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    Belle Épine
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    92 critiques spectateurs

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    fasskinder
    fasskinder

    27 abonnés 304 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 1 décembre 2010
    Vide. Un autre film vide sur la jeunesse.... très ennuyeux dès les premieres scènes... pourquoi produire ces films ? on sait pas trop... dommage pour le cinéma français qui, à part 2-3 réalisateurs confirmés, ne voit pas un rajeunissement porteur d'espoir !
    Uncertainregard
    Uncertainregard

    112 abonnés 1 285 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 7 mai 2011
    La réalisation est soignée, précise sinon simple drame urbain qui aurait mérité un peu plus de profondeur et de coup de théâtre...
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 3 juillet 2011
    Joli titre qui pique la curiosité, néanmoins, Belle épine bénéficie d'une actrice principale talentueuse et d'une fin atypique, mais s'endort sur lui-même: à force de ne rien dire on ne dit plus rien ou si peu... Les affres de l'adolescence, le deuil... C'est sobre mais vide.
    traversay1
    traversay1

    3 560 abonnés 4 859 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 16 novembre 2010
    Belle épine : beau titre pour premier long-métrage désastreux. Comment avoir de l'indulgence pour ce brouillon de film qui ressasse des thèmes mille fois vus ailleurs, mis en scène à la truelle, éclairé à la bougie défaillante et monté en dépit du bon sens ? Un seul qualificatif : sinistre. Un autre ? Opaque.
    Prudence, jouée par une Léa Seydoux boudeuse jusqu'au bout des ongles (elle sourit une fois dans le film, très bon moment) vient de perdre sa mère. Son père est absent, sa soeur ne se montre guère, bref elle est solitaire et s'ennuie un peu (nous aussi, qu'elle se rassure). Elle pique dans les magasins, traîne avec des motards que jamais, couche mollement avec un type sans intérêt, marche sous la pluie... et, surtout, elle boude. Voilà, c'est à peu près tout. Les dialogues sont assez souvent inaudibles et quand ils ne le sont pas, on le regrette.
    Certains critiques citent Pialat. Hallucinant. On est plus proche de l'esthétique d'un téléfilm des années 80. Seule bonne nouvelle : ce brouet ne dure qu'une heure 20. Une évidence : sitôt vu, il est déjà oublié. On parle d'autre chose ?
    patior
    patior

    23 abonnés 71 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 15 novembre 2010
    Vide de contenu. On s'ennuie dès les premiers instants dans cette vie post-adolescente à la recherche d'un on-ne-sais quoi qui ne surgit jamais.
    Est-ce l'amour ? Non. Un sevrage précoce ? Probablement pas.
    Filmé caméra à l'épaule, tremblante, même l'image malgré un aspect sombre intéressant ne vaut pas le déplacement.
    Encore un des mystères de la production Française.
    pierrepp
    pierrepp

    14 abonnés 301 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 16 novembre 2010
    un scénario un peu plus abouti aurait pu faire un film moins ennuyeux!
    Désolé pour la réalisatrice, mais certaines créations télévisuelles françaises sur Arte le vendredi soir sont bien plus meilleures que son film ciné .....
    vince113
    vince113

    39 abonnés 208 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 13 novembre 2010
    Énième chronique adolescente qui enchaîne tous les poncifs du genre, "Belle épine" frappe par son absolue vacuité. Pour aborder un sujet aussi éculé (l'éternel passage à l'âge adulte d'une ado vaguement rebelle et le travail du deuil), il faut avoir, soit quelque chose à dire sur la question (ici, on rejoue juste en moins bien des scènes mille fois vues ailleurs), soit, au moins, avoir un point de vue de mise en scène. Hors le cinéma est ici définitivement aux abonnés absents : Une caméra à l'épaule qui suit mollement les errances sans élan ni tension de son héroïne, une ridicule virée nocturne (à 50 km/h avec quelques néons d'usine derrière - grand moment de poésie) et une scène finale lourdement démonstrative. Encéphalogramme plat pour un film qui est censé parlé de désir, de fantasme et d'épreuve initiatique. Non seulement Rebecca Zlotowski ne trouve pas mieux à faire pour son premier film que d'enfiler les clichés, mais elle les filme sans désir, sans nécessité. C'est un peu inquiétant pour une jeune cinéaste et c'est mortellement ennuyeux pour le spectateur.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 13 novembre 2010
    Un film grisâtre qui fait l'économie d'un scénario en empilant des scènes déconnectées tournées caméra sur l'épaule (tellement plus chic, tellement plus vrai). Du coup, ça en devient extrêmement prétentieux, comme si la réalisatrice se faisait plaisir en s'apitoyant sur un sujet personnel sans l'ouvrir aux autres, en abusant d'ellipses et de non-dits. Il semblerait qu'écrire une histoire qui tienne la route sur 80 mn ou de développer des personnages sans passer par des symboles lamentables soit devenu chose impossible ou trop avilissante pour certains metteurs en scène. Ca doit plaire à certains critiques qui aiment plus disséquer l'approche que le film dans sa totalité, qui dans ce cas-là souffre cruellement d'un manque de structure et d'écriture (tant au niveau du scénario qu'à celui des dialogues). Les acteurs sont corrects ou du moins, font ce qu'ils peuvent avec le peu de matière qu'on leur a donnée mais ne sauvent pas le résultat final qui se veut mystérieux et suggestif mais qui s'avère n'être qu'un objet pénible, lourdingue et ayant pour objectif de satisfaire l'ego de ses créateurs.
    ferdinand75
    ferdinand75

