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    Jimmy Rivière
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    2,3
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    40 critiques spectateurs

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    floramon
    floramon

    86 abonnés 1 437 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 25 novembre 2011
    Tout simplement ennuyant , une perte de temps, il y a rien d'autre à ajouter
    Patricemarie
    Patricemarie

    43 abonnés 1 280 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 octobre 2011
    Il faut vraiment beaucoup aimer Béatrice Dalle pour voir ce film d'auteur atypique et vide.
    defleppard
    defleppard

    393 abonnés 3 393 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 11 septembre 2011
    Les gens du voyage . Histoire ennuyeuse comme la réalisation.
    loeil38
    loeil38

    19 abonnés 487 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 septembre 2011
    jimmy rivière c'est un film ou plus le film avance et plus on s'ennuie on a l'impression que le scénario tourne en rond certaine scène nous laisse de longue minute sans dialogue ce qui rend le film ennuyeux la plupart du casting et assez bon mais ce film sera vite oublié
    le clunisois
    le clunisois

    9 abonnés 214 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 juin 2011
    De la difficulté de choisir entre ce que l’on est et de ce que l’on veut paraître… un beau film sensible et bien interprété, qui mérite le détour.
    Christoblog
    Christoblog

    837 abonnés 1 686 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 24 mars 2011
    Jimmy Rivière est un film sympathique qu'on aimerait conseiller.

    D'abord, ce n'est pas tous les jours qu'un film prend pour cadre le monde des gens du voyage. De plus, son réalisateur Teddy Lussi-Modeste est lui-même issu de cette communauté.

    Ensuite l'acteur principal, Guillaume Gouix (vu dans l'excellent Poupoupidou), est vraiment étonnant, et il faudra suivre sa carrière attentivement. Enfin, le scénario est co-signé par Rebecca Zlotowski, qui a montré son savoir-faire dans son premier film : Belle épine.

    Malheureusement, le film ne décolle pas vraiment par la faute de plusieurs imperfections notables. Certains dialogues sont vraiment démonstratifs, voire carrément neuneu (la scène à la fenêtre, sorte de balcon à la Roméo et Juliette, cheap et ampoulé). La description de la communauté paraît bien artificielle (comparée à l'aspect hyper-réaliste de La BM du seigneur) et les scènes de boxe thaï sont ridicules (comparées aux combats de Fighter).

    A part Guillaume Gouix et le pasteur, le reste de la distribution est peu convaincante. Hafsia Herzi n'est pas à l'aise, elle peine décidément à confirmer. Quant à Béatrice Dalle en manager de boxe, elle est aussi crédible que ne le serait Vanessa Paradis en ouvrière spécialisée. La réalisation enfin est faite de trucs et astuces sans liens entre eux, elle tâtonne sans trouver son style.

    Au final, on ne sait pas trop quoi penser du film qui présente à la fois quelques promesses (la superbe scène d'ouverture par exemple), et des faiblesses très importantes. D'autres critiques sur Christoblog : http://chris666.blogs.allocine.fr/
    La_Mort_Dans_L_Oeil
    La_Mort_Dans_L_Oeil

    30 abonnés 248 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 mars 2011
    Serge Riaboukine, toujours aussi épatant. En dehors de la scène de confrontation inspirée entre José et Jimmy Rivière, les yeux rougis dans la lumière crue, on s'ennuie mollement. Même Béatrice Dalle est décevante. Eteinte... Si l'acteur principal était moche et ne se promenait pas en short de boxe et torse nu tout le long du film, les spectateurs auraient quittés la salle depuis belle lurette.... le monsieur manouche bien enrobé assis à quelques fauteuils de moi a ronflé pendant les 3/4 du film, ce qui nous a tous également beaucoup attendris et amusés :)
    Tumtumtree
    Tumtumtree

    175 abonnés 534 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 mars 2011
    Film prometteur tant la mise en scène et les acteurs sont intéressants. L'amorce du film est saisissante et inattendue. Le parcours du jeune homme devient malheureusement un peu confus ce qui nuit au film qui perd sa ligne directrice. Mais la complexité psychologique recherchée imposait sans doute cela.
    ALEJANDROJAVIER
    ALEJANDROJAVIER

