Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
27 critiques presse
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Grâce au chemin de croix de Pauline [Etienne] qui ferait, soit dit au passage, une formidable sainte Thérèse de Lisieux, [Guillaume Nicloux] réussit sans doute son oeuvre la plus forte.
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Marianne
par Ollivier Pourriol
Une réussite plastique, tout d'abord, qui mêle lumière et textures pour créer un sentiment physique du froid (...). Surtout, une interprétation remarquable : jamais on n'a le sentiment d'un film en costumes tant les acteurs sont justes, et les personnages bien campés.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
L'Express
par Eric Libiot
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L'Humanité
par Jean Roy
(...) Cette adaptation est fidèle et digne. Rien à reprocher à ce travail, qui pourrait être le meilleur film de son auteur. On reconnaîtra également la valeur intemporelle de ce pamphlet en apparenceanticlérical, véritable ode à la liberté triomphant de l'obscurantisme.
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Le Figaroscope
par Emmanuèle Frois
Chaque plan ressemble à un tableau de maître.
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
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Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Nicloux a opté pour un style sobre, épure bressono-pialatienne pour aller vite, ligne claire d'où se détachent la folie de l'enfermement conventuel et la puissance de résistance de Suzanne. Ce bel écrin est habité par des comédiennes à intensité maximale (...).
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Metro
par Maryline Letertre
Si Louise Bourgoin et Isabelle Huppert surjouent (...), Pauline Etienne est l'incarnation parfaite de l'agneau sacrifié sur l'autel des conventions sociales du XVIIIe siècle. Une révélation qui vaut le détour.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
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TéléCinéObs
par Sophie Grassin
Du brûlot de Diderot, le réalisateur (...) tire un film classique où le XVIIIe siècle fait écho au fanatisme toujours vivace sans rien perdre de ses appétits récurrents : goût du genre, recherche en paternité (...), asphyxie, éloge de la rébellion, de l'insoumission, bref de l'anarchie. Et peint à charge la hiérarchie ecclésiastique.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Jacques Morice
Pauline Etienne donne à cette pure révoltée la grâce évidente d'une sainte. Une sainte laïque, pleine de vigueur et d'innocence dans sa passion. (...) La jeune comédienne (...) impose dans chaque plan sa sincérité lumineuse.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Virgile Dumez
Sans concession, mais également sans volonté de choquer inutilement, cette nouvelle version de l'oeuvre de Diderot est donc une expérience enthousiasmante à plus d'un titre, quelque part entre la rigueur formelle d'un Alain Cavalier et l'immédiate accessibilité d'une oeuvre d'Alain Corneau.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
par Caroline Vié
Si on déplore le côté trop lisse d'un ensemble dont le mordant s'est émoussé, la performance de Pauline Etienne emporte le morceau en faisant prendre fait et cause pour cette nonne malgré elle.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Elle
par Anne Diatkine
C'est quand Isabelle Huppert apparait que le film prend son départ, (...) s'anime. Les acteurs emploient des imparfaits du subjonctif - sans préciosité ni emphase, (..) mais ce soin n'est pas toujours de mise à l'image, et (...) l'attention se relâche à cause d'un sentiment arbitraire.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Le Journal du Dimanche
par Danielle Attali
Refusant une surdramatisation du roman de Diderot, Nicloux laisse parler les faits et signe une belle adaptation dépouillée, rejetant les artifices jusqu'à l'austère : éclairage à la bougie, actrices pas maquillées... Mais qui résonne également d'une grande modernité.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Thomas Sotinel
Ce désir de mettre en scène la lutte contre des maux unanimement (...) dénoncés détourne "La Religieuse" de son parcours originel, jusqu'à la mener à une fin (...) dont on doit prévenir les lecteurs de Diderot qu'elle les déconcertera. Au mieux.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Marguerite Debiesse
Cette adaptation inattendue de Diderot par Nicloux apporte au combat pour sa liberté d'une religieuse malgré elle une densité charnelle, bien servie par une distribution dont l'éclectisme se révèle pertinent.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par La rédaction
Pauline Etienne est la révélation de ce film léché et d'un académisme bon teint où l'on peine à comprendre pourquoi le cinéaste agite ainsi la question de l'enfermement religieux des jeunes filles qui n'est plus tout à fait d'actualité.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La Rédaction
On est presque dans le registre du documentaire, avec une mise en scène qui s'est installée dans de vrais couvents pour en saisir les rites et les pratiques du quotidien. La même application habite les interprètes, (...) et une révélation, la jeune Pauline Etienne, pleine d'une présence touchante et délicate. Quand le récit est ça et là touché par la ferveur, c'est à elle qu'il le doit.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Positif
par Elise Domenach
Fidèle à de nombreux aspects du livre (en particulier les dialogues), Guillaume Nicloux en réinvente le dénouement et modifie quelque peu le caractère de sa protagoniste, moins élégante, moins bonne musicienne, moins tout (...).
