AlloCiné
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Votre avis sur 127 heures ?
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Mon acte est extraordinaire, pas moi! Ce sont les propos tenus d'Aron Ralston et de son incroyable histoire qui force le respect, le courage et l'admiration! Danny Boyle explore donc l'âme de son hèros malgrè lui et toutes les ètapes de son calvaire! Espoir, peur, abandon, folie, Aron, incarnè de façon bluffante par James Franco, enchaîne les ètats èmotionnels! Boyle illustre ce parcours psychologique à grand renfort d'effets visuels (split screen) et sonores (musique dèchainèe). Flash-back, visions, voix, le spectateur pènètre dans la tête de l'alpiniste ou Boyle nous fait partager ses angoisses et ses souvenirs! Musicalement, la bande originale est intense et accentue l'effet de claustrophobie dans cette formidable leçon de survie! Puis il faut arriver au moment dècisif ou le cinèaste filme sans dètour le charcutage qu'Aron doit s'infliger! Ses images sont sanglantes, difficilement regardables, mais jamais complaisantes! On en ressort lessivè! Une expèrience dèstabilisante, à aller voir le coeur bien accrochè où James Franco porte en grande partie durant 127 heures...soit plus de cinq journèes entières cet authentique rècit sur son bras droit! Difficile d'oublier ce huis-clos qui vous prend aux tripes...
Danny Boyle, que j'adore, signe un film ovni percutant.
L'exploit de ce film est d'arriver à rendre passionnant la scène d'un homme cloué à son caillou pendant plus d'une heure. D'autant plus que cet homme est James Franco et que jusqu'ici j'avais eu du mal à le voir dans autre chose que son costume de bouffon vert (ce qui m'avait notamment gaché "Pineapple Express"). Pour moi le film vaut surtout pour sa capacité rare à nous faire partager les sensations de son héro. Comme lui nous avons froid la nuit, resentons le contact de la pierre sous nos mains, notre gorge se dessèche 1H30 durant et nous sommes désespéremment seuls. J'ai beaucoup apprécié aussi la modernité du héro très révélateur de l'utilisation actuelle du multimédia et qui s'oppose au dénuement du décor. En négatif : les insupportables placements de produits et marques, le gore du dénuement et la réalisation un poil trop frénétique.
L'exploit de ce film est d'arriver à rendre passionnant la scène d'un homme cloué à son caillou pendant plus d'une heure. D'autant plus que cet homme est James Franco et que jusqu'ici j'avais eu du mal à le voir dans autre chose que son costume de bouffon vert (ce qui m'avait notamment gaché "Pineapple Express"). Pour moi le film vaut surtout pour sa capacité rare à nous faire partager les sensations de son héro. Comme lui nous avons froid la nuit, resentons le contact de la pierre sous nos mains, notre gorge se dessèche 1H30 durant et nous sommes désespéremment seuls. J'ai beaucoup apprécié aussi la modernité du héro très révélateur de l'utilisation actuelle du multimédia et qui s'oppose au dénuement du décor. En négatif : les insupportables placements de produits et marques, le gore du dénuement et la réalisation un poil trop frénétique.
