Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Trois excellents acteurs qui jouent avec délicatesse des ombres et des lumières d'un climat nuageux.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
20 Minutes
par Caroline Vié
On est parfois agacé par le maniérisme de la mise en scène, mais on se laisse aussitôt rattraper par la sincérité palpable d'un deuxième film porté par une distribution de premier choix. La douleur existentielle du héros affleure dans un cocktail de pudeur et d'exhibitionnisme qui le rend diantrement attachant.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Critikat.com
par Fabien Reyre
Les héros de Mike Mills touchent par leur simplicité, qu'une attention toute particulière portée aux détails les plus anodins rend encore plus bouleversants.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Elle
par Ophélie Meunier
Le film est réussi grâce au casting, excellent, et à l'originalité de traitement de thèmes finalement peu traités comme l'homosexualité tardive d'un père. Un film qui prend son temps, qui explore la langueur de Los Angeles et les aspérités de la vie. Un parfait film d'été.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Excessif
par Claire-Hélène Bouzgarrou
"Beginners" aurait pu virer à la mièvrerie. Mais il y a dans ce film un mélange de poésie, d'humour et une mise en scène inventive qui emportent le spectateur. (...) Une comédie sympathique et pleine de charme.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Mike Mills signe une chronique intimiste à la forme originale. (...) Christopher Plummer est d'une justesse remarquable.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Marie Sauvion
Mike Mills signe un film plein de charme, dont les effets (voix off, chien qui parle, dessins et couleurs à l'écran...) n'empêchent pas l'émotion, au contraire. Si l'intrigue amoureuse proprement dite entre Ewan McGregor et Mélanie Laurent, au demeurant parfaits, finit par s'essouffler un brin, le personnage du vieux papa homo, merveilleusement interprété par Christopher Plummer, se révèle constamment émouvant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Olivier de Bruyn
voir lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Jean-Marc Lalanne
Si seulement ce qui se passe dans les têtes (des hommes, des chiens) arrivait à en sortir, la vie laisserait des empreintes moins amères. "Beginners" les relève avec un beau soin et une grande délicatesse.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par La rédaction
Christopher Plummer dans le rôle du père, mais aussi Ewan McGregor et Mélanie Laurent en jeunes soupirants, vivent avec une rare présence un chemin d'amour travaillé dans une mise en scène délicate et subtile. Le fond et la forme se renvoient la balle d'une jolie réussite.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Positif
par Olivier de Bruyn
Les prestations convaincantes des trois acteurs principaux (Ewan McGregor, Christopher Plummer et Mélanie Laurent) contribuent pour beaucoup à la réussite, mineure mais réelle, de ce film qui arpente les zones fluctuantes de l'identité avec une délicatesse et une profondeur pas si communes.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Télé 7 Jours
par Philippe Ross
Jouant avec les flashback et les flashforwards, avec un joli trio d'acteurs, voilà une épatante leçon d'amour filial, d'optimisme et de tolérance.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
TéléCinéObs
par Nicolas Schaller
Le cinéma autofictionnel de Mike Mills (" Age difficile obscur ") s'inscrit dans la lignée des premiers films de Sofia Coppola, Spike Jonze et Michel Gondry. En plus fragile et avec, donc, un train de retard que compensent largement ses acteurs, (...) ses jolies trouvailles (...) et un regard très personnel, toujours à la bonne hauteur d'homme : celle de l'adolescent que nous sommes tous face à l'amour et de l'enfant que nous redevenons face au deuil.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Louis Guichard
Deuxième long métrage, très réussi, du graphiste et clippeur américain Mike Mills. (...) Ewan McGregor s'y montre introverti et vulnérable, émouvant comme jamais.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Brazil
par Alexandra Louvet
Sur un sujet rebattu cent fois (la difficulté de grandir et de s'affranchir d'un passé familial douloureux), Mike Mills parvient à se frayer un chemin original grâce à un montage non linéaire et à un mélange doux-amer de mélancolie et d'humour...
