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    Melancholia
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    3,5
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    1 157 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 29 février 2012
    Apres avoir subi l’interminable scène de début, je n’ai pas résisté plus d’un quart d’heure à ce soporifique mariage !
    Je me suis réveillé une heure plus tard et là, mauvaise surprise, toujours une blonde de mauvais poil en train de se marier !!

    Mais que veux montrer ce film ???
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 28 février 2012
    De peur d'être déçu, je n'avais jamais vu de film de Lars Von Trier, étant plus habitué aux Tarantino, Scorsese et autres Ritchie. J'ai été très surpris, ce film vous emmène dans un rêve, sans vous demander la permission, on est transporté de la première à la dernière minutes -celles si étant d'ailleurs les meilleures du film-, pour notre plus grand plaisir. A noter la prestation géniale de Kirsten Dunst, totalement bluffante.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 26 février 2012
    Magnifique film! Excellente interprétation des acteurs! Mais il file le bourdon....
    Lars von trier étonnant comme toujours!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 26 février 2012
    Une scène d'ouverture grandiose, que j'avais déjà eu l'occasion de voir : Cet enchaînement de tableaux mouvants est vraiment magnifique, que ce soit dans l'impression qu'il dégage (la musique joue un rôle prépondérant) et dans la composition du cadre, toujours travaillé idéalement.

    Préambule au film et sorte de rêve prémonitoire avant que l'on embarque ensuite sur une partie concernant le personnage de Kirsten Dunst : Justine. J'ai vraiment apprécié le fait que l'on ne sache pas grand chose, que l'importance ne soit pas accordé à un réalisme identitaire et contextuel, mais qu'on nous laisse dans le flou. Plus que de s'attacher à des personnages en eux-mêmes, le film s'attache à des sentiments – et je ne dirais jamais assez que ce que je considère comme étant la base de l'art est la représentation des sentiments –.

    On est alors plongé dans cette cérémonie où les personnages sont des esquisses de sentiments, floutés derrière un mur vide et invisible, contre lequel se cogne Justine. Faux-semblants, malaise général dissimulé derrière des sourires enjoués, temps d'arrêt perturbateurs : Tout ce qui se déroule sous nos yeux (boosté par un montage de grande qualité) nous apporte ce sentiment de malêtre. On ressent ce manque tout comme les personnages, cette impression de perte, qui ne cesse de croître tout au long de cette première partie – entrecoupés de folies passagères qui font presque office d'envolées lyriques –.

    J'ai pour ma part était très touché par l'acteur qui incarne le mari de Justine. Le trouble qui mêle à la fois complicité et distance avec sa femme lui rend un côté vraiment empathique. Et les symboles représentant leur amour sont très forts et m'ont tous marqué (limousine, haricots, photo...).

    Quant à Kirsten Dunst, elle dispose de cette aura (bien mise en valeur par son teint, sa chevelure blonde et son regard/sourire qui sont de véritables points d'ancrages aux sentiments), qui se poursuivra aussi dans la seconde partie, et qui la rend à la fois charmante et charismatique, douce et froide, cynique et attentionnée. Un vrai coup de cœur, que ce soit pour le personnage ou l'actrice dont j'étais déjà fan.

    Pour ce qui est de la seconde partie – concernant Claire (Charlotte Gainsbourg (gros coup de cœur à nouveau)) –, après le vide identitaire on se met à ressentir le vide identitaire ET contextuel et à ce moment là le film montre encore d'un cran, achevant notre chute vers le néant. Beaucoup de justesse dans la manière d'aborder les diverses réactions des personnages et dans le fait de laisser toujours planer ce mystère, en restant à la fois très proche des personnages et en surface. Comme si on caressait la réalité de manière lisse et respectueuse.

    Il y a beaucoup de questions qui n'appellent jamais de réponses. Et je ne trouve pas que ce soit un problème car pour ma part je n'espérais pas trouver ces réponses, mais uniquement des ressentis. Ces ressentis là, à mesure que le film avance, deviennent de plus en plus marquants, pour finir en apothéose sur une séquence finale de toute beauté.

