Goltzius et la Compagnie du Pélican : Critique presse
Goltzius et la Compagnie du Pélican
Note moyenne
3,0
19 titres de presse
Positif
Franceinfo Culture
L'Humanité
Le Journal du Dimanche
TF1 News
Télérama
aVoir-aLire.com
20 Minutes
L'Obs
Ouest France
Première
Studio Ciné Live
TéléCinéObs
Critikat.com
La Croix
Le Monde
Les Fiches du Cinéma
Cahiers du Cinéma
Le Figaroscope
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Positif
par Jean-Loup Bourget
Mixte somptueux de cinéma narratif et de cinéma visuel, de théâtre et de musique, de corps d'acteurs et d'effets spéciaux, d'images et de textes, (...), Goltzius donne doublement tort : aux détracteurs de Greenaway, qui voient en lui un plasticien plutôt qu'un cinéaste, et à Greenaway lui-même, qui ne cesse de proclamer que "le cinéma est mort".
La critique complète est disponible sur le site Positif
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Un film certes ésotérique, mais aussi ludique, qui, s’il l’on s’y laisse prendre, emmène dans un maelstrom d’images somptueuses et magiques.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Jean Roy
Le catalogue de ses références, en particulier picturales, s’étale à l’infini, son emploi de l’audiovisuel est digne de celui d’un expérimentateur, qui va de l’emploi de l’écriture sur images aux effets en 3D, en passant par les écrans superposés, témoignant de son désir de fondre tous les arts en un seul.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Ce nouveau Greenaway émerveille avec ses cadres étourdissants et sa théâtralité vivante et échevelée. Semé de références picturales, intello sans être élitiste, Greenaway jongle avec ses marottes : sexe, mort, pouvoir.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
TF1 News
par Romain Le Vern
On a parfois l'impression de regarder une orgie costumée en écoutant du classique. Cela peut passer pour la gratuité mais savoir que son cinéma génialement ivre, baroque et décadent, continue d'exister suffit à réjouir.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Télérama
par Pierre Murat
De la même façon que son personnage se joue de son hypothétique mécène, le cinéaste manipule ses producteurs et ses spectateurs. Il distord ses intrigues, les multiplie, les éparpille, en révèle les artifices et s'en amuse.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Virgile Dumez
Véritable tour de Babel artistique, le nouveau Peter Greenaway est un audacieux jeu de poupées gigogne qui brasse toutes les obsessions du cinéaste dans un ensemble aussi brillant sur le plan formel que riche sur le plan intellectuel.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
par Caroline Vié
Le côté décousu de l’ensemble comme un nombre trop élevé de perversions représentées rendent le film trop riche et trop long. Mais, l’humour glacial de Peter Greenway allié à un message célébrant la liberté d’expression force la sympathie.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
L'Obs
par Pascal Mérigeau
"Goltzius et la Compagnie du Pélican" proclame à chaque seconde l'artificialité de l'art, il fait de la fabrication de l'oeuvre son objet, affiche ses procédés pour mieux jouer avec le spectateur et suscite par moments un émerveillement sans équivalent.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Ouest France
par La Rédaction
On peine parfois à digérer sa surenchère. Mais le cinéaste britannique a toujours la main pour mettre en scène des images fantastiques et inventives.
Première
par Gérard Delorme
En adéquation avec son sujet, l'esthète philosophe Peter Greenway a filmé ce plaidoyer pour la liberté d'expression avec un réalisme extrême tempéré par une stylisation poussée, ce qui évite au film d'être classé X.
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par François Forestier
L'image est magnifique, le texte passionnant, mais pourquoi l'ensemble laisse-t-il ce goût d'inachevé ?
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Critikat.com
par Matthieu Amat
On peut se demander si le style, ou plutôt la manière de Greenaway n’arrive pas à épuisement. L’idée de l’histoire comme réécriture infinie tend à devenir une pure forme, faisant tourner à vide les signifiants de la culture.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Sabine Gignoux
Une telle débauche de moyens mise au service d’un propos aussi vain, laisse pantois.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Noémie Luciani
Si la créativité formelle de Peter Greenaway semble ne pas devoir se tarir, le sens de cette énième dissection conceptuelle de l'image reste obscur et l'impertinence de sa lecture biblique semble avoir des siècles de retard.
Les Fiches du Cinéma
par Christian Berger
Encore plus immodeste que de coutume, Peter Greenaway s'autodétruit sous un déluge de mauvais goût et de vulgarité, et ennuie au plus haut point !
