Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un film sorti de nulle part, porté par une spiritualité toute simple, qui dit la foi en l’homme et où passe le souffle fragile de la grâce.
Le Journal du Dimanche
par Danielle Attali
Ce drame finlandais possède l’âpreté nordique d’un cinéma humaniste. Le film se déroule comme une fable morale qui tisse peu à peu ses liens délicats avec le spectateur, au point de rendre attachants ses deux protagonistes, que tout sépare.
Le Monde
par Noémie Luciani
Point de prêchi-prêcha ou de rédemption facile mais un tableau d'humanité d'une grande délicatesse et fort dans sa discrétion de moyens, mettant en scène deux personnages superbes.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
De la grâce à la Grâce, un tête-à-tête confinant au divin.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
L'Obs
par La Rédaction
Bijou austère (bonus) ou conte moral pesant (malus) ? A vous de voir.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Marie Soyeux
Ce film finlandais, récit âpre et lumineux d’une double quête intérieure, traite de la difficulté à donner et pardonner, tant à soi-même qu’à autrui.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Positif
par Adrien Gombeaud
Au fond, il ne manque à ce film qu'un soupçon de cinéma.
Première
par Isabelle Danel
La mise en scène, remarquable, cerne chacun dans ses certitudes et questions, enfermé qu’il est dans sa tête et son "rôle". L’écriture est parfois paresseuse et le ressort dramatique trop voyant (...). Mais le face-à-face de cette femme revenue de tout et de cet homme de Dieu est touchant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Si le début, très beau, surprend, la suite se révèle toutefois plus attendue.
Télérama
par Nicolas Didier
Cet honnête mélo montre le tarissement d'une correspondance comme une lente agonie. Et suggère la perte d'influence de l'Eglise, dont le père Jacob est la parfaite allégorie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Clément Graminiès
(...) la mise en scène s’embourbe dans une pause affectée, une gravité excessive (...).
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
TF1 News
par Romain Le Vern
L'histoire est sauvée de la banalité par son interprétation et son parti pris esthétique.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Le Dauphiné Libéré
Un film sorti de nulle part, porté par une spiritualité toute simple, qui dit la foi en l’homme et où passe le souffle fragile de la grâce.
Le Journal du Dimanche
Ce drame finlandais possède l’âpreté nordique d’un cinéma humaniste. Le film se déroule comme une fable morale qui tisse peu à peu ses liens délicats avec le spectateur, au point de rendre attachants ses deux protagonistes, que tout sépare.
Le Monde
Point de prêchi-prêcha ou de rédemption facile mais un tableau d'humanité d'une grande délicatesse et fort dans sa discrétion de moyens, mettant en scène deux personnages superbes.
Les Fiches du Cinéma
De la grâce à la Grâce, un tête-à-tête confinant au divin.
L'Obs
Bijou austère (bonus) ou conte moral pesant (malus) ? A vous de voir.
La Croix
Ce film finlandais, récit âpre et lumineux d’une double quête intérieure, traite de la difficulté à donner et pardonner, tant à soi-même qu’à autrui.
Positif
Au fond, il ne manque à ce film qu'un soupçon de cinéma.
Première
La mise en scène, remarquable, cerne chacun dans ses certitudes et questions, enfermé qu’il est dans sa tête et son "rôle". L’écriture est parfois paresseuse et le ressort dramatique trop voyant (...). Mais le face-à-face de cette femme revenue de tout et de cet homme de Dieu est touchant.
Studio Ciné Live
Si le début, très beau, surprend, la suite se révèle toutefois plus attendue.
Télérama
Cet honnête mélo montre le tarissement d'une correspondance comme une lente agonie. Et suggère la perte d'influence de l'Eglise, dont le père Jacob est la parfaite allégorie.
Critikat.com
(...) la mise en scène s’embourbe dans une pause affectée, une gravité excessive (...).
TF1 News
L'histoire est sauvée de la banalité par son interprétation et son parti pris esthétique.