    546 abonnés 3 865 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 mai 2020
    Un beau film, brut, sauvage, fort. Une jeune fille, Prudence, dont la mère vient de mourir va essayer d’en faire son deuil, par un parcours initiatique semé d’embuches. Elle semble dire à tout le monde qu’elle ne l’aimait pas, mais paraît bien désemparée. Elle vit seule dans l’appartement familial, sa sœur s’étant installé chez la famille d’un copain. Sa meilleure copine ne l’ intéresse plus et elle se rapproche d’un groupe de Bikers qui se retrouve aux Halles de Rungis. Elle veut appartenir à un groupe, s’y éblouir, s’ y perdre, découvrir autre chose. Son rapport aux garçons n’est pas clair, peu d’expérience , pas concluantes. Les discussions sur le sexe avec sa meilleure copine ( Demoustier ) , puis avec sa nouvelle amie bikeuse, l’aident à libérer sa parole. Elle couche avec des bickers mais n’arrive pas a en retirer grand chose, insatisfaite sentimentalement et sexuellement. Elle est finalement rejetée du milieu Biker , et comprendra enfin le sens de son parcours .La scène finale de retrouvailles avec sa mère est absolument formidable, émouvante, (tournée avec la vraie mère de Léa Seydoux). Elle lui avoue enfin son amour, et met son sonotone pour écouter le sirènes de banlieue, comme un hommage tardif, un geste d'amour filial . Le milieu de ces jeunes gens est très bien filmé ;avec un réalisme social rare, une vraie justesse dans la description de ces milieux populaires, un peu marginaux, de cette jeune fille paumée. Cela sonne juste. Une composition formidable de Léa Seydoux, probablement son meilleur film, car elle a du allé chercher au fond d’elle même ce personnage, loin des rôles de JF Bobos qu’on lui propose souvent . Elle est excellente , tragique , désespérée en quête d’amour. Un second rôle impeccable pour Anais Demoustier , comme d’habitude, et les scènes communes avec Seydoux ,sont un régal :deux des meilleures actrices de leur génération qui partagent de très belles répliques. La présence de Guillaume Gouix , jeune espoir français , toujours très bon , que l’on vient de revoir dans le très beau « Les anarchistes » . Beaucoup de scènes très poétiques, de nuit à Rungis, des belles couleurs , des noirs intenses,traversés par des flash rouges carmins, la description des petits métiers des Halles, l’arrivée au petit matin sur une plage normande, autant de très beaux moments de cinéma. Dans un style parfois néo expressionniste . Rebecca Zlotowski fait preuve d’un très grand talent, à la fois par son esthétisme original et par une direction d’acteur très maîtrisée.
    Patrick Braganti
    Patrick Braganti

    91 abonnés 406 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 novembre 2010
    Premier film tout à fait convaincant sur l'impossibilité du deuil, la douleur à (sur)vivre quand on est une adolescente de 17 ans laissée à elle-même (la sœur ainée qui a déserté les lieux et le père à l'étranger). Film douloureux qui fait de son héroïne un petit animal écorché aux griffes sorties en permanence, mais aussi incandescent et électrique, Belle Epine en 80 minutes séduit par sa rapidité, son intensité et sa capacité à enchaîner des scènes aux atmosphères différentes (scène du repas, virées nocturnes sur le circuit où s'affrontent les jeunes motards). Bénéficiant d'une belle lumière aussi bien de jour que de nuit, le film a également l'avantage d'une interprétation sans failles - on assiste en ce moment à une éclosion de jeunes comédiennes françaises épatantes.
    Christoblog
    Christoblog

    825 abonnés 1 673 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 novembre 2010
    Quel beau film. Bien sûr, les esprits chagrins diront qu'il ne s'y passe grand-chose. Ils chichiteront ici ou là, oubliant qu'il s'agit d'un premier film.

