Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Une superbe geste lyrique où l’intrigue compte moins que l’intensité des éléments et la sourde violence des êtres.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Chronic'art.com
par Louis Blanchot
D’une assurance plastique jamais chichiteuse, le film se réduit presque à un pur support, une plaque sensible, s’offre son et image à une nature indomptable, souveraine et déchaînée.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Un poème visuel comme on n’en voit plus guère…
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Fiches du Cinéma
par Roland Hélié
Poème cinématographique lapidaire, “Mateo Falcone” se montre aussi sec et tranchant que peut l'être la nouvelle de Mérimée dont il est la libre adaptation.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Paris Match
par Yannick Vely
Pas de voix-off sur-explicative, ici, ni de narration alambiquée, mais un récit sec comme une trique, sans une once de gras psychologique, qui plonge le spectateur dans un état de transe sensorielle.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
aVoir-aLire.com
par Virgile Dumez
Film de la radicalité, stylistique et thématique, "Mateo Falcone" est un modèle d’épure cinématographique, s’inscrivant dans les pas de Robert Bresson.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Quentin Le Goff
Si le seul reproche qu’on pouvait faire au cinéma français était de vouloir atteindre Grandrieux et Dumont sans y parvenir, tout irait pour le mieux dans le meilleur des mondes…
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Télérama
par Jacques Morice
Eric Vuillard a un oeil de poète dans ce western contemplatif (...). Reste sa durée excessive : on ne peut s'empêcher d'y voir un court-métrage intutilement étiré.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Resté inédit, ce film trouve aujourd'hui la voie des salles, et révèle une tentative audacieuse de conférer à la sèche économie du style de Mérimée son équivalent plastique (vent, landes, visages). Il en résulte une sorte d'abstraction lyrique qui s'ajoute, non sans une certaine affectation, au scandale moral du récit.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Christophe Narbonne
C'est beau... Et terriblement ennuyeux, faute d'incarnation et de réelle tension dramatique.
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Les Inrockuptibles
Une superbe geste lyrique où l’intrigue compte moins que l’intensité des éléments et la sourde violence des êtres.
Chronic'art.com
D’une assurance plastique jamais chichiteuse, le film se réduit presque à un pur support, une plaque sensible, s’offre son et image à une nature indomptable, souveraine et déchaînée.
L'Humanité
Un poème visuel comme on n’en voit plus guère…
Les Fiches du Cinéma
Poème cinématographique lapidaire, “Mateo Falcone” se montre aussi sec et tranchant que peut l'être la nouvelle de Mérimée dont il est la libre adaptation.
Paris Match
Pas de voix-off sur-explicative, ici, ni de narration alambiquée, mais un récit sec comme une trique, sans une once de gras psychologique, qui plonge le spectateur dans un état de transe sensorielle.
aVoir-aLire.com
Film de la radicalité, stylistique et thématique, "Mateo Falcone" est un modèle d’épure cinématographique, s’inscrivant dans les pas de Robert Bresson.
Critikat.com
Si le seul reproche qu’on pouvait faire au cinéma français était de vouloir atteindre Grandrieux et Dumont sans y parvenir, tout irait pour le mieux dans le meilleur des mondes…
Télérama
Eric Vuillard a un oeil de poète dans ce western contemplatif (...). Reste sa durée excessive : on ne peut s'empêcher d'y voir un court-métrage intutilement étiré.
Le Monde
Resté inédit, ce film trouve aujourd'hui la voie des salles, et révèle une tentative audacieuse de conférer à la sèche économie du style de Mérimée son équivalent plastique (vent, landes, visages). Il en résulte une sorte d'abstraction lyrique qui s'ajoute, non sans une certaine affectation, au scandale moral du récit.
Première
C'est beau... Et terriblement ennuyeux, faute d'incarnation et de réelle tension dramatique.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.