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Un journaliste fantasque chargé de la rubrique du coeur décide faire paraître une article à sensation sur la mort d'un artiste en signant du nom de sa femme, une journaliste de terrain chevronnée.
Le film commence très bien avec un excellent Paul Meurice mais peine à trouver un second souffle.
Le film commence très bien avec un excellent Paul Meurice mais peine à trouver un second souffle.
Sous le nom de Mademoiselle Dominique, le distingué Diminique Koch dirige la rubrique du coeur au "Cri du Monde". Un fait divers permet au journaliste de se retrouver à la une: Koche transforme en assassinat romanesque la mort apparemment accidentelle du célèbre pianiste et séducteur Costa.
Après un début très poussif, le film se mue en une comédie policière non pas irrésistible -Maurice de Canonge fait un réalisateur et directeur d'acteurs assez passables- mais plaisante. L'intrigue n'est pas bien surprenante: on imagine bien que spoiler: la mise en scène de Koch et les indices arrangés de toute pièce aboutiront à révéler un meurtre finalement bien réel...dont le personnage de Paul Meurisse, pris à son propre piège, devient le principal suspect.
A cet égard, on n'échappe pas aux incontournables et théatrales scènes de procès.
Plus que les rebondissements modestes et cocasses du sujet, on est sous le charme de l'après-guerre, de ce "vieux" cinéma français où des personnages populaires surjoués trouvent des interprètes fameux, tel le jeune Paul Meurisse, déjà dans un mélange de raideur et de lègereté, Pierre Dac en directeur de journal exubérant, ou bien les débutants spoiler: Carmet et Galabru.
Après un début très poussif, le film se mue en une comédie policière non pas irrésistible -Maurice de Canonge fait un réalisateur et directeur d'acteurs assez passables- mais plaisante. L'intrigue n'est pas bien surprenante: on imagine bien que spoiler: la mise en scène de Koch et les indices arrangés de toute pièce aboutiront à révéler un meurtre finalement bien réel...dont le personnage de Paul Meurisse, pris à son propre piège, devient le principal suspect.
A cet égard, on n'échappe pas aux incontournables et théatrales scènes de procès.
Plus que les rebondissements modestes et cocasses du sujet, on est sous le charme de l'après-guerre, de ce "vieux" cinéma français où des personnages populaires surjoués trouvent des interprètes fameux, tel le jeune Paul Meurisse, déjà dans un mélange de raideur et de lègereté, Pierre Dac en directeur de journal exubérant, ou bien les débutants spoiler: Carmet et Galabru.
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