    Lars Von trier nous livre un film d'une classe rare : Épuré, travaillé, marquant, artistique, et il puise sa force dans un esthétisme froid d'une envergure colossale.

    Musiques, casting, montage, et tant d'autres aspects font de Melancholia une force cinématographique pure. Un véritable régal.
    Scavs
    Scavs

    15 abonnés 373 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 février 2012
    Je n'avais jamais regardé un film de Lars von Trier, par curiosité j'ai eu le malheur de le faire et ça sera sûrement la première et derniere fois que je le ferai (sauf si vraiment j'ai du temps à perdre et que je veux souffrir). Pour le début du film, si on aime un tant soit peu l'art ou les belle images, on ne peut qu'apprécier, de plus la musique est bien choisie, rien à dire c'est du bon travail.

    Par contre quand le film commence réellement, je commençais à comprendre que j'allais avoir du mal à terminer ce film "qui ne veut rien dire". Des enchaînements d'humeur de la part des personnages du films, le tout mis en scène de manière bizzare avec des dialogues qui ne mènent nulle part. Grosse perte de temps, ça ne mérite pas que je le descende plus...
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 25 février 2012
    La succession de tableaux du début du film est absolument saisissante de part sa beauté. Mais cependant très difficile à comprendre, et tout les éléments qui y sont exposés sont dur à situer dans le film, tant les allusions y sont parfois brèves. La déchéance de Kristen Dunst, magnifique dans son rôle, semble parfois trop masochiste pour être honnête. La B.O. de Wagner est très bien utilisée, et la caméra est vraiment bonne. L'ensemble, bien mystérieux, donne lieu à un film intéressant à la plastique unique mais nécessite parfois un sacré oeil d'artiste pour être expliqué et compris à fond.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 28 novembre 2019
    C'est du grand art, comme un grand opéra... avec une Kristen Dunst plus incroyable que jamais. C'est bien sûr une oeuvre perso de Lars Von Trier qui "transformer sa dépression en véritable oeuvre d'art" (Première)
    Toujours aussi dérangé, il signe là un de ses plus beau chef d'oeuvre : complètement décalé et renversant, a l'attention d'un public cinéphile quand même...
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    Caine78
    Caine78

    6 695 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 février 2012
    Adulé par la plupart, détesté par quelques-uns, légèrement controversé : le moins que l'on puisse dire, c'est que « Melancholia » n'a pas laissé indifférent. Cela n'a pas non plus été mon cas, même si je suis un peu partagé. C'est toutefois le positif qui l'emporte : un vrai sens de la mise en scène, des choix très audacieux, quelques grands moments... Le dernier film de Lars Von Trier s'avère infiniment plus riche que son précédent et atroce « Antichrist ». Faut-il pour autant le considérer comme un chef d'oeuvre absolu? Je n'en suis pas sûr. On sent que le réalisateur danois aime bien se regarder filmer, et l'intensité s'en ressent à plusieurs reprises au point que l'on s'ennuie parfois un peu. De plus, si la première partie nous offrait avec ce mariage tournant en pugilat une vraie tension, c'est moins le cas de la seconde, moins puissante malgré un ton désespéré très bien rendu. Reste une beauté formelle indéniable et une oeuvre qui a quand même de la gueule : à défaut d'être dithyrambique, ce « Melancholia » m'a paru digne d'intérêt.
    Clingo
    Clingo

