Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
tomPSGcinema
748 abonnés
3 323 critiques
Suivre son activité
2,0
Publiée le 19 novembre 2012
"Une Nuit Terrible" est un court-métrage où le personnage de Georges Méliès est au prise avec un insecte qui l’empêche de dormir. Rien de bien faramineux concernant cette comédie, mais bon comme il s’agit d’une des toutes premières œuvres du Maître (le court-métrage de 1896), il n’y a aucune raison de pouvoir faire la fine bouche.
Une Nuit Terrible de Georges Méliès déroule l'histoire d'un homme, dont son sommeil est perturber par une grosse bébête, il sans débarrassera tant bien que mal avec énergie. C'est quelconque ou encore faut-il y voir un message et il y en à un forcément, cependant c'est pas pour autant que ce court-métrage soit un petit bijoux.
Quatrième film de Méliès connu à ce jour, Une nuit terrible est peut-être le premier film de fiction de l’histoire du cinéma, c’est dire son intérêt historique. On y voit un homme s’apprêtant au sommeil aux prises avec un insecte énorme et terrifiant qu’il parvient à vaincre non sans mal. La dimension onirique de cette courte histoire est patente : l’homme rêve-t-il ? De quelle terrible peur d’enfant est issu ce monstre qui vient le perturber ? Le propos est d’une universalité fabuleuse et montre que Méliès, dès ses premières œuvres, était bien plus que l'illusionniste de foire que certains ont uniquement vu en lui.
Une Nuit Terrible est un des premiers courts-métrages de George Méliès, le créateur des effets spéciaux. Dans ce court-métrage, un homme tentant de dormir est dérangé par une grosse araignée qui monte dans sur son lit. On m'aurait montré ce court-métrage lorsque j'étais enfant, j'aurais probablement été terrorisé, car j'ai toujours eu une phobie pour les araignées, surtout les grosses, et quand on est petit, on ne se rend pas toujours compte qu'il s'agit d'effets spéciaux. C'est un bon début de carrière que nous offre George Méliès avec ce court-métrage. J'ai beaucoup aimé.
La matérialisation de la phobie des insectes. Tout dans cette très courte scénette, une des toutes premières fiction jamais tournée, est marqué par un sens à la fois grotesque et horrifique de l’exagération. Beaucoup d’intelligence d’un art à ses tout début, en une très courte séquence.