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    Melancholia
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    3,5
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    1 157 critiques spectateurs

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    Waferjc
    Waferjc

    4 abonnés 59 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 8 avril 2012
    Mon Dieu.. la presse est vraiment Null dans ces opinions sérieusement faut arrêter la. Donne moi la moitié de vos salaires et vous aller voir comme ont classifie ce filme.
    Bon sang faut fumer bcp mais beaucoup pour produit quelque chose pareil.
    ned123
    ned123

    157 abonnés 1 685 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 avril 2012
    J'ai vu un film... qui ne m'a pas entièrement séduit... Disons que la 1ère partie était un autre film, et n'apportait finalement pas grand-chose à la deuxième partie... Les différentes scènes autour du mariage de Kristen Dunst sont parfois intéressantes, parfois denses, parfois décalées, mais elles représentent un autre film... La réalisation n'en demeure pas moins impeccable... Et par contre, le film prend toute sa dimension dans la deuxième partie, avec la façon dont les émotions, face à l'inimaginable, ressortent... Charlotte Gainsbourg est exceptionnelle d'intensité, de fragilité, et d'émotion. Je préfère largement ce huis-clos (en plein air) avec une totale maîtrise de la réalisation de la seconde partie, à la réunion, assez artificielle de personnages qq peu exagérément antipathiques (et comme la fin du monde approche, c'est finalement tant mieux... non ? qu'ils disparaissent tous...). Mais bon , LVT aurait pu faire le film où les gentilles personnes, le gens sympas, les cool people disparaissent, emportés dans la mort... ça aurait pu être un autre film... "Coolancholia" ?
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 2 avril 2012
    Ce film peut se résumer en 10 minutes: regarder le début (environ 8 min)... puis aller directement à la fin (moins d'une minute) . Et voilà, vous aurez éviter de perdre 2h de votre temps comme je viens de le faire.

    Si vous êtes dépressif, vous allez peut-être aimer ce film. Pour les autres, rien à voir.
    Allez, je vais quand même dire un truc positif sur ce film: Kristen Dunst à un très bon jeu d'actrice
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 mars 2012
    Un film à part, assez dérangeant pour ma part, la première partie, limite ennuyeuse avec kirst dunst qui a l'air totalement cinglée, je n'avais pas lu le résumé, je ne savais donc pas le but du film. Le rythme est lent mais quasi hypnotique et là arrive le but réel de tout ceci, cette planète qui s'approche de la terre, tout se met en place comme un puzzle et vous vous sentez tout bizarre à la fin. Il est à voir...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 28 mars 2012
    attention "chef d'oeuvre" total - ce film est bouleversant, Lars Von Trier décrit à sa façon la fin du monde, dans un huis-clos poétique, lent, cynique, là où les relations humaines peuvent être exécrables comme fraternelles, hors de toute médiatisation de l'évènement (il n'y a dans le film à aucun moment un visu de ce qui se passe dans le monde ailleurs que dans la demeure du mariage), le film est atypique - en 2 parties totalement opposées et pourtant indissociables, à l'image des 2 soeurs magistralement interprétées par Kirsten Dunst et Charlotte Gainsbourg, un film totalement opposé à tous les films catastrophes du genre et pourtant ... je n'ai jamais senti d'aussi prêt la fin du monde, cette sensation pesante du néant définitif et irréversible qui approche lentement, en silence, le besoin de protéger son enfant jusqu'au dernier souffle, cette innocence de l'enfant qui ne demande qu'à grandir sur une terre qu'on aurait voulu meilleure. Car comme le dit la mariée déchue : la terre est mauvaise et il n'y a de la vie nulle part ailleurs. Ce film, si on prend le soin de le savourer, est d'une force incroyable, en toute simplicité il traite de l'essence même de la vie. Il suffit de voir la beauté cinématographique des 8 premières minutes, des images post-apocalyptiques figées, noires et éternellement poétiques, quel autre réalisateur que Lars Von Trier aurait pu réussir cela ?
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 27 mars 2012
    Le nouvel objet filmé de Lars von Trier dans la constellation du paysage cinématographique est la mise en scène de l'attraction des astres, du choc mental de deux planètes.
    Le film naît, hors du temps, dans l'espace de la représentation onirique pour mourir dans le pâle reflet de la vie terrestre. L'image des deux sœurs (céleste et terrestre) est transfigurée en deux parties distinctes : Justine ou la lente agonie du mariage social pesant et Claire dans l'angoisse matérielle de la fin des temps.
    L'idéal du beau mariage, l'organisation d'une superbe réception, le film parfait de la vie sociale à un prix exorbitant s'enlise et agonise lentement pour rompre avec tous les liens du vouloir-vivre. Les scènes sont longues, les échanges triviaux et les protocoles se figent dans l'attente et l'insignifiance pour s'ouvrir sur l'espace mental du sens de la vie juste. Le retard, l'attente, un long bain impromptu, les projets d'avenir avortés, l'adultère consommé sur un golf, c'est bien cette suite d'événements censés qui marquent le territoire spirituel de la céleste créature représentée sur Terre par Justine. L'effondrement des valeurs et l'inéluctable violence du choc des planètes prend sa source dans la comédie humaine du mariage ou pire celle à peine voilée de l'enfantement.
    C'est le corps entier de la deuxième partie qui peut s'animer : le cadrage de la nécessité et l'exactitude du calcul de la fin des temps. Les éléments de la raison viennent corroborer une imagination lucide : la science, internet, la lunette astronomique et jusqu'à l'instrument de fortune mesurant la proxémie du cataclysme. Désormais chaque fonction représentée dans des vies humaines prennent la tournure des actes dans le cadre de leur volonté : l'espace et le temps de la nécessité.
    Le film réussit à installer une ambiance dans un rythme propre capable d'atteindre l'espace mental du spectateur en prenant le risque néanmoins et au bout du compte de révéler une séance cinématographique comme un événement trivial et mesquin face à la réalité onirique de la vie humaine.
    David
    Ewen Blake
    Ewen Blake

