longuet, plutôt creux. Les deux jeunes actrices sont mignonnes. Un peu de folklore judaïque pour être à la mode. C'est le genre de film dont on ne retient RIEN car il n'apporte rien!
Un film long dans un propos quelque peu lourd malgré une réalisation intéressante et des qualités techniques indéniables qui nous feraient dire que Rebecca Zlotowski a tout de même signé un premier film encourageant.
Que se passe t'il? ou est l'histoire? Se film est une partie de vie qui au final ne raconte rien. Dés le début on peut essayer de trouver un contexte, un pourquoi ou même un intérêt... ... une heure passé, l’intérêt n'est pas arrivé...
Encore un film sur le mal être des jeunes filles...C'est une peinture réaliste non pas de la société mais des sentiments...En cela c'est intéressant même si ce n'est pas nouveau... Je dois avouer que la seule scène que je retiendrai du film est le repas chez les cohen, (la famille de Anais Desmoutier, la cousine de Léa Seydoux)...Pour le reste le scénario est limite inexistant, l'action et le rythme ordinaires...Je dirais qu'émotionnellement j'ai plus été touché par deux filles en noir mais que celui ci est plus représentatif d'une certaine génération....A vous de voir
hum...... que c'est pauvre bah il se passe rien ou pas grand chose même si le film est extrêmement court jais réussi a m’ennuie sévère je ne vois pas l’intérêt du film les messieurs aimerons peut être beaucoup de scène de nue de jeune fille mdr vite vue vite oublié
Rebecca Zlotowski nous offre un premier rendez-vous frais, limpide, bref et puissant. Le rôle principal fait état d'une jeune fille qui ne fait point le deuil de sa mère. On peut dire que Léa Seydoux campe son premier rôle de cran. On est perturbé par la naïveté des personnages et une mise en scène concise, pas lourding, peu évocateur… Quelque chose de nouveau qui fais plaisir à voir.
Une bonne interprétation de Léa Seydoux dans le rôle d'une adolescente meurtrie par le décès de sa mère et qui cherche refuge auprès d'une bande de motards marginaux. "Belle épine" est un premier film à la fois sur le deuil et sur les affres de l'adolescence mais le scénario est un peu court. Ce film noir contemplatif date de l'année 2010, pourtant sa musique ringarde et son image sombre et terne le feraient presque passer pour une production de série B des années 80. L'économie de dialogues et une narration indécise ne facilitent pas l'accès à ce long métrage cafardeux. Difficile de comprendre l'encensement de ce film brouillon par certains critiques de cinéma. Seule Léa Seydoux, par son interprétation habitée, mérite que l'on s'attarde sur ce coup d'essai assez apathique et désordonné.
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1,0
Publiée le 26 octobre 2020
Belle épine est une histoire discrète très terne avec un tournage sans signification très faible. Il y a une faiblesse dans les dialogues et la fin du film veut nous surprendre avec quelques événements qui ne répondent pas à l'ensemble du film...
Premier film moyennement réussi de cette jeune réalisatrice. Heureusement que Léa Seydoux (une comédienne à suivre) est présente, elle porte ce film intimiste sur ses épaules même si son jeu prévaut sur des dialogues peu présents. Film court (1 h 15).
Rien que pour suivre l'avènement d'une future grande actrice, Léa Seydoux, ce film vaut le coup d’œil. On la pensait uniquement belle, on la sait désormais comédienne. La caméra hypnotise Léa Seydoux qui nous hypnotise à son tour. Sinon, le film est creux et ennuyeux.
Enorme déception, dialogues souvent inaudibles, scénario indigent, esthétisme nocturne a peine regardable, difficultés à suivre l'histoire de l'héroîne. Léa Seydoux est bien, mais n'importe quelle ado mal dans sa peau pourrait tenir ce rôle quasi mutique. Il faudra la revoir dans un vrai rôle avant de juger.
Un film sur l'adolescence appréhendé façon films de jeunes des années 80. Tout y est, la BO, les mob, la pudeur se cachant derrière l'acte.... Rebecca Zlotowski, même génération que moi, a une patte que j'adore, une élégance dans la recherche de soi, la révolte, qui m'a rendu totalement nostalgique. Je suis vraiment fan et j'ai hâte de suivre son parcours. Le casting est parfait. J'aime particulièrement le côté loubard d'Agathe Schlencker. Je suis un peu déçue des détours pris ici et là (l'histoire d'Abigaïl, le repas, la fin), des parenthèses tuant parfois ce puissant laisser-aller.
Je comprends bien les intentions et ce qu'on veut faire passer : Prudence veut se rapprocher d'une bande motards épris de liberté pour tromper sa solitude, une certaine forme d'abandon. Et c'est pour le coup impeccablement transmis. Le problème c'est que si Prudence s'ennuie dans sa vie et est très désoeuvrée, je me suis retrouvé à m'ennuyer autant qu'elle devant le film pourtant court (1h20). Après c'est peut-être aussi une question de moment, c'est peut-être pas le meilleur film à regarder à 4h00 du mat'. Léa Seydoux interprète avec beaucoup de justesse la dérive de cette adolescente et toute la distribution est au diapason mais je n'ai pas accroché (bien qu'à 4h00 du mat' je ne me sois quand même pas endormi devant) surtout les dernières minutes qui m'ont un peu embrumé...