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Thomas Agnelli
On peut louer le parti pris du traitement ascétique et le sérieux immuable du réalisateur, (...) mais on peut également trouver qu'il manque de flamme et de rythme pour rendre convulsive cette descente aux enfers.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Viviane Pescheux
Si Guillaume Nicloux livre une adaptation très libre, mais bien trop sage, du roman de Diderot, il signe une ode à la liberté des plus percutantes.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Critikat.com
par Julien Marsa
Nicloux érige son personnage en martyr d'un système clérical autoritaire, redoublant son adaptation du roman par une lecture servile et religieuse de la figure de Suzanne Simonin.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Ce film révèle surtout Pauline Étienne, fragile et inflexible, dont le talent illumine l'écran. C'est à la fois peu et déjà beaucoup.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
TF1 News
par Romain Le Vern
Hélas, en voulant faire de la "nunsploitation" propre et auteurisante (...), [Guillaume Nicloux] n'offre qu'un traitement scolaire dépourvu de passion, d'émotion et de rythme. On ne retiendra qu'Isabelle Huppert, impériale en mère supérieure maboule, amenant un peu de vie et de folie à cette adaptation compassée.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Transfuge
par Louis Séguin
(...) malgré les efforts du réalisateur Guillaume Nicloux, il n'y a pas besoin de beaucoup de perspicacité pour se rendre compte que l'objet fait toc. (...) "La religieuse" finit par rester sur l'estomac.
Cahiers du Cinéma
par Mathieu Macheret
A force de déférence écrasée et de piété poussiéreuse, Nicloux ne tire de sa "Religieuse" qu'une imagerie sulpicienne de plus.
Le Parisien
Grâce au chemin de croix de Pauline [Etienne] qui ferait, soit dit au passage, une formidable sainte Thérèse de Lisieux, [Guillaume Nicloux] réussit sans doute son oeuvre la plus forte.
Marianne
Une réussite plastique, tout d'abord, qui mêle lumière et textures pour créer un sentiment physique du froid (...). Surtout, une interprétation remarquable : jamais on n'a le sentiment d'un film en costumes tant les acteurs sont justes, et les personnages bien campés.
L'Express
Voir le site de L'Express.
L'Humanité
(...) Cette adaptation est fidèle et digne. Rien à reprocher à ce travail, qui pourrait être le meilleur film de son auteur. On reconnaîtra également la valeur intemporelle de ce pamphlet en apparenceanticlérical, véritable ode à la liberté triomphant de l'obscurantisme.
Le Figaroscope
Chaque plan ressemble à un tableau de maître.
Le Point
Voir le site du Point.
Les Inrockuptibles
Nicloux a opté pour un style sobre, épure bressono-pialatienne pour aller vite, ligne claire d'où se détachent la folie de l'enfermement conventuel et la puissance de résistance de Suzanne. Ce bel écrin est habité par des comédiennes à intensité maximale (...).
Metro
Si Louise Bourgoin et Isabelle Huppert surjouent (...), Pauline Etienne est l'incarnation parfaite de l'agneau sacrifié sur l'autel des conventions sociales du XVIIIe siècle. Une révélation qui vaut le détour.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Du brûlot de Diderot, le réalisateur (...) tire un film classique où le XVIIIe siècle fait écho au fanatisme toujours vivace sans rien perdre de ses appétits récurrents : goût du genre, recherche en paternité (...), asphyxie, éloge de la rébellion, de l'insoumission, bref de l'anarchie. Et peint à charge la hiérarchie ecclésiastique.