    8 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 mars 2011
    Comme le suggère le titre, Jimmy Rivière est un portrait. Celui d’un jeune Gitan d’une vingtaine d’années, grandi au sein d’une communauté pentecôtiste, plein de fougue, nerveux, parfois trop. Le jour où il croise la route de Dieu et demande le baptême, il s’engage à renoncer aux deux passions de sa vie : la boxe et Sonia.
    Voilà un garçon solaire, physique, trop physique, qui pour vivre sa foi, il décrit avec simplicité sa rencontre avec Jésus, va dénier son corps habité de passions dévorantes, la boxe thaï, corps à corps violent, explosif, vif et nerveux et sa relation amoureuse, charnelle avec une jeune «gadjie».
    Il ya quelque chose de fascinant chez ce jeune gitan sans instruction, c’est qu’il ressent l’incompatibilité entre sa foi et ce qu’il vit dans son corps, un corps qui se bat, bouscule, frappe, un corps qui étreint, possède, s’abandonne. Jimmy ressent, sans forcément bien comprendre, les enjeux auxquels il souhaite pourtant se soumettre. Il relie l’amour de Jésus et la morale de l’Eglise.
    Attention, Jimmy n’est pas dans la mortification, ce n’est pas un pénitent masochiste. Il est tout à la joie de son baptême et irradie d’amour. De blanc vêtu, Jimmy est plongé dans l’eau d’un petit étang, devant l’ensemble des « voyageurs » dont il partage le quotidien. Il s’en relève ruisselant d’intentions pures et tente, jour après jour, de leur donner consistance. « Avant de rencontrer le Seigneur ma vie était mangée par des passions, Jésus nous libère de ce qui ne va pas dans notre vie. » Et Jimmy renonce à ses anciennes idoles, une violence à fleur de peau qu’il exprime et expulse dans la pratique assidue de la boxe et la passion sauvage, la fièvre dans le sang, qu’il vit avec Sonia.
    Ce n’est pas une leçon, c’est une vie. Il n’y a rien à comprendre, il n’y a qu’à suivre. Il faut le regarder tout à la joie de sa conversion : il donne envie de se laisser retourner pour goûter ou retrouver cette paix.
    Mais la vie est contrariante, les exigences et les désirs contradictoires. Jimmy se cherche, se dérobe aux attentes des uns et des autres et, sous les regards des proches et du groupe, se met en quête de sa vraie place. La douceur de la grâce des débuts peu à peu s’estompe laissant Jimmy au combat de chaque jour et à sa quête de soi et de foi. Tour à tour immature et impulsif ou étonnamment sensible et lucide, violent et doux, sensuel et sexuel, sombre et lumineux, Jimmy fait des allers-retours, entre promesses et renoncements, envie et dépit, action et passivité, et on se sent nous-mêmes pris au piège d'une voie trop connue où l’on retrouve nos hésitations. Bouleversant quand son corps exprime tout ce qui devrait être réprimé, Jimmy Rivière affronte les tentations. Son entraîneuse androgyne troublante et dominatrice lui propose le combat qu’il n’attendait plus, Sonia, omniprésente, perdue, amoureuse le poursuit jusque dans l’intimité masculine des vestiaires, et la recherche du plaisir solitaire plane sur ses nuits sans sommeil. Jimmy tiraillé, tête folle, grande gueule, ses grands yeux verts traversés de bouleversants éclats, se laisse aller, sa nervosité prenant le dessus. Il descend alors une pente raide où la chair dans ce qu’elle peut avoir de trivial et vulgaire côtoie la spiritualité, confuse porteuse d’espoirs et de doutes, parfois clinquante et simpliste, dans un mélange détonant. Il ment à tous, et à lui-même en premier, avant d'essayer de se repentir. Mais qui peut encore lui faire confiance et savoir qui il est ?
    La question est pour chacun de nous et elle rejoint des interrogations récurrentes. Pourquoi l’état de grâce cesse-t-il ? Pourquoi replongeons-nous chaque fois au même endroit ? Jimmy Rivière vient se couler dans la théorie « anthropogéologique ». On a beau déplacer le cours d’un fleuve, monter des digues, creuser des chenaux, il cherche toujours à regagner son lit, comme un retour au sillon le plus primitif de sa nature. Et le travail de la grâce et notre combat continuent.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 25 mars 2011
    Assez agréable surprise que ce premier film grâce avant tout à son acteur principal, non dénué de charisme et de présence, Guillaume Gouix.