    156 abonnés 1 196 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 mars 2012
    L'apocalypse selon Lars Von Trier. Une collision céleste vécue dans l’intimité de deux sœurs.

    Lars Von Trier prend une fois encore pour thème la souffrance féminine. Il découpe son film en deux parties. La première est consacrée à Justine, fantasque et dépressive et dépeint son mariage. Dans un cadre enchanteur alors qu'elle est sensée passer parmi les plus belles heures de son existence Justine est absente, tourmentée, angoissée. Sa sœur est elle à son avantage planifiant, organisant, faisant tout en son pouvoir pour la rendre heureuse. Mais le mal-être de Justine transparait malgré ses propres efforts pour le cacher et l'exaspération de Claire n'est jamais loin entre patience et résignation devant la maladie. La seconde partie n'a pas de lien thématique évident avec la première et en prend le contre pied. Elle est consacrée à la plus conventionnelle des sœurs : Claire et dépeint le futur impact de Melancholia avec la Terre. A mesure que les minutes s'égrènent et la menace devient plus précise et pesante les rôles s'inversent Justine se retrouve dans son élément et s'apaise alors que sa soeur perd progressivement contrôle des événements et d'elle-même.
    Une fois Melancholia grossièrement décrypté ce que j'en ai pensé : un film ambitieux à la psychologie des personnages fouillée sur un thème intéressant et un traitement à la Lars Von Trier. L'image hésite entre une esthétique en images de synthèse pure et sublime (la mariée entravée) et un visuel parfois très kitsch (la scène finale). On remercie néanmoins l'auteur de nous livrer une fin du monde aussi épurée loin des Tour Eiffel qui s'écrasent ou des Taj Mahal qui s'embrasent des films catastrophes traditionnels. Melancholia est accompagnée d'un Wagner pompeux (je ne suis pas fan) et s'étale dans les longueurs pour sombrer périodiquement dans l'ennuyeux. Niveau scénario si l'on devine que l'essentiel pour le réalisateur est de réunir et isoler les deux sœurs pour la scène finale, la façon d'éliminer John m'a paru un peu facile. Difficile de ne pas mentionner enfin l'extraordinaire composition de Kirsten Dunst qui marque le film profondément et nous transmet successivement euphorie, angoisse, dépression et enfin cette dérangeante sérénité à l'aube de l'apocalypse alors que l'humanité va connaitre le sort qu'elle mérite. Si après cette longue critique vous hésitez encore: l'essence de Melancholia est résumée dans les cinq premières minutes donc il vous sera facile de savoir si elle est faite pour vous.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 24 mars 2012
    Va voir melancholia tu verras c est un super film ....

