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    Melancholia
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    1 157 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 1 mars 2013
    Force est de constater que 2011 fut une année particulièrement féconde en trésors visuels et autres joyaux de mise en scène. Ainsi, nos petites mirettes ont eu l'insigne honneur de se régaler avec "The Tree of Life", "Drive", "Melancholia" et, dans une moindre mesure pour ma part, avec "Black Swan".
    Ce que l'on retiendra inéluctablement de "Melancholia" concerne la splendeur et la poésie de son prologue bercé par la musique de Wagner et l'incroyable puissance de sa scène finale, ainsi que les prestations géniales de Kirsten Dunst et Charlotte Gainsbourg. Mais, le film est bien plus que cela car si l'on élude le fait que le milieu du récit souffre de quelques longueurs, le film est une réussite incontestable. Lars von Trier s'est aventuré dans les méandres de la peur, de la dépression, de la nature humaine, de la vie et de la mort, de l'amour filial et des opposés, méandres qu'il connait d'ailleurs très bien et qui lui ont permis de donner naissance à une oeuvre à la fois poétique et malade dont le force évocatrice est patente. Le spectateur se trouve dès lors bercé dans une atmosphère romantique entre douceur et révolte, entre peur et apaisement et entre amour et souffrance par le biais d'une mise en scène impeccable, d'un visuel extrêmement bien soigné, de prises de vue qui permettent de pénétrer au plus profond de l'intime et d'interprétations subtilement dosées. A l'image d'Ophélie, Kirsten Dunst prête son faciès pur et son sourire enjôleur à Juliette tandis que Charlotte Gainsbourg passe admirablement bien de la contenance à la panique. Mais, il faut aussi évoquer les seconds rôles qui participent au triomphe de L.V.T : Charlotte Rampling marque les esprits, Kiefer Sutherland montre qu'il est un acteur avant d'être un Jack Bauer, Alexander Skarsgård joue le niais éhonté à merveille et je soulignerai enfin les belles performances de Stellan Skarsgard et de John Hurt.
    Avec "Melancholia" von Trier a fait du grand Lars et signe ici, à mes yeux, sa plus belle réussite. Revenu de loin, à l'instar de Kirsten Dunst, L.V.T filme l'Humanité et la fin d'une monde avec lyrisme et jusqu'à l'envoûtement, jusqu'à la confrontation finale procurant ainsi au cinéma l'une de ses plus belles scènes de l'année 2011. Un film à ne pas manquer!
    SmEuG
    SmEuG

    44 abonnés 248 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 septembre 2011
    La première grande satisfaction qu'on éprouve suite à la vision de Melancholia, c'est d'avoir assisté au film d'un grand monsieur qui a compris comment se devait d'être le genre du film-catastrophe. C'est-à-dire, non pas se pavoiser devant un gloubi-boulga d'effets spéciaux se délectant de réduire en bouillie la statue de la liberté après avoir noyé Manhattan à coup de Tsunami, et tout cela dans l'indifférence la plus totale, mais plutôt d'illustrer le côté hautement tragique de l'événement, l'utiliser comme simple déclencheur d'une mécanique dramaturgique sur l'être humain. En fait, dans Melancholia, la catastrophe naturelle n'est qu'un outil, carrément laissé au second plan. Et c'est très bien comme ça.