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Filmsactu
par Stéphane Joseph
Une chose est sûre, le film divisera par son traitement et réunira par sa tendresse. (...) Un film tout aussi plaisant par sa profondeur que décevant par son exploration classique.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
L'Express
par Christophe Carrière
"Beginners" est une introspection ouverte à tous. Le réalisateur n'oublie pas de parsemer son récit de fantaisie. Malheureusement, il a tendance à abuser de son savoir-faire. Le charme du couple Ewan McGregor-Mélanie Laurent et le charisme de Christopher Plummer pallient ces excès de zèle. On a même le droit d'être ému.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Monde
par Thomas Sotinel
La recette de "Beginners", deuxième long métrage de Mike Mills, repose sur un mélange de lucidité et d'effusion. C'est adorable - en d'autres termes émouvant et irritant.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Metro
par Rania Hoballah
(...) un premier film touchant et sincère sur la difficulté de devenir adulte. Un sujet archi rabâché que Mills parvient à rendre poétique grâce à une mise en scène originale et à un casting nickel.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Paris Match
par Alain Spira
Ce tendre drame sentimental, à travers des personnages plutôt formatés – à l'exception du chien – a l'originalité de laisser l'histoire d'amour au second plan pour privilégier la relation père-fils, et dessiner le portrait touchant d'un beau vieil homme (formidable Christopher Plummer).
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Alex Masson
La narration maniérée, évite d'évoquer frontalement la douleur, asphyxiant parfois une belle mélancolie et les promesses d'une histoire d'amour naissante portée par des acteurs tout en vulnérabilité.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Le problème de "Beginners" n'est pas tant son fond (bon, forcément bon) que sa posture, qui prend finalement son sujet avec un certain surplomb.
Libération
par Clément Ghys
(...) Mike Mills (...) [répond] à la question filiale universelle : comment vivaient mes parents avant qu'ils ne le deviennent ? C'est là le pari le plus réussi de "Beginners", le traitement du deuil et du sentiment amoureux étant plus que superficiel : bâclé.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
Conçu comme fantasme ultime pour un public distingué qui n'aime rien tant que se lover comme un toutou dans sa niche sociologique, "Beginners" vaut pour sa dimension d'objet témoin du début des années 2010. Bienvenu dans l'horreur 2.0.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Figaroscope
Trois excellents acteurs qui jouent avec délicatesse des ombres et des lumières d'un climat nuageux.
20 Minutes
On est parfois agacé par le maniérisme de la mise en scène, mais on se laisse aussitôt rattraper par la sincérité palpable d'un deuxième film porté par une distribution de premier choix. La douleur existentielle du héros affleure dans un cocktail de pudeur et d'exhibitionnisme qui le rend diantrement attachant.
Critikat.com
Les héros de Mike Mills touchent par leur simplicité, qu'une attention toute particulière portée aux détails les plus anodins rend encore plus bouleversants.
Elle
Le film est réussi grâce au casting, excellent, et à l'originalité de traitement de thèmes finalement peu traités comme l'homosexualité tardive d'un père. Un film qui prend son temps, qui explore la langueur de Los Angeles et les aspérités de la vie. Un parfait film d'été.
Excessif
"Beginners" aurait pu virer à la mièvrerie. Mais il y a dans ce film un mélange de poésie, d'humour et une mise en scène inventive qui emportent le spectateur. (...) Une comédie sympathique et pleine de charme.
Le Journal du Dimanche
Mike Mills signe une chronique intimiste à la forme originale. (...) Christopher Plummer est d'une justesse remarquable.
Le Parisien
Mike Mills signe un film plein de charme, dont les effets (voix off, chien qui parle, dessins et couleurs à l'écran...) n'empêchent pas l'émotion, au contraire. Si l'intrigue amoureuse proprement dite entre Ewan McGregor et Mélanie Laurent, au demeurant parfaits, finit par s'essouffler un brin, le personnage du vieux papa homo, merveilleusement interprété par Christopher Plummer, se révèle constamment émouvant.
