Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Paris Match
par Alain Spira
Pascal Arnold et Jean-Marc Barr tracent d'un pochoir rageur le portrait extrémiste d'une jeunesse sans repères, coupée des liens sociaux et familiaux (...) et écartelée entre un certain anarchisme pornographique et cet indémodable romantisme qui répond à leur soif d'absolu. Si les comédiens sont remarquables, le charisme un peu fou de Pierre Perrier est pour beaucoup dans la réussite de ce film d'auteur percutant et dérangeant.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Excessif
par Julien Dubois
Un récit reposant sur une idée percutante qui méritait d'être affutée dans son approche, un récit qui nous désempare.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
L'Express
par Christophe Carrière
Pascal Arnold et Jean-Marc Barr pèchent ici par quelques excès de complaisance dans la mise en scène. Sans compter qu'ils s'appuient sur des comédiens inconnus, à la fois beaux et hypnotiques. Donc qui retiennent l'attention.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaroscope
par Isabelle Fargette
Variation malsaine sur le thème de la groupie du tueur en série, "American Translation" rappelle - sans les égaler, loin s'en faut- "Badlands" de Terrence Malick ou "Tueurs nés" d'Oliver Stone.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Première
par Stéphanie Lamone
Respect pour les jeunes Lizzie Brocheré et Pierre Perrier : malgré des personnages risibles qui s'appellent "Baby" et ne prononcent que des phrases définitives, ils y croient jusqu'au bout.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jacques Morice
On est captivé pendant une demi-heure : ça ne ressemble à rien, sinon à un home movie brut et stylisé, plutôt bien filmé.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Sarah Elkaïm
Appuyée par une mise en scène plate qui alterne espace du dedans et espace du dehors dans une lourde symbolique et servie par des personnages qui ne parviennent pas à intéresser, la mécanique d'Eros et Thanatos tourne à vide.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Il ne suffit pas de convoquer Eros et Thanatos dans la note d'intention et de refuser toute approche psychologique pour réussir son coup. Il faut aussi avoir un propos cinématographique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
(...) Un film d'une laideur consommée et d'une inconséquence morale navrante, qui semble vouloir davantage choquer à bon compte le chaland que traiter son sujet à la hauteur qu'il requiert.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Paris Match
Pascal Arnold et Jean-Marc Barr tracent d'un pochoir rageur le portrait extrémiste d'une jeunesse sans repères, coupée des liens sociaux et familiaux (...) et écartelée entre un certain anarchisme pornographique et cet indémodable romantisme qui répond à leur soif d'absolu. Si les comédiens sont remarquables, le charisme un peu fou de Pierre Perrier est pour beaucoup dans la réussite de ce film d'auteur percutant et dérangeant.
Excessif
Un récit reposant sur une idée percutante qui méritait d'être affutée dans son approche, un récit qui nous désempare.
L'Express
Pascal Arnold et Jean-Marc Barr pèchent ici par quelques excès de complaisance dans la mise en scène. Sans compter qu'ils s'appuient sur des comédiens inconnus, à la fois beaux et hypnotiques. Donc qui retiennent l'attention.
Le Figaroscope
Variation malsaine sur le thème de la groupie du tueur en série, "American Translation" rappelle - sans les égaler, loin s'en faut- "Badlands" de Terrence Malick ou "Tueurs nés" d'Oliver Stone.
Première
Respect pour les jeunes Lizzie Brocheré et Pierre Perrier : malgré des personnages risibles qui s'appellent "Baby" et ne prononcent que des phrases définitives, ils y croient jusqu'au bout.
Télérama
On est captivé pendant une demi-heure : ça ne ressemble à rien, sinon à un home movie brut et stylisé, plutôt bien filmé.
Critikat.com
Appuyée par une mise en scène plate qui alterne espace du dedans et espace du dehors dans une lourde symbolique et servie par des personnages qui ne parviennent pas à intéresser, la mécanique d'Eros et Thanatos tourne à vide.
L'Obs
Il ne suffit pas de convoquer Eros et Thanatos dans la note d'intention et de refuser toute approche psychologique pour réussir son coup. Il faut aussi avoir un propos cinématographique.
Le Monde
(...) Un film d'une laideur consommée et d'une inconséquence morale navrante, qui semble vouloir davantage choquer à bon compte le chaland que traiter son sujet à la hauteur qu'il requiert.