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Si certain courts métrages laissent de marbre, se caricaturant dans une tentative arty et un peu vaine de filmer le sexe (...), d'autres, tel "Skin" d'Elin Magnusson (...), parviennent à être franchement excitants et stimulants intellectuellement.
On peut regretter un certain manque de simplicité face à la chose sexuelle (comme si le porno devait être sauvé de lui-même par une caution arty) et constater une fatale inégalité des sketches. Reste un projet plutôt stimulant, proposant des représentations salutairement variées de la sexualité.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
En 2010, ce geste cinématographique n'implique plus guère de transgression, et ne suscitera donc pas beaucoup d'émoi. Il devrait au moins éveiller la curiosité, et - selon les goûts de chacune et chacun - satisfaire ou susciter quelques envies.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
On aurait vraiment voulu que le niveau global ait la virtuosité et la part d'énigme qui habitent les quatorze minutes de Skin, le premier court métrage de la série, réalisé par Elin Magnusson, et seule totale réussite du projet (...) l'ensemble permet de constater que le hard ne se laisse pas aisément démonter à coups de concept.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Quid de l'approche féminine du porno ? Moins mécanique, plus incarnée, elle n'en est pas moins crue, impression accentuée par le ton girl-power et le filmage en vidéo (parfois très amateur). Bref, Dirty Diaries, c'est de l'arty chaud.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
20 Minutes
Interdite au moins de 18 ans, l'anthologie se veut féministe mais pas uniquement destinée aux femmes.
Le Parisien
Intéressant, inégal, cru, inventif, drôle et même tendre, (...).
Les Inrockuptibles
Si certain courts métrages laissent de marbre, se caricaturant dans une tentative arty et un peu vaine de filmer le sexe (...), d'autres, tel "Skin" d'Elin Magnusson (...), parviennent à être franchement excitants et stimulants intellectuellement.
Metro
Osé et émoustillant.
Critikat.com
On peut regretter un certain manque de simplicité face à la chose sexuelle (comme si le porno devait être sauvé de lui-même par une caution arty) et constater une fatale inégalité des sketches. Reste un projet plutôt stimulant, proposant des représentations salutairement variées de la sexualité.
Le Monde
En 2010, ce geste cinématographique n'implique plus guère de transgression, et ne suscitera donc pas beaucoup d'émoi. Il devrait au moins éveiller la curiosité, et - selon les goûts de chacune et chacun - satisfaire ou susciter quelques envies.
Libération
On aurait vraiment voulu que le niveau global ait la virtuosité et la part d'énigme qui habitent les quatorze minutes de Skin, le premier court métrage de la série, réalisé par Elin Magnusson, et seule totale réussite du projet (...) l'ensemble permet de constater que le hard ne se laisse pas aisément démonter à coups de concept.
Première
(...) cette anthologie de douze courts métrages suédois relance l'idée du film pornographique réalisé par des femmes et pour des femmes.
TéléCinéObs
Quid de l'approche féminine du porno ? Moins mécanique, plus incarnée, elle n'en est pas moins crue, impression accentuée par le ton girl-power et le filmage en vidéo (parfois très amateur). Bref, Dirty Diaries, c'est de l'arty chaud.
Télérama
Films inégaux, mais variés, tant formellement (...) que sexuellement (...).
Cahiers du Cinéma
Le revers de ces dispositifs de plaisir est une certaine naïveté, et même un certain anachronisme dans la facture.
Positif
Petit à petit, Dirty Diaries s'effiloche en un long catalogue qui manque cruellement de fil rouge.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
Excessif
Ratage certifié.