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    Melancholia
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    1 157 critiques spectateurs

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    Joseph B
    Joseph B

    2 abonnés 34 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 octobre 2020
    Bien joué au realisateur il m'a étonné après avoir vu antéchrist qui m'avait totalement ennuyé et qui m'avait semblé extrêmement pompeux et rébarbatif Melancholia un père s'adresser à la peur de la mort que nous avons tous et ainsi Lars von Trier nous faire et sentir la dépression qu'il a lui-même connu
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 546 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 2 octobre 2020
    Je pense que c'est le film le plus sadique (pour les spectateurs), le plus stupide et le plus prétentieux que j'ai jamais vu de ma vie. Lars von Trier voit clairement à quel point il peut tirer la laine sur les spectateurs de film d'art. C'est aussi un abus de la magnifique musique de Wagner. En plus du cadre ridicule de la science-fiction. Il est certain que si une planète dix fois la masse de la Terre se dirigeait droit vers nous elle pourrait au moins faire l'actualité du soir mais personne ne semble même en être conscient dans ce film. En outre un object aussi massif créerait un effet gravitationnel horrible qui modifierait considérablement les orbites de la Terre et de la Lune et créerait des tremblements de terre massifs et d'énormes marées qui submergeraient toutes les villes côtières. Je ne pouvais pas m'arrêter de rire dans la dernière scène quand la planète remplit presque tout le ciel et que la mer devant le manoir n'est même pas un peu dérangée. Et le rendu des effet spéciaux bon marché des nébuleuses n'est même pas digne d'un film B. Melancholia est un film absolument terrible qui mérite un zéro pointé...
    Mr S
    Mr S

    3 abonnés 23 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 septembre 2020
    Quel claque !! C'est sur que Lars Von Trier à complètement changé de direction de carrière depuis 2010 et je pense que c'est ce film qui fait la transition entre son ancien cinéma et le nouveau c'est celui la. Il parle donc de sujets beaucoup plus trash entre la nymphomane, le serial killer et enfin la fin du monde. Ce qui en tous cas n'empêche pas sont film d'être d'une justesse comme à sont habitudes, sûrement l'un des films les plus hypothétiques de la décennie dernière, le prologue est visuellement dingue, la première partie sur Kirsten Dunst en début de dépression installe une ambiance quasi bipolaire et ce qui est de la deuxième partie elle fait monter en puissance la tension d'une humanité en danger. On peut cependant regretter la première partie trop courte (je reste un peu sur ma faim ) et aussi un pessimisme beaucoup trop appuyé qui en tous pour moi m'empêche d'un second visionnage (j'ai pas envie de devenir dépressive quoi )
    cinéman
    cinéman

    41 abonnés 806 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 mai 2020
    La fin est impressionnante par le jeu des acteurs, le son et les intempéries, alors que la planète Melancholia se rapproche de la Terre (quoi que ce genre d'effets spéciaux paraissent très faciles à réaliser de nos jours). La musique est jolie également. On a un univers assez poétique qui change des films habituels quasi pornos et très trash de Lars von triers… Toutefois quel rapport entre la première et la seconde partie ? Le mariage et la fin du monde ?… de quoi rester perplexe. Et toujours le sentiment d'un cinéma très prétentieux chez ce réalisateur.
    Chaîne 42
    Chaîne 42

    137 abonnés 3 070 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 12 mai 2020
    Film d'une grande gaieté, je plaisante, dans ce film il n'y a pas un atome d'humour. Au final il porte assez bien son titre, mélancolie une forme de dysfonctionnement mental qui cause de la tristesse et qui peut être bénin ou malin. Ici c'est la forme maligne qui est développée accompagnée d'une égérie, de musique classique, d'un lieu friqué et de pseudo science fiction. De quoi ravir l'ensemble des névrosés de la planète Terre qui n'ont que peu de scrupule à la voir ou à la faire disparaître de l'une des façons les moins crédibles qui soit. Aussi pour ma part y compris l'esthétique assez soignée c'est plutôt malsain.
    Emmanuelle Verhoeven
    Emmanuelle Verhoeven