Télérama
Pauline Etienne donne à cette pure révoltée la grâce évidente d'une sainte. Une sainte laïque, pleine de vigueur et d'innocence dans sa passion. (...) La jeune comédienne (...) impose dans chaque plan sa sincérité lumineuse.
aVoir-aLire.com
Sans concession, mais également sans volonté de choquer inutilement, cette nouvelle version de l'oeuvre de Diderot est donc une expérience enthousiasmante à plus d'un titre, quelque part entre la rigueur formelle d'un Alain Cavalier et l'immédiate accessibilité d'une oeuvre d'Alain Corneau.
20 Minutes
Si on déplore le côté trop lisse d'un ensemble dont le mordant s'est émoussé, la performance de Pauline Etienne emporte le morceau en faisant prendre fait et cause pour cette nonne malgré elle.
Elle
C'est quand Isabelle Huppert apparait que le film prend son départ, (...) s'anime. Les acteurs emploient des imparfaits du subjonctif - sans préciosité ni emphase, (..) mais ce soin n'est pas toujours de mise à l'image, et (...) l'attention se relâche à cause d'un sentiment arbitraire.
Le Journal du Dimanche
Refusant une surdramatisation du roman de Diderot, Nicloux laisse parler les faits et signe une belle adaptation dépouillée, rejetant les artifices jusqu'à l'austère : éclairage à la bougie, actrices pas maquillées... Mais qui résonne également d'une grande modernité.
Le Monde
Ce désir de mettre en scène la lutte contre des maux unanimement (...) dénoncés détourne "La Religieuse" de son parcours originel, jusqu'à la mener à une fin (...) dont on doit prévenir les lecteurs de Diderot qu'elle les déconcertera. Au mieux.
Les Fiches du Cinéma
Cette adaptation inattendue de Diderot par Nicloux apporte au combat pour sa liberté d'une religieuse malgré elle une densité charnelle, bien servie par une distribution dont l'éclectisme se révèle pertinent.
Libération
Pauline Etienne est la révélation de ce film léché et d'un académisme bon teint où l'on peine à comprendre pourquoi le cinéaste agite ainsi la question de l'enfermement religieux des jeunes filles qui n'est plus tout à fait d'actualité.
Ouest France
On est presque dans le registre du documentaire, avec une mise en scène qui s'est installée dans de vrais couvents pour en saisir les rites et les pratiques du quotidien. La même application habite les interprètes, (...) et une révélation, la jeune Pauline Etienne, pleine d'une présence touchante et délicate. Quand le récit est ça et là touché par la ferveur, c'est à elle qu'il le doit.
Positif
Fidèle à de nombreux aspects du livre (en particulier les dialogues), Guillaume Nicloux en réinvente le dénouement et modifie quelque peu le caractère de sa protagoniste, moins élégante, moins bonne musicienne, moins tout (...).
Première
On peut louer le parti pris du traitement ascétique et le sérieux immuable du réalisateur, (...) mais on peut également trouver qu'il manque de flamme et de rythme pour rendre convulsive cette descente aux enfers.
Télé 7 Jours
Si Guillaume Nicloux livre une adaptation très libre, mais bien trop sage, du roman de Diderot, il signe une ode à la liberté des plus percutantes.
Critikat.com
Nicloux érige son personnage en martyr d'un système clérical autoritaire, redoublant son adaptation du roman par une lecture servile et religieuse de la figure de Suzanne Simonin.
La Croix
Ce film révèle surtout Pauline Étienne, fragile et inflexible, dont le talent illumine l'écran. C'est à la fois peu et déjà beaucoup.
TF1 News
Hélas, en voulant faire de la "nunsploitation" propre et auteurisante (...), [Guillaume Nicloux] n'offre qu'un traitement scolaire dépourvu de passion, d'émotion et de rythme. On ne retiendra qu'Isabelle Huppert, impériale en mère supérieure maboule, amenant un peu de vie et de folie à cette adaptation compassée.
Transfuge
(...) malgré les efforts du réalisateur Guillaume Nicloux, il n'y a pas besoin de beaucoup de perspicacité pour se rendre compte que l'objet fait toc. (...) "La religieuse" finit par rester sur l'estomac.
Cahiers du Cinéma
A force de déférence écrasée et de piété poussiéreuse, Nicloux ne tire de sa "Religieuse" qu'une imagerie sulpicienne de plus.