Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Doucement, de manière éclatée, sans rien mâcher par des dialogues explicatifs, Lussi-Modeste nous fait découvrir le monde mouvementé de "Jimmy Rivière", son "Johnny Guitar" à lui (...).
Critikat.com
par Clément Graminiès
(...) Le réalisateur fait de son personnage principal un véritable corps-écran, à la fois rageur et maladroit, et doit beaucoup à l'implication de son acteur principal, Guillaume Gouix, belle révélation du film.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Arnaud Schwartz
(...) une sidérante réussite. (...) Impressionnant de présence physique, d'intensité et de justesse, Guillaume Gouix (...) signe une éclatante performance (...) le film propose un regard neuf, profond, sur un univers complexe...
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Jean-Luc Douin
(...) Un premier film original, stylisé, âpre, rythmé comme un chaos, entre lyrisme et mélancolie.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
TéléCinéObs
par Lucie Calet
Quelque chose touche et retient dans ce film où les femmes (...) incarnent la tentation et où l'énergie d'une mise en scène lumineuse et stylisée éclate dès le premier plan.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Pierre Murat
(...) on bascule dans le mélo - le vrai, le beau, celui qui, en révélant des destins fracassés, touche au coeur...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Excessif
par Elise Pinsson
La beauté fougueuse de Guillaume Gouix séduit, mais jusqu'à un certain point seulement. Le portrait fait de la communauté gitane (...) reste sûrement le plus intéressant dans ce long-métrage.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
L'Express
par Christophe Carrière
(...) Le film traîne plus en longueur qu'il n'approfondit les enjeux.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Positif
par Fabien Baumann
(...) le premier film de Teddy Lussi-Modeste oscille parfois entre le convenu (...) et le ridicule (...). Mais on y trouve des scènes formidables de vérité sur le monde gitan
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur le site StudioCinéLive
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Cahiers du Cinéma
par Isabelle Zribi
"Jimmy Rivière" ne manque pas de qualités, mais il semble contaminé par son sujet, indécis sur le chemin à prendre, la trajectoire à retenir, l'esthétique à inventer.
Le Figaroscope
par Isabelle Fargette, Emmanuèle Frois
Un premier long-métrage plein de maladresses.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Libération
par La Rédaction
Ce coup d'essai trempe donc ses racines dans une réflexion sur l'origine, mais on est encore trop près de l'os tant le héros et le cinéaste ne peuvent sortir de l'alternative clignotante dictée par la loi du clan et la loi de Dieu : marcher droit ou foncer dans le mur.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Metro
par Boris Tampigny
Le jeune réalisateur Teddy Lussi-Modeste hésite trop sur la forme à privilégier pour cette tranche de vie sociale, entre ralentis artistiques et longs plans-séquences.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Première
par Isabelle Danel
Malgré un univers inédit au cinéma, l'originalité du propos ne dure pas. La faute à un scénario trop binaire et à une mise en scène qui s'essouffle à suivre les tergiversations du héros.
La critique complète est disponible sur le site Première
Les Inrockuptibles
Doucement, de manière éclatée, sans rien mâcher par des dialogues explicatifs, Lussi-Modeste nous fait découvrir le monde mouvementé de "Jimmy Rivière", son "Johnny Guitar" à lui (...).
Critikat.com
(...) Le réalisateur fait de son personnage principal un véritable corps-écran, à la fois rageur et maladroit, et doit beaucoup à l'implication de son acteur principal, Guillaume Gouix, belle révélation du film.
La Croix
(...) une sidérante réussite. (...) Impressionnant de présence physique, d'intensité et de justesse, Guillaume Gouix (...) signe une éclatante performance (...) le film propose un regard neuf, profond, sur un univers complexe...
Le Monde
(...) Un premier film original, stylisé, âpre, rythmé comme un chaos, entre lyrisme et mélancolie.
TéléCinéObs
Quelque chose touche et retient dans ce film où les femmes (...) incarnent la tentation et où l'énergie d'une mise en scène lumineuse et stylisée éclate dès le premier plan.
Télérama
(...) on bascule dans le mélo - le vrai, le beau, celui qui, en révélant des destins fracassés, touche au coeur...
Excessif
La beauté fougueuse de Guillaume Gouix séduit, mais jusqu'à un certain point seulement. Le portrait fait de la communauté gitane (...) reste sûrement le plus intéressant dans ce long-métrage.
L'Express
(...) Le film traîne plus en longueur qu'il n'approfondit les enjeux.
Positif
(...) le premier film de Teddy Lussi-Modeste oscille parfois entre le convenu (...) et le ridicule (...). Mais on y trouve des scènes formidables de vérité sur le monde gitan
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site StudioCinéLive
Cahiers du Cinéma
"Jimmy Rivière" ne manque pas de qualités, mais il semble contaminé par son sujet, indécis sur le chemin à prendre, la trajectoire à retenir, l'esthétique à inventer.
Le Figaroscope
Un premier long-métrage plein de maladresses.
Libération
Ce coup d'essai trempe donc ses racines dans une réflexion sur l'origine, mais on est encore trop près de l'os tant le héros et le cinéaste ne peuvent sortir de l'alternative clignotante dictée par la loi du clan et la loi de Dieu : marcher droit ou foncer dans le mur.
Metro
Le jeune réalisateur Teddy Lussi-Modeste hésite trop sur la forme à privilégier pour cette tranche de vie sociale, entre ralentis artistiques et longs plans-séquences.
Première
Malgré un univers inédit au cinéma, l'originalité du propos ne dure pas. La faute à un scénario trop binaire et à une mise en scène qui s'essouffle à suivre les tergiversations du héros.