    On suit donc la voie de la rédemption de Jimmy rivière, qui fait parti de cette communauté de gens de voyages qui vivent dans des caravanes, il renonce à ses deux passions pour se convertir au pentecôtisme. Le film démarre bien car on suit le héros dans ses contradictions et dans son univers qui est rarement aussi bien montré au cinéma.

    Dommage qu'à partir du moment où Jimmy tergiverse sur ce qu'il veut vraiment, le scénario patine et on s'ennuie, on peut même sortir du chemin sur lequel il nous a embarqué et on regarde le reste d'un seul oeil. Et ce ne sont pas les appartitions d'Hafsia herzi qui risque de sauver le film, au contraire, chacune de ses appartitions est une calamité, soit elle hurle, soit elle jure, soit elle baise...mais au fait dans quel film elle fait autre chose ?

    On retient quand même le personnage du pasteur illuminé, joué par Serge Riaboukine, un univers méconnu bien décrit, une révélation d'acteur, et un langage particulier. Pas mal quand même pour un premier film. Vivement le prochain.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 15 mars 2011
    les plus: un contexte intéressant et rarement vu, les pentecôtistes, la découverte d'un acteur formidable - Guillaume Gouix.
    les moins: l'histoire tourne en rond assez vite et du coup je me suis un peu ennuyé.
    Guiciné
    Guiciné

    167 abonnés 1 247 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 mars 2011
    Un film qui ne manque pas d'atouts, mais si l'histoire et les personnages sont plutôt attachants, je suis resté sur ma faim, comme si le film n'était pas totalement abouti. Reste une oeuvre fort sympathique qu'on n'aurait tort de se priver.
    gemini-hell
    gemini-hell

    27 abonnés 395 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 mars 2011
    Une reconversion bien difficile à assumer pour ce « Jimmy Rivière », qui n’arrive ni à se détacher de sa passion pour la boxe, ni à mettre un terme à sa relation amoureuse avec Sonia, qui est tenté de continuer à vivre en marge de sa communauté déjà elle-même en marge par rapport à notre société. Tourments très bien montrés et décrits dans ce premier long métrage, porté par un jeune acteur au physique et au charisme évidents et qui colle parfaitement à son personnage. Les rôles secondaires interprétés par Serge Riaboukine, Béatrice Dalle, Pamela Flores ainsi que le reste du casting contribuent à étoffer cette description d’une communauté rarement montrée au cinéma et dont le regard ne verse jamais dans la caricature ni dans le cliché. Il y a une belle émotion qui se dégage de ce film au ton lumineux et enrichi d’une couleur musicale très prenante. Seule ombre au tableau et de taille : l’interprétation catastrophique (mais peut-on vraiment évoquer la notion d’interprétation) de Hafsia Herzi, en roue libre complète, frôlant l’hystérie dans chacune de ses scènes (à l’exception de la dernière) et dont les dialogues sont pratiquement inaudibles. Je suis à la fois consterné et embarrassé pour elle.
    Lucille T.
    Lucille T.

    40 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 14 mars 2011
    Rivière, n, f : cours d'eau de moyenne importance qui se jette dans un fleuve ou dans une autre rivière.

    Il y a deux sortes de passions : les passions que nous avons et les passions qui nous ont. On triomphe quelques fois des premières.
    JCOSCAR
    JCOSCAR

    120 abonnés 1 100 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 mars 2011
    Jimmy Rivière ne manque pas de qualités surtout sur un sujet peu connu. Ce jeune gitan impulsif se convertit au pentecôtisme et renonce à ses deux passions : la boxe thaï et Sonia mais pas si simple... mais le film est une réussite.
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