    Qu'en est-il alors du sujet principal de ce métrage à première vue hybride, car il semble découpé en deux parties sans grand rapport? La première se focalise sur le personnage de Justine (Kirsten Dunst), absolument sublime en mariée fêtant sa récente union avec son mari. Ce qui devait être le plus beau jour de sa vie s’anéantit au cours d'un processus d'(auto) destruction.
    Le deuxième chapitre, quant à lui, se braque sur Claire la soeur de Justine, qui à son tour va vivre l'enfer face à la catastrophe qui scintille d'un air narquois dans son espace stellaire.
    Melancholia oppose donc deux visions de la Vie, deux peurs, deux drames ne puisant pas leur eau dans la même source. Du côté de Justine, jeune femme bipolaire, la vraie catastrophe se personnifie à travers l'homme. Tous plus véreux les uns que les autres... Sa mère règle ses compte pendant le repas de mariage, son père n'est jamais à l'écoute, son patron la conçoit comme un accessoire destiné à faire du profit et le mari de sa femme tient un rapport libidinal à l'argent. Commence alors une longue descente aux enfers pour Justine qui semble trouver une délivrance face au cataclysme qui se prépare. L'éradication de la néfaste espèce humaine est vue comme une libération quasi divine, au point qu'elle se livre à une sorte de rituel religieux en offrant son corps nu à la pâleur blanche de Melancholia. D'ailleurs, ses escapades nocturnes donnent lieu à des fulgurances lyriques dont il émane un sentiment de plénitude sublime.
    Claire, dotée d'un comportement tout à fait antagoniste, aime ses proches, joue la soeur protectrice, et n'a peur que de la souffrance des autres. Elle incarne une vision plus positive de l'Humain et Melancholia représente la future destruction d'une entité qu’elle considère sacrée.
    Ainsi, Lars Von Trier s’amuse de l’opposition concrète entre ces deux sœurs qui s’aiment et se déteste. Il en découle un récit bouleversant, contenant des plans absolument inoubliables (le plan final, le Travelling aérien sur les sœurs dans leur séance d’équitation), une introduction passablement similaire à celle du déjà très bon Antichrist, avec ces ralentis de toute beauté, et une ambiance mélancolique grâce à ce vespéral château enluminé, ainsi que cette fascinante planète représentant la fin de tous les maux.

    Pour terminer, il est essentiel de parler du casting pour lequel LVT signe un sans faute. Dunst, Gainsbourg, Sutherland, Hurt, Rampling, Skarsgard….Tous ces grands noms sont parfaits dans leur rôle respectif.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 7 juin 2012
    Ce film est sublime, surtout la scène d'intro qui est magistrale !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 13 août 2011
    Une bonne vision de la fin du monde (l'attente est le plus dure , la fin est brutale mais rapide) avec deux excellentes actrices . Le début avec le mariage est néanmoins assez long .
    MemoryCard64
    MemoryCard64