    58 abonnés 128 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 février 2012
    Kiefer Sutherland devant une caméra à l'épaule qui ne cesse de trembler ? Non, ça n'est pas un épisode de 24H Chrono, mais le dernier film de Lars Von Trier. Non ça n'est pas 24H Chrono puisque Kiefer ne sauve pas le monde, incapable de faire quoi que ce soit pour ne serait-ce que sauver les siens. Film-catastrophe dans lequel tout est perdu d'avance ( dès le prologue, on sait que ça finira mal et que dès lors, les personnages du film seront confrontés à un Destin tragique et que rien ni personne ne leur sera d'aucune aide ), donc film anti-hollywoodien, Melancholia est une oeuvre à la morosité et au cynisme sincères. Comme si c'était sa façon à elle de s'opposer à Hollywood où les bons sentiments et la niaiserie sont légion : puisqu'il faut montrer la vie telle qu'elle est - et surtout pas une vie fantasmée par le prisme cinématographique censé plaire au grand public - alors, Lars Von Trier montre la vie telle qu'elle est, ou du moins, telle qu'il la vit lui-même ( son état régulièrement dépressif n'est plus un secret pour personne ). Dans Melancholia, il faut détruire tout les faux-semblants, et l'institution du mariage semblait la plus apte à un tel court-circuitage du bonheur factice. Derrière les apparences il y a des émotions vraies : derrière un bonheur qui n'est qu'illusion, il y a des sentiments qui ne mentent pas sur ce qu'ils sont. Ca n'est pas un hasard si le personnage de Kirsten Dunst travaille dans la pub, univers construit sur le faux et le mensonge, et surtout, matérialiste au possible. Le film va alors être une opération d'auto-sabotage ( de la même manière que Lars Von Trier s'est auto-sabordé en conférence cannoise ), celui du personnage de Justine : alors qu'un avenir brillant lui tend les bras - une promotion, un mari - elle envoie tout valser. La fastuosité du château du film dissimule des zones d'ombre éclairées par Melancholia, et le film joue sur une opposition dichotomique entre Justine d'un côté et le reste des personnages de l'autre. Peu subtil oui, mais après tout la subtilité n'a jamais été l'affaire de Lars Von Trier, metteur en scène dont les films jouent souvent sur un mécanisme d'affrontement plus symbolique qu'autre chose : le bien d'un côté, le mal de l'autre. La peinture pessimiste du monde est sûrement le point fort d'un film qui, par ailleurs, a ce désavantage paradoxal d'être dans le respect formel du style de son auteur.