    2 abonnés 198 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 mai 2020
    Très beau film, décrivant au plus près ce qu'est la dépression. Ce n'est évidemment pas que ça, les deux portraits sont très beaux, justes, et touchants. Cependant quelques longueurs et redondances.
    Thefilmhater
    Thefilmhater

    3 abonnés 100 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 mai 2020
    Un très bon film, qu'il faut toutefois critiquer en ayant du recul, car il peut paraître à première vue assez inaccessible, ce qui a sûrement rebuté certaines personnes. En effet, bien que le film puisse paraître ennuyeux, il est en fait totalement pertinent. Le silence de la deuxième partie est en fait ce qui fait le film, ce qui fait qu'il est pesant spoiler: (surtout ces 15 dernières minutes où Claire découvre une vérité que l'on connaît, en tant que spectateur, depuis longtemps).
    . Certes, la première partie peut paraître superflue, mais elle introduit parfaitement le personnage de Justine, (qui est en réalité la colonne vertébrale du long-métrage) et nous prépare peu à peu à la fin en nous aidant à nous détacher de presque tous les personnages présents à l'écran. Mais on ne peut pas parler de Melancholia sans évoquer sa scène d'introduction, spoiler: enchaînement sublime de fresques animées, qui donne tout de suite le ton de la catastrophe à venir.
    Malgré toutes ses qualités, il est vrai que le film possède quelques petites longueurs, qui n’entachent toutefois pas trop sa superbe et son sentiment de malaise grandissant. En bref, ce film raconte beaucoup avec presque rien, ce qui montre le génie de son réalisateur.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 17 avril 2020
    J'ai adoré. Au début (quand on découvre la personnalité de Kirsten Dunst) je me disais que ça aller me faire c**** car les gens qui se plaignent de tout ne m'intéresse pas tant que ça mais... la suite du film rehausse le ton et le rend grandiose, une grandeur mélancolique.
    T-Tiff
    T-Tiff

