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Avec ce road-movie tragique et drolatique, Eran Riklis continue à jeter sur son pays – peut-être moins frontalement que dans ses précédents films – le regard social et politique qui caractérise son cinéma.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Tout n'est pas parfait (...) mais le contexte roumain permet au film d'éviter tout angélisme béat et de conserver de bout en bout un équilibre parfait entre drame et comédie.
Du vécu raconté avec une amertume sévère et un humour caustique, comme du poil à gratter sur les incohérences et les absurdités de la situation du Proche-Orient.
Riklis a donné les rôles "responsables" à des femmes : l'une dirige l'entreprise, l'autre est consul. Ce qu'il raconte est (...) un voyage initiatique au cours duquel le DRH aigri endosse une mission de pénitence, apprend les vertus de l'altruisme, oublie son cynisme, son indifférence à la souffrance des autres, découvre la richesse des ressources humaines.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Cynisme du monde de l'entreprise, dictature du politiquement correct, mirage de l'exil, génération perdue de gosses roumains, marasme d'un pays où l'on se déplace en tank, " Le Voyage... " est tout ça à la fois – un road-movie sur le retour au sens des priorités dont l'absurde désamorce en permanence le côté prévisible.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Le film est sympathique mais cruellement consensuel. C'est d'autant plus regrettable que la mise en place de l'histoire laissait présager d'un cheminement moins politiquement correct.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Le Figaroscope
Voyager avec la mort pour redécouvrir la vie : voilà une superbe et émouvante leçon.
Elle
Humain et plein de ressources : pour une fois, on a affaire à un DRH qui porte bien son titre.
La Croix
Avec ce road-movie tragique et drolatique, Eran Riklis continue à jeter sur son pays – peut-être moins frontalement que dans ses précédents films – le regard social et politique qui caractérise son cinéma.
Le Point
Voir la critique sur Le Point.fr
Les Inrockuptibles
Tout n'est pas parfait (...) mais le contexte roumain permet au film d'éviter tout angélisme béat et de conserver de bout en bout un équilibre parfait entre drame et comédie.
Ouest France
Du vécu raconté avec une amertume sévère et un humour caustique, comme du poil à gratter sur les incohérences et les absurdités de la situation du Proche-Orient.
Paris Match
(...) Étrange film israélien, recouvert de prix comme un corbillard de couronnes de fleurs. Des fleurs méritées.
Critikat.com
Road movie centré sur le parcours initiatique d'un homme, le film souffre de certains stéréotypes et d'une certaine naïveté.
Le Journal du Dimanche
S'il paraît moins incisif, ce nouveau film d'Eran Riklis a le mérite d'avoir plu à ses compatriotes et d'être plus personnel.
Le Monde
Riklis a donné les rôles "responsables" à des femmes : l'une dirige l'entreprise, l'autre est consul. Ce qu'il raconte est (...) un voyage initiatique au cours duquel le DRH aigri endosse une mission de pénitence, apprend les vertus de l'altruisme, oublie son cynisme, son indifférence à la souffrance des autres, découvre la richesse des ressources humaines.
TéléCinéObs
Cynisme du monde de l'entreprise, dictature du politiquement correct, mirage de l'exil, génération perdue de gosses roumains, marasme d'un pays où l'on se déplace en tank, " Le Voyage... " est tout ça à la fois – un road-movie sur le retour au sens des priorités dont l'absurde désamorce en permanence le côté prévisible.
Brazil
Le film est sympathique mais cruellement consensuel. C'est d'autant plus regrettable que la mise en place de l'histoire laissait présager d'un cheminement moins politiquement correct.
Libération
Au rythme paisible de l'enchaînement de situations cocasses rien n'est jamais ni très drôle ni très émouvant, ce qui est quand même un peu gênant.
Positif
Un film populaire, donc, qui ne tient franchement pas ses promesses de décrochage de mâchoire.
Première
Ce qui manque c'est le supplément d'âme artistique qui donnerait de l'épaisseur à cette fable humaniste.
Studio Ciné Live
Voir le site StudioCine Live.
Télérama
Face à cette Europe de l'Est corrompue et archaïque, le cinéaste ne prône qu'une morale lénifiante : il n'est jamais trop tard pour bien faire...
Cahiers du Cinéma
Eran Riklis, c'est le " professionnel de la profession " du cinéma israélien.
Excessif
Entre le folklore d'Emir Kusturica et le propos sociétal de Ken Loach.