    Me suis ennuyer pendant 2h ... inintéressant, nul, interet zero ....
    et qu'on me dise pas que c est parce que j ai rien compris ...
    Simplement ce film n a aucun interet, aucune emotion, aucune action, aucune histoire, rien.
    Ceux qui trouve le film grandiose qu'ils continuent a se masturber intellectuellement avec de la bouse, j en suis content pour eux ....
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 23 mars 2012
    Huit premières minutes étonnantes qui nous baladent dans le temps, avec des images pré et post-apocalyptiques, sur un rythme ralenti pour nous permettre de savourer la poésie de chacune d'entre elles : les oiseaux tombant d'un ciel orangé, une illustration pleine de vie dévorée par les flammes, une mariée gisant sur l'eau avec les mains refermées à hauteur de sa poitrine sur un bouquet (tel un mort sur son cercueil tenant un chapelet ) ou encore tentant de fuir malgré les entraves végétales qui lui enserrent poignets et chevilles, la fuite impossible d'une mère portant son enfant dans un terrain marécageux, voire la collision funeste de la Terre avec Mélancholia... Que des images sensationnelles qui préfigurent l'humeur noire qui va régner sur tout le film! Scindé en deux parties, ce dernier nous permet de découvrir le personnage de Justine dans un premier temps et celui de Claire ensuite, le tout dans des tons pastels. Cependant, je regrette que la première partie ne soit pas nécessairement utile et n'entretienne pas véritablement un lien étroit avec la seconde. Bien évidemment qu'elles sont chronologiques... mais d'un univers à l'autre, le réalisateur risque de perdre quelques spectateurs! A contrario, la seconde est davantage intéressante, car sont mis en valeur chacun des personnages principaux, Justine la super tante, le petit Léo et Claire le mère (tout trois respectivement identifiés dans le prologue -si je ne me trompe pas- à la sombre Mélancholie, la Lune et au Soleil rayonnant), tout trois excellemment interprétés par des acteurs de talent. Ainsi Justine dépérit dans des moments sensés l'enjouer (1ère partie) et se sent presque revivre et retrouve un franc sourire dans les moments sombres (2e partie), alors que Claire s'affirme, a le dessus sur sa soeur lors de mariage et se replie, s'en remet à cette dernière quand le danger gronde! Au milieu de ces deux femmes, le petit bout tente d'évoluer, de comprendre, de grandir... en bref, de changer, comme la lune lors de ses différentes phases. La lenteur de la production permet d'installer une atmosphère étrange, mais efficace... elle met mal à l'aise et retarde l'inévitable, comme pour nous laisser réfléchir... Car oui, Mélancholia n'a de cesse de nous faire appréhender la nature humaine, ses peurs, ses attentes et ses (dés)illusions. Le final conserve à nouveau toute la poésie propre à l'écriture de Lars von Trier... mais ne parvient pas à nous faire oublier notre amertume quant à la première partie et à la présence inutile de certains protagonistes! Le bilan demeure donc naturellement mitigé même si j'applaudis l'inventivité et la création!
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 20 mars 2012
    on a echappé au pire. Lars von Trier aurait pu choisir 'la truite' de chopin comme fond sonore.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 18 mars 2012
    Très bon film! La scène d'ouverture est sublime! L'on ne s'ennuie pas dans ce voyage ! Les personnages sont fouillés et LVT met en scène, avec brio les différentes réactions que peuvent avoir les individus lors d'une situation grave. Les plans sont très beaux et la musique bien choisie. Les acteurs sont excellents et Kirstent Dunst mérite sa palme de meilleure interprète féminine. Un grand moment de cinéma à voir absolument
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 17 mars 2012
    Le début est inoubliable, le mariage est cruel est beau, le tout d'une poésie magnifique. On est en apesanteur pendant toute la durée du film, ou presque. (Et ceci, qui n'a rien à voir mais qui a à voir malgré tout : Quel dommage que Lars von Trier ait dit ses conneries! Le film aurait peut-être eu une plus large audiences q'il n'avait pas déversé des propos monstrueux à Cannes...)
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 26 avril 2012
    La fin du monde... Pas très original. La fin du monde sous la mélancolie... Original. car n'oublions pas que Lars Von Trier puise son scénario sous l'originalité, peut importe le chemin à traverser. Pendant le film, on peut suivre l'histoire deux fois : la première sous les images en super-ralenti dont la conclusion est la collision des deux planètes et la deuxième fois sur tout l'étendu du film.
    Durant les huit premières minutes, ce n'est pas seulement sous la mélancolie que Lars Von Trier mais sous l'opéra et la peinture en un mot : l'art. On retiendra en partie la mort et le déchaînement de la nature (les cadavres des oiseaux qui chutent derrière le visage mélancolique de Kristen Dunst, et les branches des arbres qui volent dans le vent et les racines qui retiennent par les pieds la mariée). On peut aussi retenir le fameux tableau de Brueghel qui prend feu. (la mort de la culture et donc de la civilisation ?) Pour résumer, c'est le chef d'oeuvre par excellence de Lars Von Trier.