    92 abonnés 1 185 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 mars 2020
    Difficile de juger "Melancholia", qui n'est certainement pas une œuvre parfaite, mais qui a le mérite de proposer un cinéma saisissant avec une métaphore intéressante. Si "The Tree of Life" de Terrence Malick, sorti la même année et qui ne nous avait par ailleurs pas du tout touché, était le récit du commencement de la vie, "Melancholia" est celui de la fin. Ainsi, le prologue au film, d'une dizaine de minutes, montre la fin du monde avec des images magnifiques d'une planète écrasant la nôtre, des tableaux de désolation, le tout sur du Wagner. Le suspense est alors complètement tué, nous savons déjà que l'issue du film sera la fin du monde. Le reste de l'œuvre est structuré en deux chapitres bien distincts. Le premier s'intéresse au mariage raté de Justine, incarnée par Kirsten Dunst, organisé par sa sœur Claire, jouée par Charlotte Gainsbourg. Si cette première partie installe lentement la deuxième, elle ne retient pas tellement notre attention. Le mariage tourne au désastre avec des invités n'en faisant qu'à leur tête. La mariée sombre déjà dans la dépression, l'ennui et la mélancolie. Et déjà, un mystérieux astre semble menaçant. Ce premier chapitre se tourne pour laisser place au second. Justine est complètement tombée dans la dépression, alors que la planète Melancholia s'approche dangereusement de la Terre. Claire tente d'aider sa sœur, qui l’entraîne vers cette mélancolie et à accepter le funeste destin qui les attend. Mais John, le mari de Claire interprété par Kiefer Sutherland, est optimiste, Melancholia contournera la Terre. Avec celui-ci meurt tout espoir, et Claire se laisse aller dans les bras de l'inéluctable avec Justine. Lars Von Trier a eu l'intelligence de filmer la fin du monde en ne gardant que quatre personnages, tout en laissant un champ d'interprétation assez large. "Melancholia" qui n'est clairement pas exempt de défauts, a le mérite de susciter notre intérêt malgré des longueurs parfois excessives.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 21 mars 2020
    Ce film me laisse perplexe, il est tellement métaphorique et imagée que j'ai du mal à m'y retrouver.. A tant réfléchir pendant un film, pour essayer et je dis bien essayer de comprendre le pourquoi du comment des actions de chacun, bah sa enlève tout les sentiments et le côté émotion..
    Bon, déjà, dès le moment où on lance le film, il faut véritablement que le double-sens de chaque action soit entré dans la tête du spectateur. Sinon, on voit du film une longue scène de mariage ennuyante suivi d'une planète qui rentre en collision avec la terre pendant 1h.
    Voilà comment j'ai interprété le film, la première partie (Justine) ne montre pas simplement un mariage, mais elle montre l'allégorie de la mélancolie à travers Justine (Kirsten Dunst) et ses actions lunatiques qui la fait passer d'un état à un autre. Cela ne représente pas le mariage de Justine, mais bien sa vie et l'ensemble des choses qui la compose. La figure du publicitaire, qui représente les contraintes d'un travail qu'on n'aime pas mais dont on est forcé de continuer ; Le mari de sa soeur (Kiefer Sutherland) qui représente la vision de la société de manière générale envers la tristesse et la mélancolie, qui ne la comprend pas et qui essaie de la cacher. Claire, sa soeur (Charlotte Gainsbourg), qui représente la famille qui la soutient jusqu'au bout malgré les difficultés et qui s'accroche à elle. Sa mère, qui représente elle-même directement la mélancolie. Son mari, celui qui essaie de l'aimer mais qui est trop bête pour comprendre qu'il ne peut pas comprendre, qui peut refléter les personnes qui essaient de comprendre les personnes mélancoliques mais qui ne peuvent pas ressentir ce qu'elles pensent.
    La deuxième partie du film représente la vie de Claire (Charlotte Gainsbourg), mais plutôt la vie du couple de Claire et de John. La planète Melancholia qui se rapproche de la Terre symbolise la peur de ne peut-être plus s'aimer qui se rapproche du couple. Tout d'abord, c'est Claire qui ressent cette peur de ne plus aimer son mari au fur et à mesure que Melancholia s'approche, tandis que John paraît complétement serein face à l'approche de la planète signe de la confiance qu'il a dans leur couple. Melancholia s'éloigne, la réflexion et la peur de ne plus s'aimer s'éloigne, même si John dit à sa femme qu'il y avait des risques que Melancholia touche la Terre (leur couple). Puis, cette peur de ne peut-être plus s'aimer revient, et John décide alors quitter Claire et de partir du couple (suicide) signe qu'il ne l'aimait déjà peut-être plus. Maintenant, Claire est seule face à Melancholia qui approche, elle est seule face à la mélancolie qui se rapproche d'elle après le départ de John. Elle ne peut pas fuir ou éviter (voitures en panne ect..), elle va devoir irrémédiablement faire face à la tristesse et la mélancolie qui va la submerger d'ici peu de temps. Puis la mélancolie arrive fort, d'un coup, elle balaye tout. Elle balaye peut-être toute la vie qu'avait construite Claire.
    RamiValak
    RamiValak

    7 abonnés 188 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 mars 2020
    Prélude