127 heures : Ah ouais !!! Ça c’est du film, ça c’est un sacré film, ça c’est un film que je kiff comme dis les jeunes ^^ non mais vraiment j’adore ce film qui est juste une pure merveille. Une véritable expérience : exceptionnelle et unique a regardé sur un homme qui va surpasser ces limites, un homme plus fort que le roc. Vraiment une formidable leçon de survie car il faut le dire : c’est une histoire vrai ce qui renforce l’immersion. Et une aventure humaine et spirituelle et très délirante a des moments. Vraiment ce film est tout simplement énorme. De part sa réalisation qui est juste magnifique et exceptionnelle, et sa virtuose mise en scène dirigé de main de maitre par Dany Boyle qui est vraiment très inspiré dans ce film et nous montre l’étendu de son talent. Vraiment réalisation, mise en scène et le montage rythmé, dynamique, énergique, nerveuse et inventif et délirant à des moments. Entre la caméra a l’épaule ou a la main pour accentuer les moments de stress et d’adrénaline ou les plans de caméra magnifique qui met en valeur les sublimes paysages : vraiment le rendu final, il nous en met plein les yeux : c’est du grand art, bravo. Ensuit, le scénario/l’aventure du film, vraiment énorme : captivant et prenant des le début, on ne perd pas une miette de l’expérience horrible que passe le personnage coincé par une roche. Un huit clos entre deux mur avec des monté adrénalines vertigineuse, vraiment une expérience stressant pour lui et pour le spectateur car on ressent vraiment les émotions poussé a la limite du personnage. Grace a la performance absolument impressionnante et bluffant de James Franco que j’ai vraiment adoré dans ce film, il est vraiment magistrale et parfait dans ce film, on ressent vraiment bien ces émotions, et on a mal pour lui pendant tout l’aventure, surtout a la fin… qui est vraiment très poignante, bravi : sa c’est de la prestation. Et pour finir les musiques qui sont vraiment énorme et colle parfaitement au délire du film a des moments car oui il y a des moments délirant, avec une pointe d’humour, ça c’est le style à Dany Boyle. Voila ce film est tout simplement excellent, j’ai adoré. Je vous le conseil absolument car pour moi c’est un énorme coup de cœur pour ce pur chef-d’œuvre.
ffred
Je suis vraiment allé voir ce film à reculons, mais Festival d'hiver oblige... J'avais détesté Slumdog millionaire et le saccage que Danny Boyle avait fait du roman Les fabuleuses aventures d'un indien malchanceux qui devint milliardaire. Et une grosse incompréhension sur le succès et les prix reçus par la suite. C'est encore pire cette fois-ci. Vraiment insupportable. Vous avez le choix entre clip musical pour chanteur à minettes pré-pubères, spot de pub pour Décathlon et autre Go Sport ou pour le syndicat d'initiative de l'Utah...Après un Bollywood névrosé, on assiste là à un Boyle encore plus excité. Ça saoule très vite en vous flanquant un bon mal de crâne. Le montage n'est pas serré, il est épileptique. Les couleurs flashies, la musique envahissante mais surtout, surtout le scénario d'un vide sidérale ! Il faut bien faire tenir plus d'une heure et demie (de toute façon on connait la fin) sans faire chier le spectateur pour arriver à la fameuse scène de l'auto-amputation. Et là c'est le pompon. Autant de buzz et de promo (soit disant des spectateurs se seraient évanouis...) pour trente seconde de charcutage, hâché par le montage frénétique où l'on ne voit rien !!! Ajouter à cela le sacro-saint couplet américain politiquement correct sur la famille, les vraies valeurs etc...on en peut plus et une seule envie : quitter la salle ! Un vrai scandale ! Danny Boyle est un escroc. Si je n'avais pas eu de carte illimitée j'aurai demandé à être remboursé. Une seule étoile pour James Franco qui ne montre que très peu l'étendu de son talent ici, et pour cause. Dommage. Quant à Danny Boyle soit il arrête la drogue soit il arrête le cinéma ! De la poudre aux yeux des spectateurs voilà ce qu'est 127 heures. La forme est repoussante et le fond est totalement inexploité. Pourtant il y avait de quoi avec cette histoire vraie édifiante. Du remplissage. Ça a bien marché avec Slumdog, pourquoi s'arrêter en si bon chemin ? Espérons qu'en plus il ne décroche pas d'Oscars pour cette escroquerie...
Diffcile de penser qu'une telle chose a pu arriver. Ce film est saisissant de réalisme et c'est une formidable leçon de survie. Comment peut-on etre indifférent à cette histoire aussi incroyable que véritablement glauque. Ce film nous amène à nous poser des questions, à remuer notre conscience et nous rappeler que tout peut arriver et que nul n'est à l'abri du danger. La réalisation de Danny Boyle laisse parfois à désirer mais ce n'ai pas le plus important , ce film est tous simplement surprenant.
Un film puissant, hyper bien réalisé, James franco totalement différent du Bouffon (vert) qu'on a pu connaitre, en un seul mot: Excellent !
