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C'est un voyage passionnant que nous proposent Rémi Bezançon et Jean-Christophe Lie. (...) "Zarafa" fait incontestablement partie des belles surprises de ce début d'année 2012.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Ce vieux projet de Rémi Bezançon (...) tire le jeune spectateur vers le haut en jouant la carte de l'humanisme et de la sincérité. La 2D, quasi à l'ancienne, ajoute à la poésie. On dira ce qu'on voudra, le naturel a quand même plus de relief.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Une pure merveille autant dans la forme (...) que dans le fond. (...) Le conte et la réalité historique s'entremêlent subtilement. (...) Ce divertissement est aussi proprice à la réflexion.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Sur fond de récit initiatique, "Zarafa", avec ses plans spectaculaires et sa musique orientalisante, louche du côté de "Lawrence d'Arabie". Une réussite autant scénaristique que visuelle.
Au côté de Jean-Christophe Lie, spécialiste du film d'animation, [Rémi Bezançon] renoue avec l'émerveillement de son premier dessin animé, " Peter Pan ", dont les valeurs d'humanité ont toujours accompagné son travail de cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les réalisateurs donnent du relief à leur ouvrage en travaillant le rythme du récit, la finesse du trait, la chaleur des couleurs et la saveur de l'humour. (...) Nul besoin de lunettes spéciales pour en apprécier le charme.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
On pense souvent à Michel Ocelot (...) mais aussi à Sylvain Chomet, les silhouettes longilignes et dégingandées de Charles X et des gens de sa cour distillant un humour plus adulte qui symbolise l'équilibre trouvé entre le conte et la satire.
La critique complète est disponible sur le site Première
Inspiré d'une histoire authentique, ce joli conte d'animation, réalisé à la main, conjugue la beauté formelle avec l'intelligence d'un récit qui aborde finement des thèmes comme l'esclavage, la liberté ou la fraternité.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
La beauté des décors et des couleurs est à mettre au crédit de ce film, dont le récit, bien mené, est servi par une jolie galaxie de personnages. (...) Pour autant, le film manque de substance, de vérité, d'émotion.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Esthétiquement soigné avec son animation "traditionnelle", "Zarafa" s'avère entraînant et réjouissant, tout en traitant d'un épisode historique original.
Cette "saga Africa" possède deux atouts : elle est "habitée" par la voix d'excellents comédiens ; elle porte un regard âpre sur la France colonialiste du XIXè siècle et sa relation à l'Autre (...). On regrette d'autant plus sa fin édifiante, un peu postiche.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Excessif
C'est un voyage passionnant que nous proposent Rémi Bezançon et Jean-Christophe Lie. (...) "Zarafa" fait incontestablement partie des belles surprises de ce début d'année 2012.
20 Minutes
Une fable animée originale et tendre à déguster en famille.
CinemaTeaser
Malgré la violence idéologique, la morale est belle.
Ecran Large
Une superbe histoire au contexte historique et géographique riche. Un film qui saura émouvoir et divertir les enfants et les adultes.
L'Express
Ce vieux projet de Rémi Bezançon (...) tire le jeune spectateur vers le haut en jouant la carte de l'humanisme et de la sincérité. La 2D, quasi à l'ancienne, ajoute à la poésie. On dira ce qu'on voudra, le naturel a quand même plus de relief.
Le Figaroscope
Une pure merveille autant dans la forme (...) que dans le fond. (...) Le conte et la réalité historique s'entremêlent subtilement. (...) Ce divertissement est aussi proprice à la réflexion.
Le Journal du Dimanche
Sur fond de récit initiatique, "Zarafa", avec ses plans spectaculaires et sa musique orientalisante, louche du côté de "Lawrence d'Arabie". Une réussite autant scénaristique que visuelle.
Le Parisien
Au côté de Jean-Christophe Lie, spécialiste du film d'animation, [Rémi Bezançon] renoue avec l'émerveillement de son premier dessin animé, " Peter Pan ", dont les valeurs d'humanité ont toujours accompagné son travail de cinéaste.
Ouest France
Les réalisateurs donnent du relief à leur ouvrage en travaillant le rythme du récit, la finesse du trait, la chaleur des couleurs et la saveur de l'humour. (...) Nul besoin de lunettes spéciales pour en apprécier le charme.
Première
On pense souvent à Michel Ocelot (...) mais aussi à Sylvain Chomet, les silhouettes longilignes et dégingandées de Charles X et des gens de sa cour distillant un humour plus adulte qui symbolise l'équilibre trouvé entre le conte et la satire.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Télé 7 Jours
Inspiré d'une histoire authentique, ce joli conte d'animation, réalisé à la main, conjugue la beauté formelle avec l'intelligence d'un récit qui aborde finement des thèmes comme l'esclavage, la liberté ou la fraternité.
Le Monde
La beauté des décors et des couleurs est à mettre au crédit de ce film, dont le récit, bien mené, est servi par une jolie galaxie de personnages. (...) Pour autant, le film manque de substance, de vérité, d'émotion.
Le Point
Voir le site du Point.
Les Fiches du Cinéma
Esthétiquement soigné avec son animation "traditionnelle", "Zarafa" s'avère entraînant et réjouissant, tout en traitant d'un épisode historique original.
Metro
Doté d'une animation traditionnelle, ce voyage initiatique charme par son style suranné qui se distingue des productions actuelles en 3D.
Positif
Cette "saga Africa" possède deux atouts : elle est "habitée" par la voix d'excellents comédiens ; elle porte un regard âpre sur la France colonialiste du XIXè siècle et sa relation à l'Autre (...). On regrette d'autant plus sa fin édifiante, un peu postiche.
Télérama
Entre aventures gentillettes et portrait cruel de la société française du XIXe, "Zarafa" propose deux films en un. On préfère le second.
TéléCinéObs
L'ensemble, un peu sage, un peu lisse, souffre de la comparaison avec ses modèles revendiqués – Miyazaki notamment, auquel "Zarafa" emprunte beaucoup.