Le Point
voir lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Si seulement ce qui se passe dans les têtes (des hommes, des chiens) arrivait à en sortir, la vie laisserait des empreintes moins amères. "Beginners" les relève avec un beau soin et une grande délicatesse.
Ouest France
Christopher Plummer dans le rôle du père, mais aussi Ewan McGregor et Mélanie Laurent en jeunes soupirants, vivent avec une rare présence un chemin d'amour travaillé dans une mise en scène délicate et subtile. Le fond et la forme se renvoient la balle d'une jolie réussite.
Positif
Les prestations convaincantes des trois acteurs principaux (Ewan McGregor, Christopher Plummer et Mélanie Laurent) contribuent pour beaucoup à la réussite, mineure mais réelle, de ce film qui arpente les zones fluctuantes de l'identité avec une délicatesse et une profondeur pas si communes.
Télé 7 Jours
Jouant avec les flashback et les flashforwards, avec un joli trio d'acteurs, voilà une épatante leçon d'amour filial, d'optimisme et de tolérance.
TéléCinéObs
Le cinéma autofictionnel de Mike Mills (" Age difficile obscur ") s'inscrit dans la lignée des premiers films de Sofia Coppola, Spike Jonze et Michel Gondry. En plus fragile et avec, donc, un train de retard que compensent largement ses acteurs, (...) ses jolies trouvailles (...) et un regard très personnel, toujours à la bonne hauteur d'homme : celle de l'adolescent que nous sommes tous face à l'amour et de l'enfant que nous redevenons face au deuil.
Télérama
Deuxième long métrage, très réussi, du graphiste et clippeur américain Mike Mills. (...) Ewan McGregor s'y montre introverti et vulnérable, émouvant comme jamais.
Brazil
Sur un sujet rebattu cent fois (la difficulté de grandir et de s'affranchir d'un passé familial douloureux), Mike Mills parvient à se frayer un chemin original grâce à un montage non linéaire et à un mélange doux-amer de mélancolie et d'humour...
Filmsactu
Une chose est sûre, le film divisera par son traitement et réunira par sa tendresse. (...) Un film tout aussi plaisant par sa profondeur que décevant par son exploration classique.
L'Express
"Beginners" est une introspection ouverte à tous. Le réalisateur n'oublie pas de parsemer son récit de fantaisie. Malheureusement, il a tendance à abuser de son savoir-faire. Le charme du couple Ewan McGregor-Mélanie Laurent et le charisme de Christopher Plummer pallient ces excès de zèle. On a même le droit d'être ému.
Le Monde
La recette de "Beginners", deuxième long métrage de Mike Mills, repose sur un mélange de lucidité et d'effusion. C'est adorable - en d'autres termes émouvant et irritant.
Metro
(...) un premier film touchant et sincère sur la difficulté de devenir adulte. Un sujet archi rabâché que Mills parvient à rendre poétique grâce à une mise en scène originale et à un casting nickel.
Paris Match
Ce tendre drame sentimental, à travers des personnages plutôt formatés – à l'exception du chien – a l'originalité de laisser l'histoire d'amour au second plan pour privilégier la relation père-fils, et dessiner le portrait touchant d'un beau vieil homme (formidable Christopher Plummer).
Première
La narration maniérée, évite d'évoquer frontalement la douleur, asphyxiant parfois une belle mélancolie et les promesses d'une histoire d'amour naissante portée par des acteurs tout en vulnérabilité.
Cahiers du Cinéma
Le problème de "Beginners" n'est pas tant son fond (bon, forcément bon) que sa posture, qui prend finalement son sujet avec un certain surplomb.
Libération
(...) Mike Mills (...) [répond] à la question filiale universelle : comment vivaient mes parents avant qu'ils ne le deviennent ? C'est là le pari le plus réussi de "Beginners", le traitement du deuil et du sentiment amoureux étant plus que superficiel : bâclé.
Chronic'art.com
Conçu comme fantasme ultime pour un public distingué qui n'aime rien tant que se lover comme un toutou dans sa niche sociologique, "Beginners" vaut pour sa dimension d'objet témoin du début des années 2010. Bienvenu dans l'horreur 2.0.