Un sujet qui demandait une approche intimiste, minimaliste et une capacité à dilater le temps pour illustrer la cruelle attente du personnage... bref le contraire du cinéma de Danny Boyle, cet obsédé de l'esbrouffe, de la surenchère d'effet, de la poudre aux yeux. En ça, il ose tout, même placer la caméra dans la bouteille d'eau pour nous montrer le larynx du héros qui boit... ce qui n'a évidemment aucun intérêt. Un mauvais goût de tous les instants, alourdi par des placements de produits incessants. A réserver aux fans de publicité pour chewing-gums et de clips sur W9.
Encore un super film de Danny Boyle! La réalisation est parfaite, l'image très belle pour une bonne histoire accompagnée d'une superbe BO! James Franco est incroyable dans ce rôle et n'était pas loin de l'oscar! Un des meilleurs films de l'année!
FORMIDABLE de la 1ère à la dernière seconde ! Tout d'abord grâce à la réalisation ingénueuse et géniale de Boyle : utilisation de split screen, flashbacks, hallucinations, images et spots de pubs speedés, etc... Et puis surtout, on s'identifie de suite et sans peine à James Franco (étonnant de bout en bout) en se mettant à sa place. On tremble pour lui, on souffre avec lui et surtout on se demande ce que l'on aurait fait à sa place.? La scène finale (que pourtant on connait ou du moins devine) s'avère pourtant insoutenable. Mais nécessaire pour étayer ce récit tiré d'un fait réel.
Verdict : un film inoubliable en ce qui me concerne, car il traite à la fois du dépassement de soi (comment un homme ordinaire peut arriver à commettre des actes insensés pour sa survie) et de la remise en question de la place de l'être humain face à la Nature.
Ma note : 18/20.
Et je vôte James Franco pour l'Oscar du Meilleur Acteur ; j'aimerais aussi Meilleur Film ou Réalisation... mais bon, je sais que ça sera le "Discours d'Un Roi" qui va tout rafler...
Verdict : un film inoubliable en ce qui me concerne, car il traite à la fois du dépassement de soi (comment un homme ordinaire peut arriver à commettre des actes insensés pour sa survie) et de la remise en question de la place de l'être humain face à la Nature.
Ma note : 18/20.
Et je vôte James Franco pour l'Oscar du Meilleur Acteur ; j'aimerais aussi Meilleur Film ou Réalisation... mais bon, je sais que ça sera le "Discours d'Un Roi" qui va tout rafler...
Impressionnant et terrifiant à la fois.
spoiler:
On se sent impuissant face à une mort horriblement lente sans issue de secours. Avoir une caméra pour filmer tout ça et laisser sa trace sur Terre... Glauque. Je vous laisse la surprise de "la plus grave décision de son existence" ;)
Le film est très bien rendu.
Le film est très bien rendu.
Effrayant de superficialité, ce film hésite entre clip MTV et campagne publicitaire pour sport de l'extrême.
Danny Boyle est un formidable pourvoyeur d'images qui impriment instantanément la rétine.Il était le réalisateur indiqué pour donner une viscéralité et un dynamisme ravageur à cette édifiante histoire vraie.Celle d'Aron Ralston,casse-cou solitaire,se lançant des défis plus fous les uns que les autres,qui se retrouve un jour d'Avril au fond d'une crevasse d'un canyon de l'Utah.Dès lors,l'aventure baroudeuse devient un survival mental.Ralston passera plus de 5 jours le rocher sur son bras droit,commençant à avoir des hallucinations,des retours de flash-backs,le physique s'affaiblissant petit à petit,avant de prendre la courageuse décision qui s'impose.Chaque objet de son sac prenant une dimension stratégique vitale(gourde,corde,couteau,caméra...)Jamais ennuyeux,malgré un personnage immobile,"127 heures "est un tour de force,dans le sens où l'on ressent chaque émotion de Ralston,comme si l'on était à sa place.Boyle abuse peut-être des tics visuels,mais ils donnent une urgence et une frénésie à ce drame.Quant à James Franco,époustouflant acteur-caméléon de sa génération,il livre une prestation fiévreuse et charismatique,propre à le faire devenir une véritable star.Un choc inattendu.
