Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Positif
par Philippe Fraisse
(...) un très bon film documentaire (...).
La critique complète est disponible sur le site Positif
L'Humanité
par La rédaction
Miracle du cinéma, l'oeuvre parvient à nous passionner là où (sentiment personnel bien sûr) on aurait craqué au bout de dix minutes dans la réalité. C'est ce qu'on appelle avoir du talent.
L'Obs
par Jérôme Garcin
Nicolas Philibert, le documentariste d'" Etre et avoir ", consacre un film troublant à " Nénette ", ou plutôt à la manière dont, par son regard indifférent et ses silences méditatifs, elle réveille l'anthropomorphisme des visiteurs excités.
Le Monde
par Thomas Sotinel
On peut le revoir plusieurs fois, en découvrir de nouveaux détails, on ne sort pas de l'enfermement dans lequel Nicolas Philibert confine son spectateur (...). Mais l'irritation, voire l'exaspération que suscite cet enfermement sont fructueuses.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Nénette est un film modeste, mais un film-question, du genre grand petit film.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Danièle Heymann
Et voilà qu'on est émus, qu'on s'est mis à aimer ce bloc d'animalité entravée. Sacré Philibert, il y est arrivé : Nénette, c'est nous.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
voir le site
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Pierre Murat
Elle a une telle présence, Nénette, elle dégage une telle force tranquille, son regard est empreint d'une telle sérénité qu'on ne peut s'empêcher de se poser des questions.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Nicolas Journet
Le dispositif est brillant, mais Nicolas Philibert a déjà filmé l'impossibilité de communiquer de manière moins programmatique, plus ouverte, davantage portée par la vie.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Journal du Dimanche
par Danielle Attali
(...) un doc plutôt impressionniste où fusent les commentaires de toute sorte. Au fil des minutes, on finit par vraiment s'attacher à cette mamie...
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir lepoint.fr.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Emmanuèle Peyret
On sort du film guère plus renseigné sur la nature du clivage qui nous lie et désunit à cette héroïne et à ses observateurs trop bavards.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La rédaction
70 minutes d'images fixées sur une présence qui apparemment ne dit rien et n'exprime pas davantage, ça fait beaucoup. Mais on peut se laisser prendre au jeu. Pour s'apitoyer, s'attendrir, s'offusquer, et décliner ainsi toute la litanie des sentiments qu'elle peut provoquer.
Première
par Frédéric Rivière
On sent parfaitement la vitre entre l'animal, d'un côté et le cinéaste et nous, pleins d'attentes, de l'autre.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Elisabeth Rouchy
Les commentaires pleuvent, reflets de l'état d'esprit de curieux que Nicolas Philibert ne nous montre jamais, préférant filmer le vieil animal, dont l'espérance de vie n'atteint ordinairement que 35 ans, à travers la vitre épaisse qui la sépare du monde. Dans ses yeux fatigués, on lit toute la douleur de vivre.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Chronic'art.com
par Jérôme Momcilovic
Et Nénette, dans tout ça ? Impériale, elle n'a rien à opposer, aux bruits du monde comme à la petite mécanique du film qui s'active malgré elle, qu'un immense ennui. De ce point de vue, Philibert a raison, et son pari est réussi : Nénette, c'est nous.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Figaroscope
par Daphné Cabaille
On aurait voulu aimer la Nénette de Nicolas Philibert, dont la caméra enregistre les commentaires des visiteurs et des soigneurs. Mais le processus lasse. Nénette baille, nous aussi.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Cahiers du Cinéma
par Stéphane Delorme
Nénette est de chaque plan, mais il n'y a rien à voir. Il n'y a rien à voir parce que rien ne guide notre regard. (...) On pensait voir un animal, tout concourt au contraire à humaniser le singe et à le traiter comme une vieille tante qu'on irait visiter dans sa maison de retraite.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Positif
(...) un très bon film documentaire (...).
L'Humanité
Miracle du cinéma, l'oeuvre parvient à nous passionner là où (sentiment personnel bien sûr) on aurait craqué au bout de dix minutes dans la réalité. C'est ce qu'on appelle avoir du talent.
L'Obs
Nicolas Philibert, le documentariste d'" Etre et avoir ", consacre un film troublant à " Nénette ", ou plutôt à la manière dont, par son regard indifférent et ses silences méditatifs, elle réveille l'anthropomorphisme des visiteurs excités.
Le Monde
On peut le revoir plusieurs fois, en découvrir de nouveaux détails, on ne sort pas de l'enfermement dans lequel Nicolas Philibert confine son spectateur (...). Mais l'irritation, voire l'exaspération que suscite cet enfermement sont fructueuses.
Les Inrockuptibles
Nénette est un film modeste, mais un film-question, du genre grand petit film.
Marianne
Et voilà qu'on est émus, qu'on s'est mis à aimer ce bloc d'animalité entravée. Sacré Philibert, il y est arrivé : Nénette, c'est nous.
Studio Ciné Live
voir le site
Télérama
Elle a une telle présence, Nénette, elle dégage une telle force tranquille, son regard est empreint d'une telle sérénité qu'on ne peut s'empêcher de se poser des questions.
Critikat.com
Le dispositif est brillant, mais Nicolas Philibert a déjà filmé l'impossibilité de communiquer de manière moins programmatique, plus ouverte, davantage portée par la vie.
Le Journal du Dimanche
(...) un doc plutôt impressionniste où fusent les commentaires de toute sorte. Au fil des minutes, on finit par vraiment s'attacher à cette mamie...
Le Point
Voir lepoint.fr.
Libération
On sort du film guère plus renseigné sur la nature du clivage qui nous lie et désunit à cette héroïne et à ses observateurs trop bavards.
Ouest France
70 minutes d'images fixées sur une présence qui apparemment ne dit rien et n'exprime pas davantage, ça fait beaucoup. Mais on peut se laisser prendre au jeu. Pour s'apitoyer, s'attendrir, s'offusquer, et décliner ainsi toute la litanie des sentiments qu'elle peut provoquer.
Première
On sent parfaitement la vitre entre l'animal, d'un côté et le cinéaste et nous, pleins d'attentes, de l'autre.
TéléCinéObs
Les commentaires pleuvent, reflets de l'état d'esprit de curieux que Nicolas Philibert ne nous montre jamais, préférant filmer le vieil animal, dont l'espérance de vie n'atteint ordinairement que 35 ans, à travers la vitre épaisse qui la sépare du monde. Dans ses yeux fatigués, on lit toute la douleur de vivre.
Chronic'art.com
Et Nénette, dans tout ça ? Impériale, elle n'a rien à opposer, aux bruits du monde comme à la petite mécanique du film qui s'active malgré elle, qu'un immense ennui. De ce point de vue, Philibert a raison, et son pari est réussi : Nénette, c'est nous.
Le Figaroscope
On aurait voulu aimer la Nénette de Nicolas Philibert, dont la caméra enregistre les commentaires des visiteurs et des soigneurs. Mais le processus lasse. Nénette baille, nous aussi.
Cahiers du Cinéma
Nénette est de chaque plan, mais il n'y a rien à voir. Il n'y a rien à voir parce que rien ne guide notre regard. (...) On pensait voir un animal, tout concourt au contraire à humaniser le singe et à le traiter comme une vieille tante qu'on irait visiter dans sa maison de retraite.