Mon compte
    Melancholia
    Note moyenne
    3,5
    11344 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Melancholia ?

    1 157 critiques spectateurs

    5
    245 critiques
    4
    289 critiques
    3
    191 critiques
    2
    139 critiques
    1
    149 critiques
    0
    144 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    ArnoRuoms
    ArnoRuoms

    20 abonnés 101 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 février 2013
    Un monument cinématographique !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 20 février 2013
    Après un premier 1/4 heure assez contemplatif, le film dévoile deux actrices incoyables. Le scénario qui pourrait paraître oser sur le papier tient la route grace aux interprétations de K. Dunst et C. Gainsbourg. Un très bon film qui ne plaira pas à tout le monde.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 18 février 2013
    Passionnant comme les critiques sur ce film crient au chef d'oeuvre comme au navet! Et si l'esprit humain pouvait être capable de vivre un film plutôt que de le "voir" ou de le "regarder"?
    Ceux qui ont adoré vont développer moult analyses et ceux qui ont détesté vont exprimer à quel point cette chose filmée ne correspond en rien à l'idée qu'ils se font du cinéma...
    Heureusement qu'il existe des oeuvres inclassables, qui échappent à l'essentiel de nos préconçus.
    Avec Melancholia j'ai vécu la fin du monde, j'ai renoncé à mon entendement, j'ai rejoins le néant, depuis le mariage jusqu'au choc ultime, faut-il des mots pour cette expérience?
    Je revivrai Melancholia, c'est sur, avec encore moins de mots qu'il n'en sort de la bouche d'une très belle blonde dépressive... Merci Lars von Trier, infiniment!
    Amandine-Balboa
    Amandine-Balboa

    2 abonnés 37 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 février 2013
    Pfffff...que dire...Le film ne laisse pas indifférent, certes, mais rien que le prologue m'a ennuyée.
    Trop trop long à mon goût. J'ai été exaspérée par les plans au ralenti. Même si cette thématique de dépression sur fond de fin du monde me parle au premier abord, pendant 2 heures, on ne sait pas vraiment où le réalisateur veut nous mener et cela me gêne. Et malgré une fin en apothéose et la bonne performance de Kirsten Dunst : ce film est une grande déception.
     Kurosawa
    Kurosawa