    42 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 mai 2016
    J'ai mis longtemps à voir Melancholia car c'est le film de Lars von Trier qui aborde les thématiques les plus sombres. Je pensais que visionnage serait lourd et déprimant, mais il n'en est finalement rien. C'est même totalement l'inverse : l'ensemble a beau être rondement mené, il laisse l'impression de ne pas aller assez loin, principalement à cause de la séparation en deux parties. La première suit le luxueux mariage de Justine, organisé dans maison de sa sœur Claire. La réception rassemble toute la famille, ce qui permet au réalisateur de mettre en scène, comme à son habitude, des personnages qui se font mal les uns les autres. L'enjeu principal est le chantage affectif fait à la mariée : plusieurs de ses proches, par cruauté ou négligence, lui reprochent de ne pas apprécier l'événement à sa juste valeur. Le comportement de Justine se dégradera en conséquence, conduisant à l'annulation de la cérémonie. L'ennui, c'est que les états-d'âmes de la jeune femme resteront obscurs jusqu'à la deuxième partie, où l'on apprendra qu'elle est dépressive. Le mariage aurait peut-être eu plus d'impact si on avait appris cela dès le départ. Certes, il prend du sens rétrospectivement, mais sans cette information la première partie semble être un agencement de méchancetés maladroit qui est en plus largement désamorcé par des moments beaucoup plus légers (le problème la limousine, le comportement du père). Cela n'empêche pas les personnages d'être justes, notamment celui de Charlotte Rampling, mais il y a quelque chose dans la manière de les mettre en scène qui semble un peu gratuit, vain (peut-être le fait qu'on ne revoit pas la famille de Justine par la suite ?), un peu comme si Lars von Trier était en petite forme. Heureusement le bonhomme se rattrape lors de la deuxième partie, qui se concentre sur Claire. Cette dernière s’occupe désormais de sa sœur, complètement rongée par son mal-être. Cette situation permet d'approfondir leur relation. On sent qu'elles sont profondément attachées l'une à l'autre, et on constate aussi que la maladie se place comme une barrière, qui les poussent à se dire des mots méchants, à se blesser, malgré leurs efforts. Le réalisateur montre toute la beauté de leur relation, et également de leurs différences, qui ne seront que plus marquées par l'arrivée de Melancholia. En effet, la fin du monde signifiera la perte de contrôle et la panique pour Claire, tandis que Justine, d'un calme olympien, y trouvera une sorte d'accomplissement spirituel. Le long-métrage installe donc une longue attente pour laisser les personnages (et les acteurs) s'exprimer librement sur l'attente de la mort, tout en employant comme un coup de couteau traître la musique de Wagner, qui vient régulièrement rappeler l'issue fatale du film. Mon seul véritable regret sera la photographie. Après les tons jaunâtres agaçants de la première partie, je voulais voir les plans grandioses dont tout le monde parlait, mais j'ai été déçu. Il est vrai que tous les plans qui incluent Melancholia sont travaillés et intéressants, en particulier le dernier qui est aussi beau qu'angoissant, mais le reste m'a laissé de marbre. Les hommage à la peinture ont notamment un aspect plastique assez dérangeant, qui ne rend pas honneur à l'image cinématographique en elles-mêmes. Dommage, parce que Dunst en robe de mariée allongée dans un étang, je valide. J'attendais de Melancholia un chef-d’œuvre, et je n'ai eu qu'un bon film. Lars von Trier me semble moins incisif, moins jusqu'au-boutiste qu'à l'accoutumée dans le portrait de ses personnages. Cela me fait penser que ce film est le plus accessible de son auteur, ce qui est paradoxal puisque, comme je l'ai déjà dit, c'est celui qui aborde les sujets les plus graves. Et il le fait d'ailleurs très bien, contrairement à ce que disent les détracteurs, qui n'ont pas su déceler toute la richesse et la finesse de l’œuvre. Melancholia est donc une déception, mais les défauts que j'ai pu lui trouver s'estomperont peut-être lors d'un revisionnage futur.
    Azahi59
    Azahi59

    24 abonnés 64 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 octobre 2012
    Très très bon film, Melancholia s'aborde avec beaucoup de réticence pour ma part au vu des critiques négatives dont on m'avait fait part. Et bien je suis tombé de haut, car la qualité de ce film s'observe à la seconde où il commence. Les 7 premières minutes, curieuses mais somptueuses, ont forcément dues en faire hésiter plus d'un quant à la question "j'arrête ou je continue ?". Mais il est clair qu'arrêter un tel film est franchement dommage, car il en résulterait d'une grande perte. Avis aux cinéphiles.

    Melancholia se distingue comme un film tragique, on sait grâce aux premières minutes que le film se termine par la mort, dramatique, au vu de l'évolution physique et psychologique des personnages, et enfin de science fiction, par l'invention totale de cette planète "Melancholia" qui s'approche lentement mais sûrement de notre petite planète.
    Nous sommes servi par des effets spéciaux incroyables, d'une beauté infinie qui se fait presque autant ressentir que quand les personnages sont en extase devant, le spectacle est vraiment sublime.
    Que ce soit au tout début dans l'espace ou alors lors du plan à même la Terre, les images présentées sont uniques, et magnifiques. Il résulte de ces images une mise en scène lumineuse collant avec les couleurs et ajoutant une atmosphère pesante, à la limite de l'étouffement, chose que ressentent d'ailleurs les personnages lors du passage de la maudite planète.

    Les personnages, parlons en. Tous sont brillants, juste et exploitent 100% de leur capacité pour encrer au maximum à la réalité sordide à laquelle nous faisons face. L'interprétation peu habituelle de Kirsten Dunst est royale, à la hauteur de la promesse faite par l'affiche du film. Charlotte Gainsbourg apporte beaucoup également, en totale opposition à Kirsten, jouant ici le rôle de sa soeur.