    C'est qu'ils n'auront pas vu cette extraordinaire sensibilité que tous les visages expriment, cette profondeur de la mise en scène discrète et sensuelle. Travail sur la profondeur de champ, sur le cadre, les couleurs, les mouvements de caméra, les premiers plans : on ne peut qu'être admiratif devant la maestria de la jeune réalisatrice, même si parfois ce brio tourne à la démonstration un peu vaine (le plan des motards se passant le pot d'échappement, à l'évidence inspiré de Rembrandt, la performance très théâtrale du cousin en juif rebelle).

    Partout la mort rôde. Dans un tatouage. Dans le coeur de Prudence. Dans une flaque d'huile. Dans une écharpe. Dans un fantôme. Partout la mort. L'amour n'est pas vraiment au rendez-vous. Alors quoi ? Le vent dans les cheveux, l'ivresse de la nuit et de la vitesse, le désir. Prudence éprouve durant tout le film ce que la dernière scène (le sonotone amplifie le son de la rue) montre de façon méthaporique : un éveil des sens, amplifié par le deuil.

    On souhaite un grand grand avenir à Rebecca Zlotowski qui signe ici un film d'une grande qualité qui confirme un certain renouveau du cinéma français(e). Les jeunes filles sont à la mode, filmées par des filles (ou pas) : La vie au ranch, Des filles en noir.
    D'autres critiques sur Christoblog : http://chris666.blogs.allocine.fr/
    wesleybodin
    wesleybodin

    1 109 abonnés 3 864 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 mai 2011
    Un drame à la réalisation efficace sur le errances de l'adolescence et cette quête perpétuelle de personnalité.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 19 janvier 2011
    Petite perle sur nos écrans. Belle Epine est un véritable voyage à travers l'adolescence frappée par le drame, au féminin et c'est tant mieux. Je n'ai pour en parler qu'un mélange d'oxymores plein d'affection : douceur dramatique, légèreté profonde, subtilité brute, etc.

    En voilà une bonne recette de film. Une précision touchante des dialogues, un jeu exactement dosé, une photo jonglant entre l'émotion et la sensualité tout en délicatesse, une thématique bouleversante et pas une touche de superflu pour mêler adroitement la légèreté de l'adolescence violemment tranchée par la profondeur du drame que vie Prudence. Un long métrage d'initiation peut-être, mais surtout de sensibilité. Rebecca Zlotowski nous prouve par A plus B qu'on peut faire un film sur l'adolescence, extrêmement féminin et sans tomber une seule seconde dans le cliché, le déjà vu ou le non sens. Elle nous attrape dès les premières secondes et ne nous lâche pas [...]
    Lire la suite : http://jediscajenedisrien.blogspot.com/2010/11/belle-epine-rebecca-zlotowski-2010.html
    chrisgai
    chrisgai

    1 abonné 11 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 novembre 2010
    Un film magnifique, d'une extrême sensibilité. Léa Seydoux est ahurissante. Elle détonne par son jeu et sa beauté. Merci à la réalisatrice pour ce beau bijou.
    ffred
    ffred

    1 692 abonnés 4 014 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 novembre 2010
    Premier film de Rebecca Zlotowski vu en avant première ce lundi en présence de la réalisatrice et des acteurs. Second film de la semaine sur les tourments adolescents après Des filles en noir. Cette fois ci c'est réussi. Voilà un très joli film sur le deuil et la solitude de certains ados, fait avec beaucoup de tact et de sensibilité. J'ai bien apprécié l'ambiance générale discrètement datée années 70. Ainsi que le scénario et la mise en scène déjà mature de Zlotowski au plus près de ses personnages et de ses acteurs. Contrairement à l'ami qui m'accompagnait et qui a passé son temps à regarder sa montre. Léa Seydoux est de tout les plans et c'est une bonne chose, elle crève l'écran. Une subtile interprétation qui en appelle d'autres et lui ouvre les bras d'une belle carrière. A ces côtés de jeunes acteurs plus ou moins connus. Anaîs Demoustier en cousine trop sérieuse, Agathe Schlencker en copine délurée, détonateur de l'histoire, Guillaume Gouix (le jeune SDF de Copacaba) excellent, Nicolas Maury très drôle, le toujours agréable Johan Libereau (Les témoins) et dans une seule mais magnifique scène le grand Carlo Brandt. Une très belle chronique sur les ravages du deuil au sein d'une famille ordinaire. A la fois très réaliste, intime et émouvante. Une belle réussite, un très beau premier film, une réalisatrice à suivre...
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