Ti Nou
Un acteur, une crevasse et un rocher, voila ce qu'il faut au génial Danny Boyle (qui signe ici l'un de ses meilleurs films) pour raconter une aventure humaine prenante de bout en bout. Il règne dans "127 heures" une tension qui ne se relâche que dans les dernières secondes. Un pari osé relevé haut la main.
Magnifique film que signe ici Danny Boyle qui confirme tout le bien que je pensais de lui. Tout comme James Franco qui prouve, dans cette impensable histoire vraie, qu'il est un grand acteur. En bref ce film est (pour moi) l'un des meilleurs de ce début d'année 2011. A voir absolument.
Certes, certes, nous attendions tous avec une fervente avidité le prochain Danny Boyle. Il est certain qu'après avoir remporté 8 oscars avec son sublime...non magistral Slumdog millionnaire, le réalisateur allait se lancer dans une expérience un peut plus...personnelle.
Dommage que le résultat ne nourrisse pas l'espoir que nous y avions placé. L'intention est bien présente mais le reste semble bien avoir du mal à suivre.
Aron Ralston lors d'une randonnée dans les gorges de l’Utah se retrouve coincé au fond d'un canyon, le bras bloqué par un rocher, va donc vivre des heures "extrêmes" au milieu de ces lieux qu'il semblait si bien connaitre.
Devant tout cela, notre cœur balance entre spot publicitaire (VTT dans le canyon surement hommage à décathlon, pensées pour quelques sodas si assoiffant....) et mélodrame sur fond américanisant (souvenirs familiaux, regrets, pseudos révélations). Impossible de choisir et là on se retrouve comme Aron coincé. Boyle à sans doute voulut nous montrer à quel point il maitrisait sa caméra(bien qu'il n'en ait pas le moindre besoin), c'est réussi, aucun problème. Le Hic? C'est que tout repose sur un scénario quasi-inexistant. Nous ne prenons aucun plaisir à voir un imbécile fini rester pathétiquement 127 heures au fond d'un trou. Il en faut plus pour transformer une pareille personne, qu'elle se reprenne en charge et prenne conscience de sa vrai place au sein de la vie.
James Franco est quand à lui, bon, mais se trouve encore à des lieues de l'excellence.
La seule et unique scène qui à put se révéler intéressante, est bien entendu la scène de l'amputation. Extrêmement réaliste elle nous entraine avec le personnage, à ce moment ci la souffrance est enfin partagée (ce qui aurait déjà du être fait tout au long du film).
Pour conclure, je dirais que c'est une énorme déception qui j'espère ne salira pas trop la bonne filmographie de Danny!
Dommage que le résultat ne nourrisse pas l'espoir que nous y avions placé. L'intention est bien présente mais le reste semble bien avoir du mal à suivre.
Aron Ralston lors d'une randonnée dans les gorges de l’Utah se retrouve coincé au fond d'un canyon, le bras bloqué par un rocher, va donc vivre des heures "extrêmes" au milieu de ces lieux qu'il semblait si bien connaitre.
Devant tout cela, notre cœur balance entre spot publicitaire (VTT dans le canyon surement hommage à décathlon, pensées pour quelques sodas si assoiffant....) et mélodrame sur fond américanisant (souvenirs familiaux, regrets, pseudos révélations). Impossible de choisir et là on se retrouve comme Aron coincé. Boyle à sans doute voulut nous montrer à quel point il maitrisait sa caméra(bien qu'il n'en ait pas le moindre besoin), c'est réussi, aucun problème. Le Hic? C'est que tout repose sur un scénario quasi-inexistant. Nous ne prenons aucun plaisir à voir un imbécile fini rester pathétiquement 127 heures au fond d'un trou. Il en faut plus pour transformer une pareille personne, qu'elle se reprenne en charge et prenne conscience de sa vrai place au sein de la vie.
James Franco est quand à lui, bon, mais se trouve encore à des lieues de l'excellence.
La seule et unique scène qui à put se révéler intéressante, est bien entendu la scène de l'amputation. Extrêmement réaliste elle nous entraine avec le personnage, à ce moment ci la souffrance est enfin partagée (ce qui aurait déjà du être fait tout au long du film).
Pour conclure, je dirais que c'est une énorme déception qui j'espère ne salira pas trop la bonne filmographie de Danny!
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