    583 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 février 2013
    Lars Von Trier s'attaque à un sujet classique de l'hstoire du cinéma: la fin du Monde.
    Le film est divisé en 3 parties: un prologue résumant les grandes étapes du film au ralenti, puis deux parties majeurs.
    La 1ère met en scène le mariage de Justine (Kirsten Dunst) qui plonge dans la dépression, ou plus exactement la mélancolie Tous le monde semble s'ennuyer, sauf le spectateur. Grâce à une interprétation de haute volée et une mise en scène d'une maitrise totale, on suit avec curiosité cette histoire originale. On se demande même où veut en venir Von Trier. Quand nous parlera t-il de la planète Melancholia ?
    La 2ème s'attarde plus sur sa soeur, Claire (Charlotte Gainsbourg) qui craint la collision de la planète Mélancholia avec la Terre. Tous les invités partent et seuls les personnages principaux restent. Ils observent la trajectoire de la fameuse planète. Von Trier nous fait alors apprécier sa photographie. Certains plans sont en effet exceptionnels avec un choix pertinent des couleurs.
    Le film monte progressivement en puissance, avec une dramaturgie poussée à son paroxysme. Il s'achemine vers un final époustouflant. Pourtant, le film reste énigmatique quand à la réelle portée de son message. Une oeuvre très personnelle, qui ne laisse certainement pas indifférent.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 11 février 2013
    C'est genre de film qui fait que j'aime le cinema !
    C'est ce film qui meritait la palme d'or a Cannes en 2011 !
    Quel choc ...
    Avant de parler des acteurs , du scenario ou de la relisation je veux d'abord dire que Melancholia possede la meilleur photographie que j'ai jamais vus ! J'ai vus enormement de beaux films mais celui les depasse tous !
    Pour les acteurs , commencons par Kristen Dunst c'est simple elle a plus que meriter son prix ! Trouver des actrices qui arrivent a entrer dans son personnage comme ca de nos jours ! Elle change du bonheur au malheur d'une facon juste incroyable ...Puis il y a Charlotte Gainsbourg qui est tres bonne mais fais un peu pale devant la prestation de K.D ! Et les autres que l'on voit asser peux sont tres bon sans plus .
    La realisation , personne ne le dit mais tu le monde le pense tu meritais le prix du meilleur realisateur c'est tout .
    Le scenario , la fin du monde vue de facon realiste pas comme dans c'est put.. de productions hollywoodiennes a la con ! Non c'est juste ecrite de facon realiste et ( deprimante ) mais ce scenario marche surtout grace a sa phographie et ses acteurs .
    Le seul defaut , c'est sa camera , d'accord que l'on filme camera a l'epaule mais que l'on fasse des zooms sans changer de plans m'enervent un peu mais la ou interviens encore pour sauver ce defauts c-a-d la photographie qui grace a elle nous importe peux de la facons dans s'est filmer ! Mais certains plans sonts plus que magnifiques je ne dit pas .
    Le debut , la communication entre elle et la terre et la fin sont juste inexplicable tellement elle degage une beauter qui est vraiment a couper le souffle !
    Je le conseille aux cinephiles ( en vostfr et bluray ! ) , les autres ( certains ) apprecieront pour la beauter du film mais en l'oubliant vite et les autres ne feront qu'une lenteur abominable qui par ailleurs ne ma poser AUCUN probleme , je ne me suis pas ennuyer une seconde !
    Voila je pense que c'est un des films les plus magnifiques que le monde du cinema n'aura jamais cree ! Voir le plus beaux car pour moi il l'est !
    bobov
    bobov

    7 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 février 2013
    Melancholia, lumière tamisée pour adoucir la décadence de la bourgeoisie et du pouvoir ... seule la pureté de ce sentiment de mal être les sauvera ...
    Aurélien Vaillant
    Aurélien Vaillant

