Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir le site lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
20 Minutes
par Caroline Vié
Cette ode à la joie d'aimer donne des ailes à nos désirs. Ouvrons les bras à ces Happy Few qui pourraient faire des émules tant leur bonheur fait plaisir à voir.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Elle
par Florence Ben Sadoun
Ce film, léger en apparence, démarre avec une certaine finesse. Ça s'emballe très vite et très fort.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Le réalisateur a choisi de tenir le cap d'un cinéma accessible, presque classique dans sa forme, [...] hardi et convaincant dans sa façon d'aller droit dans le vif du sujet.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Le talent et l'inspiration (...) qui renouent avec ce que le cinéma français a de meilleur depuis Jean Renoir : l'âpreté du réalisme, l'érotisation des corps, l'intimisme comme fer de lance d'une traversée sociale des apparences.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
État de grâce amoureux entre deux couples incarnés par un quatuor d'acteurs épatants. Le second film d'Antony Cordier, tout en élégance sensuelle, touche juste.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Eric Loret
Si elle (la vie) est débarassée de tout commentaire et de tout arrière-monde, sa complexité prend une forme presque démonstrative, nécessaire mais opaque à la fois -précisément parce que tout est là, et qu'il n'y a rien derrière.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Ciné Live
par Iris Mazzacurati
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Brazil
par Franck Unimon
Si l'on accepte de le suivre jusqu'au bout, ce film adulte nous permet de faire le trottoir de nos peurs, de nos erreurs et de nos désirs aussi.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Ouest France
par La Rédaction
Une construction mécanique et appliquée qui jamais ne transpire des élans de la chair.
Première
par Isabelle Danel
Parfois, les voix off des personnages sont redondantes (...), quelques fausses pistes agacent, quelques afféteries de scénario aussi. Mais c'est peu au regard de la force avec laquelle les acteurs, tous exemplaires, se sont emparés de cette histoire.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Marjolaine Jarry
(...) Mais avec la défense d'un territoire amoureux comme ultime espace de liberté dans un monde cerné par l'ordre et la rentabilité. Un monde où le terme "libre-échange" désigne avant tout un système de commerce international.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Chronic'art.com
par Jérôme Momcilovic
La précision et la relative finesse de l'écriture renvoient à ce qui faisait la qualité de Douches froides mais l'effet est inverse : ici la précision étrangle ce qu'alors elle aidait à libérer.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Positif
par Fabien Baumann
(...) des ponts musicaux branchés qui soulignent cruellement le défaut de mise en scène.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Les personnages n'ayant aucune épaisseur et zéro existence en dehors de leurs ébats, le film se cantonne à une succession de scènes de sexe, d'où une certaine impression de racolage.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Télérama
par Guillemette Odicino
Happy Few nous explique qu'il n'y a point de salut hors de l'adultère organisé. Une morale bien morne. Chez Sautet, le désenchantement amoureux avait plus de gueule, et la chair était moins triste.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Ce qui rend le film irritant et triste, au lieu d'être solaire et joyeux, c'est qu'à l'absence d'une dramatisation excessive (...) répond une artificialité de tous les instants.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Critikat.com
par Arnaud Hée
Pour ceux qui avaient placé, après son premier long-métrage, quelque espoir en Anthony Cordier, Happy Few pourrait faire l'effet d'une douche froide. Et même, après avoir vu son second, se sentiront-ils peut-être, comme les quatre protagonistes lors d'une scène grotesque, roulés dans la farine.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Excessif
par La Rédaction
On attendait de l'audace ; on n'aura qu'une ébauche de ce que le film aurait pu (dû ?) être.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
La Croix
par Arnaud Schwartz
Le réalisateur s'attarde sur de longues scènes sexuelles, d'une crudité extrême, sans parvenir à sortir d'un propos un peu vain.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaroscope
par La Rédaction
Deux couples en quête de nouveauté s'essaient à l'échangisme et se retrouvent roulés dans la farine. Nous aussi, malgré de bons comédiens.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Point
Voir le site lepoint.fr
20 Minutes
Cette ode à la joie d'aimer donne des ailes à nos désirs. Ouvrons les bras à ces Happy Few qui pourraient faire des émules tant leur bonheur fait plaisir à voir.
