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Eselce
1 390 abonnés
4 238 critiques
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3,5
Publiée le 11 juillet 2016
Intéressant de voir les choix du Pegasus concernant sa survie et la découverte de l'espionne cylon. Davantage un long épisode de la série qu'un véritable film, "Razor" dévoile l'épopée du Pegasus et un spoiler sur le personnage "Starbuck".
(Quelques spoilers, non pas sur Razor mais sur les deux premières saisons, que je viens de finir, de Battlestar Galactica
Étant actuellement au coeur de la passionnante série Battlestar Gallactica, c'est avec plaisir que j'ai l'occasion de découvrir peu à peu les mini-séries et téléfilms qui s'intercalent entre les épisodes.
Razor peut facilement se regarder en marge de la série et nous immerge directement sur le Battlestar Pegasus juste après la promotion de Lee Adama en tant que commandant. Elle alterne entre le présent, avec un Lee découvrant ses nouvelles fonctions puis de nombreux flashs-back se déroulant entre l'attaque des Cylons et la nomination d'Adama ainsi que deux autres sur des évènements ultérieurs tels la première guerre contre les machines. Il y a d'abord le plaisir de retrouver des personnages connus et qui ne laissent jamais indifférents, l'un des points forts de la série tant ils sont passionnants, d'une grande profondeur et bien souvent ambigus à souhait, puis l'approche réussie de ceux moins connus, à commencer par l'amiral Cain.
Razor exploite plusieurs pistes intéressantes à travers les yeux d'une jeune recrue de caractère, tandis qu'il dévoile de nombreux aspects assez sombres du passé des protagonistes, mais aussi de la bataille contre les Cylons. Dans un style très similaire à la série, c'est l'humain et sa nature qui sont accentués, la vie au bord d'un vaisseau en guerre et dont on a détruit les habitations et la majorité de la population, mais aussi les dilemmes moraux et la frontière parfois floue entre l'héroïsme et la lâcheté. Les rapports humains sont au coeur de l'intrigue, tout comme les diverses facettes qu'ils sont capables d'aborder et la façon dont ils vont se présenter. Razor présente aussi un Pegasus dont le fonctionnement, bien moins humain et plus mécanique, est totalement différent que celui du Galactica.
Techniquement le film est à l'image de la série, c'est-à-dire réussi, la réalisation est toujours efficace à défaut d'autres choses et sait très bien mettre en valeur l'humain et les thèmes abordés par la série. Alors bien évidemment, il faut être fan de la série pour se plonger dans Razor, sinon il n'y a guère d'intérêt tandis qu'il ne dévoile pas des éléments de l'intrigue des saisons à venir, mais reste tout le long concentré sur le passé de quelques personnages ainsi que la prise de commandement d'Adama. L'avantage aussi de la version que j'ai pu acquérir (celle étendue), on y découvre aussi quelques anecdotes sur le passé d'Adama père.
Pour tout fan de Battlestar Galactica, Razor paraît comme un complément vraiment intéressant et même passionnant sans pour autant être indispensable, mais qui abordera, dans la continuité de la série, les mêmes thèmes sur l'humain ou encore la guerre. De mon côté, j'ai surtout hâte de continuer cette série, surtout après une deuxième saison haut vol !
Par rapport à la série "Battlestar Galactica","Razor" est un téléfilm d'une heure quarante,qui techniquement se place en tant qu'ouverture de la saison 4,et scénaristiquement en pleine saison 2.Il est de qualité équivalente,en on en apprend énormément sur les évènements à bord du Battlestar Pegasus,avant sa rencontre avec le Galactica.La personnalité trouble et charismatique de l'Amiral Caïn est exploitée,alors que l'on suit les pas d'une jeune recrue de caractère.Au niveau de la mythologie de la série,seuls 2 éléments sont notables,et apparaissent dans les nombreux flash-backs.Les dilemmes moraux sont parfaitement présentés,et ajoutent de l'ambiguïté entre l'héroïsme et la lacheté.Tout fan de BSG se doit de l'avoir vu.
Ce téléfilm nous permet d'en savoir plus sur ce qui s'est passé sur le Pegasus avant sa rencontre avec le Galactica. C'est son principal intérêt car sinon, l'ensemble est ultra classique.
Cette série reprend les classiques du genre, un monde post-apocalyptique où l'humain est mené en respect par une de ses créations qui s'est retourné contre elle. C'est à la fois la force et la faiblesse de cette série : on peut de la science-fiction et nous voilà en présence d'un exemple parfait de science-fiction, tout y est ! machines, sciences, références bibliques, et même les visions de l'esprit quelqu'un aimant le genre ne pourrait qu'être comblé devant tant de soin porté à cette série qui réaffirme tous les codes du genre dans un perfectionnisme tout à fait remarquable. Seules deux erreurs sont reprochables, la première incombe à la réutilisation presque aveugle du canevas de la SF post-apocalyptique qui fait qu'il y a bien trop peu de surprises dans cette série, une fois les personnages fixés l'aventure n'avance presque pas à l'exception d'épisodes assez espacés qui obligent à regarder le film à forte dose si on veut être rassasié d'action et si on veut voir avancer l'histoire. La seconde erreur est l'inégalité des épisodes puisque bien des épisodes semblent ne servir qu'à combler des saisons trop courtes.
Globalement on est quand même content de voir de la science-fiction de puriste à l'ambiance délicieusement envoutante et oppressante avec tout de même un grand nombre de références notamment bibliques, mais aussi à pas mal de séries américaines, une série très fun et assez agréable, au final cette série on s'en lassera ou on en tombera amoureux, ce qui est sûr c'est que derrière il y a un très grand talent.
Situé entre le pilote et la moitié de la saison 2, ce long métrage est une réussite. Bourré d'action et d'effets spéciaux très réussis, il nous en apprend plus sur la personnalité de l'amiral Cain, l'évolution des cylons et le passé d'Adama. Le déroulement de l'histoire, fait de nombreux falshbacks, peut parfois sembler difficile à suivre, mais dans l'ensemble ça se tient. Un indispensable pour tout fan de BSG. Mais attention à ne pas le regarder avant d'avoir achevé la saison 2.
Ouif, pourquoi pas… S’insérant entre la saison 3 et la saison 4, ce petit film qui extrapole un aspect de l’intrigue n’est pas imbuvable et peu se regarder non sans déplaisir, mais j’avoue que, pour ma part, il ne m’a absolument pas marqué non plus. Voilà donc un film dont on peut se dispenser aisément…
Une des meilleurs série que j'ai pu voir dans ma vie, après avoir commencé je n'ai jamais pu m'arrêter avant la fin. Des acteurs fabuleux, une musique digne des plus grands films, un suspens insoutenable et une émotion qui m'a souvent laissé une larme dans les yeux....
Procédant tel une série de flashbacks, razor est très foutraque au niveau du rythme. Moyennement intéressant, il propose toutefois des révélations sympa quant au passé de certains personnages. Par contre, la fin par complètement en sucette avec des personnages qui ne correspondent plus du tout à ce qu'ils sont dans la série.