    14 abonnés 23 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 juillet 2013
    Ni un chef-d’oeuvre, ni un navet. Juste un film pas mal de Lars Von Trier avec les qualités et les défauts qu’on lui connaît. Indéniablement plus fin qu’« Antichrist », le réalisateur parvient à mettre le doigt sur des aspects intéressants de la psyché humaine, notamment dans ses rapports à l’altérité et à la mort, sans tout à fait parvenir à faire oublier quelques longueurs et pesanteurs. Pourquoi, alors, tant de battage et de positionnements extrêmes sur ce film? À croire que les critiques redécouvrent la façon de réaliser de Von Trier à chaque nouveau film, et se montrent incapables de l’aborder autrement qu’en extra-terrestre (ce qu’il n’est assurément pas, même s’il tente de nous convaincre du contraire).
    Bricoleur et manipulateur, Von Trier aime à embobiner son monde (et lui-même, car je doute qu’il soit tout à fait conscient de cet état de fait). Depuis l’invention de son fameux « dogme », il a toujours prétendu faire du cinéma « à part », mêlé d’expérimentations et d’un farouche « refus de la compromission ». L’objectif revendiqué d’une telle démarche serait d’approcher à la plus complète authenticité. Ce qui est loin d’être toujours le cas voire aboutirait plutôt à l’effet inverse : la mystification pure et simple du spectateur qui ne sait plus où il en est. La violence émotionnelle extrême des scènes, couplée à des innovations formelles déroutantes, se révélant presque toujours efficace à déstabiliser et à « orienter » son public.« Dancer in the dark », véritable prise en otage des affects, en est le meilleur exemple à mon sens : film qui lui valut la palme d’or, et le demi-désaveu confus de la critique à peine l’effet immédiat dissipé. Le plus fort, c’est que cette « efficacité » vous prend aux tripes même quand vous en êtes prévenus et que vous ne reconnaissez pas de qualités à ce que vous êtes en train de voir (j’ai eu la boule au ventre en regardant « Antichrist », tout en le trouvant lourd et misogyne). On aurait pu croire néanmoins, après une demi-douzaine de films du fieffé danois, les critiques suffisamment avisés sur « l’effet Von Trier » pour ne pas nous donner du « Chef-d’oeuvre instantané » ou du «pose narcissique d’ado attardé » à peine les portes de la salle franchies. Dans un cas comme dans un autre c’est passer à côté des vrais enjeux de sa réalisation, pour ne se centrer que sur la façade formelle tapageuse et les frasques du réalisateur. En effet, en dépit des travers que nous venons d’aborder, Von Trier reste un cinéaste intéressant, qui sait à ses heures exprimer des réflexions pertinentes et bien senties sur la société. Il serait dommage de ne voir en lui qu’un adepte du gadget visuel ou un imposteur du grand écran.
    « Melancholia » est un peu tout cela à la fois : un peu expérimental (surtout au début), excessif, pompeux par moments, touchant et vrai à d’autres… Avec une balance positive du côté des qualités.
    Le prologue, composé de « tableaux » surréalistes et prophétiques annonçant les thèmes-clés du film, est effectivement d’une grandiloquence à couper le souffle. Ces prédictions oniriques de mauvais augure, grassement soulignées par du Wagner, nous sont balancées au visage sans préambule, ni grille de compréhension permettant de se les approprier. D’où malaise, choc, et, éventuellement, fascination. C’est là la principale expérimentation formelle du film. Il faut un petit moment pour s’en remettre sur le coup, mais on ne peut dénier une certaine efficacité au procédé par la suite : les images nous reviennent au cours du film, au fur et à mesure que nous pouvons les associer aux scènes auxquelles elles se réfèrent, comme une toile de fond fantasmatique et vaguement ésotérique. Idée intéressante que de tenter de nous rendre dépositaires des visions de Cassandre/Justine, d’essayer de nous faire partager son état d’esprit. Mais, une fois encore, Von Trier se révèle incapable d’intégrer harmonieusement l’artifice et à en gommer la lourdeur. Même si le « truc » fonctionne, on voit beaucoup trop les fils. Le reste du film est dans l’ensemble tout à fait honnête, et l’on est contents de retrouver une réalisation plus classique après le déballage de l’intro.