Elle
Ce film, léger en apparence, démarre avec une certaine finesse. Ça s'emballe très vite et très fort.
Le Journal du Dimanche
Le réalisateur a choisi de tenir le cap d'un cinéma accessible, presque classique dans sa forme, [...] hardi et convaincant dans sa façon d'aller droit dans le vif du sujet.
Le Monde
Le talent et l'inspiration (...) qui renouent avec ce que le cinéma français a de meilleur depuis Jean Renoir : l'âpreté du réalisme, l'érotisation des corps, l'intimisme comme fer de lance d'une traversée sociale des apparences.
Les Inrockuptibles
État de grâce amoureux entre deux couples incarnés par un quatuor d'acteurs épatants. Le second film d'Antony Cordier, tout en élégance sensuelle, touche juste.
Libération
Si elle (la vie) est débarassée de tout commentaire et de tout arrière-monde, sa complexité prend une forme presque démonstrative, nécessaire mais opaque à la fois -précisément parce que tout est là, et qu'il n'y a rien derrière.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
Brazil
Si l'on accepte de le suivre jusqu'au bout, ce film adulte nous permet de faire le trottoir de nos peurs, de nos erreurs et de nos désirs aussi.
Ouest France
Une construction mécanique et appliquée qui jamais ne transpire des élans de la chair.
Première
Parfois, les voix off des personnages sont redondantes (...), quelques fausses pistes agacent, quelques afféteries de scénario aussi. Mais c'est peu au regard de la force avec laquelle les acteurs, tous exemplaires, se sont emparés de cette histoire.
TéléCinéObs
(...) Mais avec la défense d'un territoire amoureux comme ultime espace de liberté dans un monde cerné par l'ordre et la rentabilité. Un monde où le terme "libre-échange" désigne avant tout un système de commerce international.
Chronic'art.com
La précision et la relative finesse de l'écriture renvoient à ce qui faisait la qualité de Douches froides mais l'effet est inverse : ici la précision étrangle ce qu'alors elle aidait à libérer.
Positif
(...) des ponts musicaux branchés qui soulignent cruellement le défaut de mise en scène.
Télé 7 Jours
Les personnages n'ayant aucune épaisseur et zéro existence en dehors de leurs ébats, le film se cantonne à une succession de scènes de sexe, d'où une certaine impression de racolage.
Télérama
Happy Few nous explique qu'il n'y a point de salut hors de l'adultère organisé. Une morale bien morne. Chez Sautet, le désenchantement amoureux avait plus de gueule, et la chair était moins triste.
Cahiers du Cinéma
Ce qui rend le film irritant et triste, au lieu d'être solaire et joyeux, c'est qu'à l'absence d'une dramatisation excessive (...) répond une artificialité de tous les instants.
Critikat.com
Pour ceux qui avaient placé, après son premier long-métrage, quelque espoir en Anthony Cordier, Happy Few pourrait faire l'effet d'une douche froide. Et même, après avoir vu son second, se sentiront-ils peut-être, comme les quatre protagonistes lors d'une scène grotesque, roulés dans la farine.
Excessif
On attendait de l'audace ; on n'aura qu'une ébauche de ce que le film aurait pu (dû ?) être.
La Croix
Le réalisateur s'attarde sur de longues scènes sexuelles, d'une crudité extrême, sans parvenir à sortir d'un propos un peu vain.
Le Figaroscope
Deux couples en quête de nouveauté s'essaient à l'échangisme et se retrouvent roulés dans la farine. Nous aussi, malgré de bons comédiens.