    Le problème du film réside là, précisément dans sa mise en scène. C'est que la caméra à l'épaule et le style mouvementé du film semblent difficilement s'accorder à son sujet. Les héroïnes fortes, engagées et jusqu'au-boutistes des précédents films de Von Trier ( on pense à la Grace de Dogville ou à la Selma de Dancer in the Dark ) s'inséraient parfaitement dans la mécanique formelle du cinéaste. La rage qui les habitait - rage calme et discrète, mais rage sans aucun doute - s'accordait à la mobilité de la caméra et au style adopté. Mais ici, la mise en scène semble n'être rien d'autre qu'un contresens, une anomalie qui perturbe l'harmonie entre fond et forme. On n'imagine pas In The Mood For Love filmé comme Les Anges Déchus, ni Les Anges Déchus filmés comme In The Mood For Love. Le problème ici, c'est que Lars Von Trier filme Melancholia comme Dogville. Mais la matière calme et douce du film, sa profonde mélancolie personnifiée par Kirsten Dunst, ne peuvent être décrites et filmées de cette façon abrupte et rentre-dedans. Dès lors, et malgré son talent, Kirsten Dunst peine à insuffler une intensité à son personnage, aucunement aidée par celui qui la regarde. Capable de magnifier ses actrices et d'en révéler la beauté cachée - beauté morale plus que physique, on n'a besoin de rien ni de personne pour s'apercevoir que Dunst est sublime - Lars Von Trier ne parvient pas dans Melancholia à faire jaillir l'invisible. Au début de l'année, un film commençait de la même façon que Melancholia : dans Somewhere, Coppola filmait une voiture qui tournait en rond. Von Trier filme lui une voiture qui, de la même façon ou presque, n'avance pas. La différence est que les deux heures qui suivent sont subtiles chez l'une, lourde et peu intelligente chez l'autre. Pour poursuivre la comparaison entre les deux cinéastes, Kirsten Dunst est magnifique et touchante dans Virgin Suicides, anecdotique dans Melancholia. La fin d'un monde chez la réalisatrice américaine est plus émouvante et bouleversante que la fin du monde chez Lars Von Trier. Cruel paradoxe.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 23 février 2012
    Un film aussi radical dans son traitement que dans les réactions qu'il suscite: soit on adore,soit on deteste!!! Moi j'adooooooore!!
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 22 février 2012
    rien que le syno et la bande annonce sont confus
    risque pas que je le regarde lol
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 21 février 2012
    "Melancholia" est un de ces films qui ne laisse pas un spectateur de marbre, que ce soit positivement ou négativement. Pour ma part ce fut très positif. Charlotte Gainsbourg et Kirsten Dunst m'ont épatées, la photographie est juste excellente, et Lars Von Trier a réussi à nous montrer son grand talent de mise en scène, peut être pas apprécié de tous.
    Le flou et l'instabilité de la caméra donne à ce film un caractère, qui contraste d'autant plus avec les premiers plans du début, fixes et longs.
    Le scénario, peut être banal à la base pour certains car film « catastrophe de fin du monde », est bien très interprété et construit pour couper le souffle à son spectateur pendant et après le film.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 20 février 2012
    Melancholia est un film difficile à cerner. Une première partie incompréhensible . Je trouve ce film lent, moue, et tout sa pour une fin
    plus que déprimante a laquelle tout le monde s'attend. Je ne vois pas d'intérêt au film et malgré toute les critiques je ne comprends pas le film . Je suis allez jusqu'au bout du film bien que ce fut dure en espérant désespérément un chute, mais non .... Décevant
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 20 février 2012
    Les images sont belles. Les acteurs jouent bien. L'idée est séduisante. Mais c'est long, très très long, et ennuyeux... Je ne le conseille pas!
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 20 février 2012
    Nul.. Nul... Nul... Vraiment nul. Pourtant je suis très ouvert... Je regarde toujours les films jusqu'à la fin, même ceux que je n'aime pas des les premières minutes. Mais la... J'ai eu du mal. J'ai tenu, mais j'ai eu du mal. La camera qui bouge tout le temps est juste insupportable... LVT a voulu se donner un style? C'est raté. Quand je vois ce film j’imagine le cameraman bouger dans tout les sens en essayant de donner un dynamique. Les personnages, certes ils ne jouent pas si mal... Mais ne sont pas crédible, n’ont pas de présence, pas d’âme, pas de profondeur… L'histoire (enfin il y en a pas vraiment) n'est pas prenante, et il ne se passe strictement rien qui m’a fait réagir, ou réfléchir, ou étonné… Le rythme du film est tellement lent... Pourtant la lenteur ne me pose pas de problème, quand il y a un sens, des choses à montrer, des détails, des allusions... Mais ici, soit je ne les ai pas vu, soit il n'y en a pas. Je ne vois vraiment pas ce que LVT a cherché à nous montrer? Une femme dépressive? Elle n’est crédible et ennuyante. Une fin du monde? Il y a un mariage et personne n'est au courant, et du jour au lendemain, une planète qui fonce sur la terre? Pas crédible non plus... Les images, pourtant fan d'astronomie, sont sans grand intérêt... Je trouve que les sujets abordés ne vont pas ensemble... Et dire que j'ai dépensé 25 euros en blu ray pour ce film.... Je suis vraiment dégouté. Ce film est une arnaque. Il ne se passe rien, c'est chiant, c'est énervant, c'est raté. Si vous cherchez un film sur la psychologie, la dépression, vous serrez déçu, si vous chercher un film sur les mariages raté, vous serez déçu, et si vous cherchez un film sur la fin du monde, vous serez déçu aussi. Je vois vraiment quel élément de ce film peut nous le faire aimer.
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