    Autre observation vue à l'écran : les décors. Le choix de l'espace confiné où à lieu la fiction est juste. On assiste presque à un huit clos, mais bien plus ouvert, permettant une observation dramatique continue et grandissante. Ces décors, que ce soit l'intérieur de la maison, qui est présentée rapidement afin de nous familiariser, ou alors le jardin, immense, mais si petit face à Melancholia.

    Au final le film nous est présenté comme une oeuvre d'art, presque comme une peinture à de nombreuses reprises, au début mais aussi à la fin, lors de "l'affrontement final".

    La mise en scène grandiose de Lars von Trier, qui peut paraître étrange est ici exposée de façon, selon moi, à donner l'illusion au spectateur d'être présent, d'assister au film, et de fait à nous encrer, nous faire découvrir de façon familière les personnages. Aussi, certains raccords entre les images sont brutaux, presque violents et j'en déduis une volonté d'appui sur le tragique, une volonté d'appuyer sur la fatalité de plus en plus imminente, à savoir la collision entre les deux planètes.
    Nous avons aussi droit à une image superbe,
    celle de Kirsten Dunst nue face à Melancholia, on a ici une offrande de son corps, de son âme à la mort, en quelques sortes.

    Mais finalement l'aspect le plus intéressant visuellement reste l'inversion totale des trois protagonistes principaux, Charlotte Gainsbourg, qui était la soeur raisonnable, sûre d'elle, totalement contrôlée devient la plus paniquée, agissant de façon stupide au moment où la mort est la plus proche. Justine, alias Kirsten Dunst, qui joutait, elle, absolument le contraire de sa soeur, elle était totalement libre, agissant avec stupidité au départ, mais avec justesse au final, sans réflexion de la conséquence de ses actes, à l'exemple du rapport sexuel qu'elle effectue avec le jeune le soir même de son mariage. Et enfin, Kiefer Sutherland, qui était la mari confiant, sûr de lui par rapport aux conséquences du rapprochement des planètes, totalement opposé à la mort, qui finalement se la donne lui même avant même que Melancholia ne heurte la terre, et qui plus est, il se la donne, avec les médicaments qu'avait préparé Charlotte Gainsbourg au cas ou...
    De quoi méditer sur le travail du scénario, tant il est riche !


    L'oeuvre complète s'avère être un petit bijou, à voir de préférence en VO, car le doublage de Kirsten est moyen en français sur ce film. Mention spéciale à cette dernière pour l'obtention de son prix, largement mérité.
    Honnêtement, foncez le voir.
    cbio
    cbio

    6 abonnés 115 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 25 juin 2012
    Au bout de 30 ans la photographie est correcte. Maintenant il faudrait arrêter les mouvement de caméra et le montage parkinsonien. Puis il faudrait développer les scénarios au delà de l'idée de départ.
    Louis Morel
    Louis Morel

    46 abonnés 850 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 septembre 2012
    Un film à l’esthétique tout simplement sublime, et aux acteurs formidables.
    Viintage_dreams T.
    Viintage_dreams T.

    35 abonnés 413 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 22 juin 2014
    Ce film est d'un ennui mortel.
    Pour commencer, pendant huit minutes nous avons le droit à des séquences d'images qui défilent très lentement. Ensuite, un mariage débute. Puis, le mariage n'en finit pas, jusqu'à la moitié du film. Le couple n'est pas crédible du tout, il n'y aucun dialogue. Juste une relation étrange dans le sens secrète de Justine avec sa soeur. Et une relation absente avec celui qui était son futur époux: Michaël.
    Non mais à quoi rime ce film sérieusement? De quoi parle le film? Un mariage raté? Une fille qui cache des secrets? Une femme dépressive?
    J'ai essayer de tenir, pendant très très longtemps, ce qui rime à moi jusqu'à la moitié du film.
    Ne jamais regarder ce film. Juste la beauté de kristen dunst mérite de voir la BANDE ANNONCE seulement..
    Dadou
    Dadou