    La dépression de Justine constitue indubitablement la toile de fond de « Melancholia » (le titre parle de lui-même), au point de se demander pourquoi Von Trier a décidé de nommer « Claire » la seconde partie du film, Justine apparaissant d’emblée comme le personnage principal autour duquel toute la thématique du film va tourner. La première partie, l’échec du mariage de Justine, met en scène avec beaucoup d’intensité (bien que de façon un peu systématique) la façon dont la jeune femme est rattrapée par ses démons au moment de ce qui aurait dû être son « apothéose ». La faille de Justine n’apparaît pas immédiatement (on pourrait l’imaginer au départ comme plutôt heureuse de l’événement), mais se fait jour peu à peu, par petites touches, jusqu’à saturer toutes les relations entre les personnages et devenir l’enjeu principal de la réunion. Il y a là quelque chose de « Festen » : une déliquescence généralisée provoquée par le refus, irréductible, du personnage principal d’adhérer à l’événement fédérateur. Justine envoie tout valdinguer car elle ne parvient plus à faire semblant. Le beau vernis s’écaille, laissant apparaître tous les squelettes au fond du placard qui plombent la vie de l’héroïne et de ses proches : tensions, rancoeurs, calculs, désamour, lâcheté, égoïsme, dégoût de soi et des autres… Mais la comparaison s’arrête là, car si les révélations dans « Festen » (pour terriblement brutales qu’elles soient) avaient quelque chose de libérateur, les médiocrités mises en évidence par le comportement de Justine ne sont que l’aveu d’un échec personnel, et n’ont rien de secret. Justine est minée par autre chose, d’une façon bien plus profonde et intime, qui surpasse les circonstances et les travers de ses contemporains. Quelque part, elle se fout de ce qui l’entoure, et sa tendance à tout faire merder n’est que l’expression de cette faille identitaire, un genre de pulsion autodestructrice fondamentale.
    C’est à cette pulsion de mort que vient faire écho, dans la seconde partie, l’entrée en scène de Melancholia (pour ceux qui n’auraient pas compris la subtile allusion). La planète errante, et potentiellement meurtrière, apparaît comme le prolongement du spleen de Justine qui trouve en elle la voie de son anéantissement. Sorcière ayant attiré le malheur sur le monde ou simplement devin, la Femme, incarnée par Justine, est une fois encore marquée du sceau du surnaturel, et présentée comme émissaire naturel des forces invisibles. Sous un angle de lecture moins mystique, on pourrait également présumer que Justine tire une forme de lucidité exacerbée de sa profonde dépression. Rien ne lui important vraiment, elle n’a aucun tabou à voir au fond des choses.
    Elle s’oppose, en tout cas, diamétralement à son beau-frère. Celui-ci, un peu à la façon du mari psychanalyste dans « Antichrist », est un modèle de rationalisme « masculin ». Scientifique et cartésien, il oppose aux sombres présages de Justine le farouche optimisme de l’occident chrétien, sûr de son pouvoir sur la création. Il ne peut avoir tort, car cela impliquerait de trop graves conséquences pour lui, sa famille et l’Humanité. Il possède la Foi, il veut croire. C’est ce qui causera sa perte. Quand il comprendra son erreur, il ne pourra l’assumer et se suicidera pour ne pas avoir à faire face aux conséquences de son entêtement. Justine, elle, n’a pas besoin de croire : elle sait. Elle n’a donc aucune raison de s’effondrer. Elle part se baigner à poil dans la rivière, telle l’Ophélie d’Hamlet, quand tous les autres courent en tout sens comme des poulets décapités.
    C’est là tout le paradoxe du final : au moment où toutes les personnes « sensées » auront perdu leur capacité d’agir et de penser face à l’imminence de la catastrophe, c’est elle, la dépressive nihiliste, qui va prendre les rênes et se charger de guider sa sœur et son neveu lors de leurs derniers instants. C’est l’insensée qui va trouver un moyen, certes tout symbolique, pour rétablir un peu de sens quelques minutes avant l’apocalypse, pour parer d’un peu de magie l’horreur de l’agonie. Pas pour elle (elle n’en a nul besoin), mais pour sa sœur, manifestement incapable d’empêcher sa propre angoisse de se communiquer à son fils, et plus encore pour son neveu, qui est le seul à l’avoir vraiment accepté comme elle est.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 4 février 2013
    Un calvaire en tout point. Des personnages inintéressants à la psychologies tellement poussives qu'ils en sont ridicules et caricaturaux (mais que fait Jack Bauer !!!!!), un scénario en résonance total avec le vide intersidéral. Rien d'intelligent dans ce film. Seule la beauté de certaines images (digne, il faut le dire, de tableaux de grands maîtres) nous sort par ci par là de la torpeur d'un ennui aussi grand que l'égo d'un réalisateur surcôté. On est à des années lumière de l'incroyable " Dancer in the dark ". En un mot NAZE.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 3 février 2013
