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AMCHI
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2,5
Publiée le 29 mai 2013
Un des rares films ou John Wayne n'incarne ni un cowboy ni un militaire mais un pompier (on peut l'apercevoir en costume cravate). Les feux de l'enfer mélange scènes catastrophes et problèmes familiaux des pompiers ; pour l'action le film reste encore assez impressionnant par contre les problèmes matrimoniaux des pompiers cassent parfois le rythme du films mais le casting très réussi apporte beaucoup au film. C'est une gentille production qui se laisser regarder avec un certain plaisir ou tout s'arrange à la fin.
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1,5
Publiée le 18 septembre 2018
Pour "Hellfighters", rèalisè par Andrew V. McLaglen, les vètèrans John Wayne, Bruce Cabot et Jay C. Flippen (en fauteuil roulant) se retrouvèrent aux alentours de Houston avec l'èquipe technique au plein milieu des feux de puits de pètrole! Bref un film qui devait être très spectaculaire, très efficace, très divertissant, et, pour finir, mèdiocre, bavard et parfois ridicule (les attaques aèriennes). Tout vise à mettre en valeur John Wayne dans une tenue inhabituelle! Pourquoi s'en plaindre diront les aficionados ? Avec un bout de taule en guise de protection contre les feux immenses qui s'èlancent vers le ciel, Wayne fait des miracles en vous sauvant une entreprise de puits de pètrole à lui tout seul! Wayne, sous les traits d'un pompier courageux n'eut donc aucun mal à adopter cette attitude du bourru au grand coeur! Autre aspect inhabituel, ce sont les querelles familiales et amoureuses qui passent avant les scènes d'action! Un comble! Entre deux chefs d'oeuvre ("The Graduate" et "Butch Cassidy and the Sundance Kid") Katharine Ross ne colle pas du tout avec son personnage! Au final, les pires poncifs du genre bien mis en scène...
Voici un des rares films où John Wayne n'incarne ni un cow-boy, ni un militaire, ni un flic. Invité par son ami Andrew V. McLaglen, Wayne incarne ici le rôle très original d'un pompier privé spécialisé dans les feux de forage. Côté film d'aventures / action les séquences se révèlent assez vite répétitives à défaut d'être réellement impressionnantes malgré de réels efforts dans les effets spéciaux et pyrotechniques. L'ensemble a malheureusement bien vieilli ! Toutefois l'originalité se situe dans le mariage entre film d'action et la romance qui, si elle n'est pas le fort du Duke, se révèle amusante et parfois touchante tout en réitérant de maladroites facilités scénaristiques. Côté casting, le duo Wayne-Hutton fonctionne bien avec une réelle complicité dans l'équipe des combattants du feu avec en prime l'éternel Bruce Cabot et le discret Edward Falkner. Le couple Wayne-Miles fonctionne étonnamment bien, surtout lorsque l'on se souvient que quelques années auparavant Vera Miles incarnait la jeune et jolie Laurie Jorgensen dans "La prisonnière du désert". Au final, on n'assiste pas à un grand film, mais l'ensemble demeure plutôt plaisant et gentil, même si la fin aurait probablement gagnée à se révéler un peu plus dramatique.
Un film des copains de John Wayne avec Mac Laglen Jr, Jay C. Flippen, Bruce Cabot. Avec une telle distribution, il ne faut pas s'attendre à un film gauchiste. Même quand ce n'est pas un film de guerre, Wayne et sa bande dénoncent la menace de la guérilla (communiste) ici au Venezuela, allusion transpirante au Vietnam. Pourtant, les Américains sont courageux et apportent leur savoir-faire dans tous les coins du monde, mais il y a des obscurantistes qui les embêtent et l'armée indigène n'est pas capable de les protéger efficacement. Les scènes d'action sont spectaculaires (pour l'époque), mais nous impressionnent moins aujourd'hui et elles sont trop répétitives pour nous accrocher. On peut se demander ce que font Katharine Ross (actrice pourtant très indépendante) et Vera Miles dans un film de «mecs» qui leur accorde un rôle faussement émancipé, plutôt d'enquiquineuses dont la vraie place est au foyer. C'est long et daté.