    63 abonnés 1 360 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 août 2012
    Une interprétation soignée et juste, une mise en scène impeccable mais… mais je me suis ennuyé et pas trouver grand intérêt au film.
    Cart2on
    Cart2on

    4 abonnés 44 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 août 2013
    C'est l'unanimité, le film entre directement au panthéon pour beaucoup. Pour ma part, je n'adhère pas pour plusieurs raisons:
    1) film a portée morale grossière: la vérité de la nature et de la simplicité (dans les deux sens possibles) contre l'errance humaine (la richesse, les institutions, etc). Morale éculée dont on ne fait rien. Ça ne m'étonne pas que ça plaise aux critiques qui, dans le fond, sont scolaires. Exercice: un réseau de symboles à relier au thème que vous trouverez.
    2) Le scénario sert trop la démonstration. De fait les personnages sont bâclés. Von Trier nous présente une fille perdue qui n'a que cette propriété (qualité pour Trier). Le reste du monde ne la comprend pas et s'égare. On a aussi des personnages-décor: ça fonctionne à peu près avec le père, c'est une catastrophe avec le patron et son sbire (mal joué, mauvais texte). De la fin du mariage jusqu'à la fin du film, on ne fait qu'attendre la trajectoire de la planète: percutera la terre ou pas, ou: les images du début du film sont des délires de Dunst ou pas? Dans cette deuxième partie, je me suis profondément ennuyé (je gigotais tellement je pensais à me casser)
    3) La caméra portée, on connaît désormais. C'est sympa deux minutes mais ça fait venir la nausée. Je me demande si, pour Trier, ce n'est pas une façon de masquer le manque de fluidité de certaines scène. Je le soupçonne d'être obsédé par sa démonstration et d'en finir par préférer de faire réaliste par un jeu de caméra plutôt que par un un jeu d'acteurs.
    4) la photographie est trop publicitaire à mon goût (ligne pure, palette de couleurs)


    J'ai largement préféré Les Idiots où la critique morale vise juste et subtilement: n'est pas rebelle celui qui ne s'expose pas vraiment et qui maintient son pouvoir.
    NewBoorn
    NewBoorn

    60 abonnés 576 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 janvier 2012
    CONTRE. Un film pour pseudo intellectuel dont le premier chapitre est inutile, long, et vide de sens. Le jeu des 2 actrices est indigeste et parfois incompréhensible. Que reste t-il ? La qualité visuelle et les sublimes 20 dernières minutes. C'est tout.
    lorenzo fly
    lorenzo fly

    22 abonnés 813 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 janvier 2013
    Magnifique film avec des images superbes, contrasté par la simplicité du scénario et la complexité des personnages. Très doux et calme bénéficiant d'une introduction sublime, on assiste à un beau moment de cinéma malgré quelques longueurs.
    Petit-doigt
    Petit-doigt

    27 abonnés 61 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 septembre 2011
    Le film de science fiction le plus intelligent, profond et troublant que j'ai vu depuis longtemps. Dans la veine de Tarkovski.
    Pourtant les tableaux très emphatiques et léchés du début ne m'ont pas beaucoup ému, j'avais l'agaçante impression de feuilleter une pochette d'album de Björk. Ensuite lors de la séquence du mariage je commençais à désespérer, c'est vrai c'est dégoutant de regarder un couple heureux... Puis les pépins commence à émailler le dîner de noce et là ça devient de plus en plus génial. Tout est parfait il n'y a que le suicide de Kiefer Sutherland qui me turlupine, je me suis dis bon c'est incohérent avec le caractère du personnage et ça ressemble à un truc scénaristique pour avoir la fin parfaite alors admettons. N'étant pas un fan de Von Trier je suis d'autant plus content de voir qu'il a mûri et accompli un chef-d'oeuvre complexe et émouvant.
    black-jack
    black-jack

    12 abonnés 72 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 avril 2012
    Ce film aurait pu être un chef d’œuvre s'il n'était incessamment pollué par la prétention imbécile et creuse de son auteur.
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