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Cahiers du Cinéma
par Clémentine Gallot
Le résultat pompier est inversement proportionnel à l’effet recherché, une performance aux allures de catalogue sursaturé de codes picturaux et de références bibliques.
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Ce n’est pas la première fois que Peter Greenaway s’amuse à mélanger érudition et fantasmes libidineux, mais le procédé est usé, et le film laborieux.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Positif
Mixte somptueux de cinéma narratif et de cinéma visuel, de théâtre et de musique, de corps d'acteurs et d'effets spéciaux, d'images et de textes, (...), Goltzius donne doublement tort : aux détracteurs de Greenaway, qui voient en lui un plasticien plutôt qu'un cinéaste, et à Greenaway lui-même, qui ne cesse de proclamer que "le cinéma est mort".
Franceinfo Culture
Un film certes ésotérique, mais aussi ludique, qui, s’il l’on s’y laisse prendre, emmène dans un maelstrom d’images somptueuses et magiques.
L'Humanité
Le catalogue de ses références, en particulier picturales, s’étale à l’infini, son emploi de l’audiovisuel est digne de celui d’un expérimentateur, qui va de l’emploi de l’écriture sur images aux effets en 3D, en passant par les écrans superposés, témoignant de son désir de fondre tous les arts en un seul.
Le Journal du Dimanche
Ce nouveau Greenaway émerveille avec ses cadres étourdissants et sa théâtralité vivante et échevelée. Semé de références picturales, intello sans être élitiste, Greenaway jongle avec ses marottes : sexe, mort, pouvoir.
TF1 News
On a parfois l'impression de regarder une orgie costumée en écoutant du classique. Cela peut passer pour la gratuité mais savoir que son cinéma génialement ivre, baroque et décadent, continue d'exister suffit à réjouir.
Télérama
De la même façon que son personnage se joue de son hypothétique mécène, le cinéaste manipule ses producteurs et ses spectateurs. Il distord ses intrigues, les multiplie, les éparpille, en révèle les artifices et s'en amuse.
aVoir-aLire.com
Véritable tour de Babel artistique, le nouveau Peter Greenaway est un audacieux jeu de poupées gigogne qui brasse toutes les obsessions du cinéaste dans un ensemble aussi brillant sur le plan formel que riche sur le plan intellectuel.
20 Minutes
Le côté décousu de l’ensemble comme un nombre trop élevé de perversions représentées rendent le film trop riche et trop long. Mais, l’humour glacial de Peter Greenway allié à un message célébrant la liberté d’expression force la sympathie.
L'Obs
"Goltzius et la Compagnie du Pélican" proclame à chaque seconde l'artificialité de l'art, il fait de la fabrication de l'oeuvre son objet, affiche ses procédés pour mieux jouer avec le spectateur et suscite par moments un émerveillement sans équivalent.
Ouest France
On peine parfois à digérer sa surenchère. Mais le cinéaste britannique a toujours la main pour mettre en scène des images fantastiques et inventives.
Première
En adéquation avec son sujet, l'esthète philosophe Peter Greenway a filmé ce plaidoyer pour la liberté d'expression avec un réalisme extrême tempéré par une stylisation poussée, ce qui évite au film d'être classé X.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
L'image est magnifique, le texte passionnant, mais pourquoi l'ensemble laisse-t-il ce goût d'inachevé ?
Critikat.com
On peut se demander si le style, ou plutôt la manière de Greenaway n’arrive pas à épuisement. L’idée de l’histoire comme réécriture infinie tend à devenir une pure forme, faisant tourner à vide les signifiants de la culture.
La Croix
Une telle débauche de moyens mise au service d’un propos aussi vain, laisse pantois.
Le Monde
Si la créativité formelle de Peter Greenaway semble ne pas devoir se tarir, le sens de cette énième dissection conceptuelle de l'image reste obscur et l'impertinence de sa lecture biblique semble avoir des siècles de retard.
Les Fiches du Cinéma
Encore plus immodeste que de coutume, Peter Greenaway s'autodétruit sous un déluge de mauvais goût et de vulgarité, et ennuie au plus haut point !
Cahiers du Cinéma
Le résultat pompier est inversement proportionnel à l’effet recherché, une performance aux allures de catalogue sursaturé de codes picturaux et de références bibliques.
Le Figaroscope
Ce n’est pas la première fois que Peter Greenaway s’amuse à mélanger érudition et fantasmes libidineux, mais le procédé est usé, et le film laborieux.