    Outre son esthétique à couper le souffle, Melancholia est un film magnifique sur la dépression, sur ce frisson de terreur face à ce qui est inéluctable et sur l'insignifiance de l'humain dans l'univers. Le prélude de Tristan et Isolde traverse le film, le hante par sa présence, jamais loin, revenant sans cesse, comme la profonde mélancolie que ressent Justine, puis la peur de Claire dans son second chapitre. Ce film traite le jugement dernier comme un décès, et les personnages font donc chacun leur deuil à leur manière, le deuil d'eux-même, de leurs proches, et de l'humanité. Et le film traite la fin du monde de manière extrêmement intime, on reste au plus prêt des personnages, et quand le film s'affranchit de cela, et délaisse la caméra-épaule même l'espace d'un instant, l'ensemble devient d'un lyrisme et d'un onirisme hallucinant. Ce plan aérien sur Julie et Claire chevauchant à travers la brume montre de par sa poésie cette menace inarrêtable qui plane sur eux. La caméra-épaule quand à elle, rend le film assez hypnotique, difficile de détourner le regard, car c'est dans chacun de ses instants, cette attente douloureuse avant la destruction, que le film est intéressant. Cette tristesse intense que l'on peut ressentir n'est qu'un rappel que nous mourrons tous un jour, et que chaque action que nous faisons au cours de notre existence à pour but de nous faire oublier cela, et c'est à cela que Justine a renoncé.
    Alain D.
    Alain D.

    585 abonnés 3 281 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 février 2020
    "Melancholia" ou "La Planète qui danse la Mort avec la Terre" ; il ne faut pas avoir le moral en berne pour s'impliquer dans ce drame écrit et mis en scène par Lars von Trier. Difficile de supporter durant deux heures une ambiance psychotique très noire, un climat dépressif tellement empli de pessimisme qu'il frôle la cruauté mentale. Dommage, car le cinéaste Danois nous offre une photographie magnifique. Son film est très beau mais aussi très décevant, même s'il nous offre de superbes prestations d'actrices de Kirsten Dunst et de Charlotte Gainsbourg.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 30 décembre 2019
    Film très inégal avec une première partie inutilement longue qui n'apporte pas grand chose au récit hormis un dysfonctionnement familial qui met en relief la mélancolie du personnage principal, et une seconde partie extrêmement bien faite à l'intensité maîtrisée. Un sentiment donc partagé sur ce film, mais dont la fin ne peut par contre que profondément marquer !
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 1 janvier 2020
    Lars von trier divise, fâche et attire tout le monde, pas seulement avec ces films mais aussi ses propos qui sont parfois mal interprétés et lui coûtent très cher, comme dans le cas de ce "Melancholia", où lors de la conférence de presse à cannes, le cinéaste avait avoué sans pression qu'il était un "Nazi" ( il est pas vraiment Nazi, c'est juste qu'il s'est mal exprimé...).
    Bon cela lui a coûté sa palme d'or amplement mérité, et a déclenché la fureur de tout ces bobos fragiles criant au scandales... Mais en vrai qu'est-ce qu'on s'en fout de ça, le film est une vrai expérience visuelle et sensorielle qui laisse un effet brutal après le visionnage, Dunst et Gainsbourg sont formidables. Et la mise en scène + La musique marchent à merveille.
    Une œuvre majeure du cinéaste, mature et profonde sur le fond et la forme.
    Président Bird
    Président Bird

    4 abonnés 148 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 juillet 2019
    Film en deux parties assez différentes:
    Après un beau début avec des images très travaillées, mentales, oniriques, commence la longue séquence du mariage dont le naturalisme névrosé ennuie et fatigue. Ce naturalisme forcé à coups de caméra tremblée, de mouvements de caméra excessifs et de jeu exagérément dramatique (pas une critique des acteurs, ils sont très bons, c'est clairement une demande de Von Trier), est difficilement crédible et supportable.
    Puis viens la deuxième moitié, spoiler: où l'Apocalypse s'opère
    , et là le film prend toute sa valeur et dimension. Il est extrêmement fécond qu'un auteur comme Von Trier plonge comme cela dans la science-fiction, amenant au genre des idées et sensations inédites. spoiler: C'est une idée formidable que la déprimée Justine, si impotente et insupportable dans la première partie du film, devient le seul personnage efficace dans la seconde, préparant la mort parfaite pour le petit Leo.

    Bilan, un film étrangement bipolaire qu'il est possible d'aimer et de détester à la fois. Comme Lars Von Trier en somme.
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