    en en cdeux cahâpitre




    C'est dans un silence pesant q
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 15 mars 2012
    Après un départ contemplatif et soporifique, on rentre de plein pied dans l'histoire de cette famille qui se rend peu a peu compte de ce qui les guette, au fin fond de leur retraite sylvestre... Au menu : un mariage calamiteux, et un personnage (Kirsten Dunst) qui s'enfonce dans la névrose... Les plans "caméras a l'épaule" sont parfois exagérés, mais Melancholia possède une véritable cohérence, une image, des couleurs très particulières qui lui confèrent cette atmosphère "fin du monde" que j'ai trouvé fort réussie : tout ceci témoigne d'un grand travail (et d'un grand talent), sans chercher l’esbroufe. Un film intéressant, original et maitrisé.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 8 octobre 2014
    Un tableau, au fond sonore glauque, réservé, peu appréciable de par cette géhenne qu'il évoque mais artistiquement riche, original, tableau prélude d'une fin du monde, non, elle s'est déjà déroulée.

    Un mariage, catastrophique, coûteux, mais démonstratif du faux bonheur. Justine, la mariée, est un être instable, cachant un génie derrière une mélancolie, caractère dépressif relatif à l'arrivée d'un objet céleste, aussi brillant, angélique et paradoxalement évocateur de la peur comme peu l'être Justine envers son entourage. La fin du monde, vraisemblablement annoncée par une future collision, n'est rien, Justine est déjà anéantie.

    Une famille, celle de la sœur de Justine, un mari, qui se veut rassurant, qui se rassure et rassure la famille face à un probable fléau, un enfant, aussi naïf que l'était Justine avant sa mélancolie et enfin la sœur, Claire, apeurée par ce monstre aussi bien céleste que terrestre (si l'on en considère la présence de la sœur dépressive).

    Melancholia est sans aucun doute une magnifique œuvre, qui exprime très bien ce qu'est la mélancolie, il fou réellement le cafard. Des plans souvent long, justement là pour exprimer le manque, le vide, le rien, une Kirsten Dunst en or, je l'aime, et en dualité avec la fille Gainsbourg (elles sont soeur, Justine pour Kirsten et Claire pour Charlotte). Je ne connais par Lars von Trier, mais juste pour cette œuvre, je le respecte et je l'apprécie, époustouflant.
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