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Note moyenne
3,1
19 titres de presse
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CNews
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CinemaTeaser
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Le Dauphiné Libéré
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Le Parisien
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Le Point
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Ouest France
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Public
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Closer
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Ecran Large
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Franceinfo Culture
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Le Journal du Dimanche
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Le Monde
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Les Inrockuptibles
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Positif
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aVoir-aLire.com
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Charlie Hebdo
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Le Figaro
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Critikat.com
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Libération
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse
CNews
Après le revers critique essuyé avec "Batman v Superman : L’aube de la justice", l’univers cinématographique DC Comics reprend du poil de la bête avec ce film abouti et souvent drôle. La mise en scène de Patty Jenkins combine avec aisance les scènes intimes et d’action.
CinemaTeaser
Wonder Woman a beau ne pas tourner le dos à des idées tragiques et complexes – notamment sur le pouvoir mortifère de la croyance, le film propose un regard plus lumineux et coloré.
Le Dauphiné Libéré
La mythologie antique et la Guerre de 1914 associées et revisitées par la figure du superhéros, une femme ici en l’occurrence, qui préconise de faire l’amour et pas la guerre : ingénieux, oecuménique et spectaculaire.
Le Parisien
Renouvelant complètement le genre, "Wonder Woman" se démarque de tous les films de superhéros vus jusqu'à maintenant. D'abord parce que c'est une femme, et quelle femme ! En embauchant l'Israélienne Gal Gadot, la réalisatrice n'a pas fait que le pari d'un visage atypique et d'un corps de mannequin, son ancien métier.
Le Point
On s'attendait à un film pétri de clichés... Mais non ! Les aventures de l'amazone, adaptées pour la première fois au cinéma, évitent la plupart des écueils.
Ouest France
Mission accomplie : divertissant, héroïque et engageant, rempli de (belles) scènes d'action très modernes, "Wonder Woman" est un superfilm porté par une Gal Gadot inspirée (...).
Public
Le film est bourré de scènes d'action spectaculaires et d'humour.
Closer
Un prequel rafraîchissant.
Ecran Large
Une variation relativement efficace de motifs classiques.
Franceinfo Culture
Visuellement abouti et convaincant, "Wonder Woman" aurait gagné à être raccourci d’un quart d’heure sur ses 2h20, mais la merveille fonctionne.
Le Journal du Dimanche
On passe avec fluidité du péplum kitsch assumé au récit poignant de la France occupée pour finir avec un épilogue de nos jours qui réserve des surprises aux fans. Dans le rôle-titre, la sculpturale actrice israélienne Gal Gadot est vraiment crédible.
Le Monde
L’actrice Gal Gadot et la réalisatrice Patty Jenkins, apportent au genre une légèreté et une distanciation appréciables.
Les Inrockuptibles
C’est dans cette veine purement initiatique que le film captive à tel point que le reste (une flopée de séquences d’actions spectaculaires à grand renfort de ralentis hyperléchés), apparaît comme une garniture un peu vaine.
Positif
Au-delà du personnage bien interprété par la pimpante Gal Gadot, le film vaut pour ses qualités cinématographiques.
aVoir-aLire.com
En réduisant Wonder Woman à un pur pop-corn movie qui n’a d’intérêt que dans un cadre collectif de franchise, Warner en a forcément abîmé l’intensité psychologique. Le résultat n’est pas mauvais, mais dans la lignée du tout-venant de chez Marvel : c'est fun, drôle, très sympa. Rien d’autre.
Charlie Hebdo
C'est maigre (...).
Le Figaro
Gal Gadot est une Wonder Woman étincelante qui illumine tous les plans. Pourtant, l'enthousiasme disparaît progressivement. Même si quelques pointes d'humour viennent persiller l'histoire, si un brin de féminisme assumé relève la sauce, la superhéroïne a beau être extraordinaire, l'intrigue est trop banale, tout juste digne d'un sous-Captain America.
Critikat.com
Un film pour rien, aussitôt vu et aussitôt oublié
Libération
Intensément laid et brouillon dans ses moments d’action, inepte, voire insupportable, dans sa représentation de la Grande Guerre, c’est in fine dans son incompréhension de l’héroïsme (...) que le film achève de révéler son cœur secret : "Wonder Woman" ne parle de rien, ni de condition de la femme ni de mythologie, encore moins de civilisation.