Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Interdite au moins de 18 ans, l'anthologie se veut féministe mais pas uniquement destinée aux femmes.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Le Parisien
par Marie Sauvion
Intéressant, inégal, cru, inventif, drôle et même tendre, (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Géraldine Sarratia
Si certain courts métrages laissent de marbre, se caricaturant dans une tentative arty et un peu vaine de filmer le sexe (...), d'autres, tel "Skin" d'Elin Magnusson (...), parviennent à être franchement excitants et stimulants intellectuellement.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Metro
par La rédaction
Osé et émoustillant.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Critikat.com
par Raphaël Lefèvre
On peut regretter un certain manque de simplicité face à la chose sexuelle (comme si le porno devait être sauvé de lui-même par une caution arty) et constater une fatale inégalité des sketches. Reste un projet plutôt stimulant, proposant des représentations salutairement variées de la sexualité.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Thomas Sotinel
En 2010, ce geste cinématographique n'implique plus guère de transgression, et ne suscitera donc pas beaucoup d'émoi. Il devrait au moins éveiller la curiosité, et - selon les goûts de chacune et chacun - satisfaire ou susciter quelques envies.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Philippe Azoury
On aurait vraiment voulu que le niveau global ait la virtuosité et la part d'énigme qui habitent les quatorze minutes de Skin, le premier court métrage de la série, réalisé par Elin Magnusson, et seule totale réussite du projet (...) l'ensemble permet de constater que le hard ne se laisse pas aisément démonter à coups de concept.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Philippe Rouyer
(...) cette anthologie de douze courts métrages suédois relance l'idée du film pornographique réalisé par des femmes et pour des femmes.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Nicolas Schaller
Quid de l'approche féminine du porno ? Moins mécanique, plus incarnée, elle n'en est pas moins crue, impression accentuée par le ton girl-power et le filmage en vidéo (parfois très amateur). Bref, Dirty Diaries, c'est de l'arty chaud.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Jérémie Couston
Films inégaux, mais variés, tant formellement (...) que sexuellement (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Stéphane Delorme
Le revers de ces dispositifs de plaisir est une certaine naïveté, et même un certain anachronisme dans la facture.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Positif
par Eric Derobert
Petit à petit, Dirty Diaries s'effiloche en un long catalogue qui manque cruellement de fil rouge.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Excessif
par Romain Le Vern
Ratage certifié.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
20 Minutes
Interdite au moins de 18 ans, l'anthologie se veut féministe mais pas uniquement destinée aux femmes.
Le Parisien
Intéressant, inégal, cru, inventif, drôle et même tendre, (...).
Les Inrockuptibles
Si certain courts métrages laissent de marbre, se caricaturant dans une tentative arty et un peu vaine de filmer le sexe (...), d'autres, tel "Skin" d'Elin Magnusson (...), parviennent à être franchement excitants et stimulants intellectuellement.
Metro
Osé et émoustillant.
Critikat.com
On peut regretter un certain manque de simplicité face à la chose sexuelle (comme si le porno devait être sauvé de lui-même par une caution arty) et constater une fatale inégalité des sketches. Reste un projet plutôt stimulant, proposant des représentations salutairement variées de la sexualité.
Le Monde
En 2010, ce geste cinématographique n'implique plus guère de transgression, et ne suscitera donc pas beaucoup d'émoi. Il devrait au moins éveiller la curiosité, et - selon les goûts de chacune et chacun - satisfaire ou susciter quelques envies.
Libération
On aurait vraiment voulu que le niveau global ait la virtuosité et la part d'énigme qui habitent les quatorze minutes de Skin, le premier court métrage de la série, réalisé par Elin Magnusson, et seule totale réussite du projet (...) l'ensemble permet de constater que le hard ne se laisse pas aisément démonter à coups de concept.
Première
(...) cette anthologie de douze courts métrages suédois relance l'idée du film pornographique réalisé par des femmes et pour des femmes.
TéléCinéObs
Quid de l'approche féminine du porno ? Moins mécanique, plus incarnée, elle n'en est pas moins crue, impression accentuée par le ton girl-power et le filmage en vidéo (parfois très amateur). Bref, Dirty Diaries, c'est de l'arty chaud.
Télérama
Films inégaux, mais variés, tant formellement (...) que sexuellement (...).
Cahiers du Cinéma
Le revers de ces dispositifs de plaisir est une certaine naïveté, et même un certain anachronisme dans la facture.
Positif
Petit à petit, Dirty Diaries s'effiloche en un long catalogue qui manque cruellement de fil rouge.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
Excessif
Ratage certifié.