    Étrange film qu'est Melancholia. Et pour cause, j'ai du mal à lui mettre une note. Donc "Moyen". Mais cela aurait très bien pu oscillé entre "Nul" et le "Chef d'oeuvre". Ce film est quelque peu dérangeant, vacillant sans cesse entre un esprit de génie et/ou (?) de folie de Von Trier. Avantages du film ? Un décor entièrement psychologique, un casting très prometteur, avec des acteurs qui ont totalement imprégnés leurs rôles, un agencement des différentes scènes (du point de vue de l'histoire) qui fait progresser l'univers petit à petit, et une fin particulière également qui oscille entre espoir et fatalité. Réalisme ou Fantastique ? On ne peut savoir. Pour résumer, tout cet ensemble forme un film complet du point de vue de la forme, mais c'est le fond qui dérange. Et le rythme : Inconvenant, c'est lent, mais qu'est ce que c'est lent... C'est limite ennuyeux, il ne se passe presque rien. La résistance face au sommeil à la vision de ce film tient du miracle (d'ailleurs je dis bravo à ceux ont réussi comme moi à tenir jusqu'au bout, mes proches n'ont pas réussi). Mais une question résonne. Ce film en vaut-il alors le coup ? Franchement, je ne peux rien dire, je laisse à l'infatigable spectateur (dopez-vous à la caféine) le soin d'en juger.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 3 février 2013
    Melancholia est pour moi comme un immense tableau dans lequel on se promène. Tout est beau et extrêmement triste à la fois, la mélancolie vient nous toucher au plus profond. Enfin un "film de fin du monde" qui ne soit pas un blockbuster décérébré, merci Lars Von Trier. L'ambiance dégagée par ce film est envoûtante et m'a collé à la peau encore des heures après être sortie de la salle, que demander de plus ?
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 1 février 2013
    Un très bon casting certes, mais il ne se passe rien... C'est décevant. Pour un drame, je suis d'accord, c'est un bon drame. Mais quand on souhaite voir un film de science fiction il veut mieux éviter Melancholia... Décevant.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 25 janvier 2013
    0/5 si c'était possible ! Une immense déception ! ! 10 mn d'images fixes au début, un mariage où les dialogues sont d'une rare insipidité, une dernière partie où à aucun moment je n'ai senti la moindre empathie pour les personnages. Je suis Lars von Trier depuis longtemps, j'ai aimé "L'hopital et ses fantômes", et ai trouvé "Dogville" très innovant. Mais là, je suis en colère, avec l'impression d'avoir perdu 2h de temps à regarder ce film qui m'a profondément ennuyé. Contrairement à ce que pense "critiqu@c!né", pour qui ceux qui n'aiment pas ce film sont "bêtes ou ignorants, intéressés seulement par le premier plan et des films d'action dont on connait la fin", j'ai adoré "Les ailes du désir" ou "Le guerrier silencieux" ! Et je lui signale qu'on connait déjà tous la fin de Mélancholia avant de le voir. Je pourrais être aussi désobligeante que lui en disant que ceux qui aiment (ou font semblant d'aimer)... mais je vais rester plus courtoise que lui.
    olympyque69
    olympyque69

    3 abonnés 45 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 24 janvier 2013
    Lent Archi-lent et pour pas grand chose ... Sauf si on aime de belles images, je vois pas d'autres possibilités ! Désolé !
    Alexandre H.
    Alexandre H.

    9 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 janvier 2013
    Tout d'abord je tiens a précisez a "critiqu@c!ne" que non, on peu détester ce film et avoir une énorme culture cinématographique.. C'est même ça qui est beau dans ce film, tu aime, ou tu n'aime pas.. On peu détester ce film et adorer mulhollande drive et inversement... Les gens font leur critique eux même, ils n'ont pas besoin de se sentir insultés en lisant la tienne.
    Sinon pour en revenir a ce film, pour ma part j'ai aimé l'intro, les images sont magnifique j'ai adoré la première partie, puis je me suis légèrement lassé, je l'ai trouvé quelque peu long, même si les acteurs transmettent magnifiquement leurs émotions, sinon l'histoire est bien ficelée, mais vu que ne suis pas fan de lars von trier a la base, ça ne facilite pas les choses..
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top