore 28 jours plus tard. Alors on passe un bon moment Oui...au début ! Avant de s'ennuyer affreusement dans des trips chamaniques d' hallucinations d'un homme fatigué seul et coincé par un caillou. Alors que j'aime bien ce genre de film un peu survival comme Buried je dois quand meme reconnaitre qu'on est ici dans du Zero Suspense, Zero Action , Zero Horreur que du vide, du blanc et du silence. Bon bien sur le film respecte attentivement l'histoire d'Aron Ralston qui a vécu cette triste histoire et qui en a écrit un livre " Plus Fort qu'un Roc " mais encore je n'applaudirais jamais un film parcequ'il se base sur une histoire vraie, très franchement s'il n'y a rien a coté c'est pas la peine. James Franco , pour le challenge , n'a au final rien donné. On n'y croit a aucun moment dans son jeu qu'il est coincé sous un rocher pendant 127h. Alors bon a eviter , et surtout a une soirée entre potes, ça peut endormir ce genre de choses .
Seul, perdu, coincé on est à peu près rien et le monde continue de tourner. Danny Boyle a choisi de tourner sa caméra vers une leçon de prévention moralisatrice. Il fait de 127 heures à peu près 90 minutes de flashbacks, de pensées hallucinatoires et de remords qui sont les échappatoires ici peu convaincants et faciles pour sortir de sa prison naturelle. Seuls la photographie et le montage permettent de tirer le spectateur de la torpeur. Quant au (super-)héros lui sort de sa geôle par un moyen évident que toute autre personne aurait pris à sa place à peu près 103 heures plus tôt.
Ce film ne me disait déjà rien, rien qu'au synopsis en me demandant bien comment ils allaient rendre intéressant le fait qu'un mec coincé dans une crevasse lutte contre la mort? Je me disais que Danny Boyle et James Franco sauraient le faire. Et beinnnn ... non je me suis ennuyé durant tout le film, au moins le film porte bien son nom.
Les quinze premières minutes, c'est "Into the wild" version bobo dragueur, amateur de sensation forte. Après l'accident, c'est le début de l'ennui pour le spectateur. Le héros du film perd son couteau et le rattrape avec un petit bout de bois.Il pense à sa famille.Il appelle au secours.Il fait un message vidéo pour ses proches, si on retrouve son corps.Il se décourage puis reprend espoir.Il repense au confort moderne et à ce bon vieux monde consummériste.Il pense à sa copine.Il meuble le temps en s'imaginant dans une bonne vieille émission de télévison (ah ce bon vieux monde moderne!).Il essaye de se couper le bras.Il boit son urine.Il a des hallucinations, il regrette et il se souvient.Il délire et se met à croire en la destinée.Puis il finit par arriver à se couper le bras et il s'échappe et est enfin secouru. Je sais cette énumération est longue et pénible, un peu comme le film d'ailleur. On a à faire à un long clip version prévention, du genre:"attention ne vous aventurez jamais seul et sans dire où vous allez en montagne car le danger est partout". La réalisation est saccadée et anxiogène au possible. James Franco est excellent. Lui seul mérite qu'on voit ce petit film.