Simon, un enfant autiste de 9 ans vient de déchiffrer un code secret créé par la NSA. Nicholas Kudrow (Alec Baldwin) va vouloir éliminer cet enfant, ce qui n'est pas au goût d'Art Jeffries (Bruce Willis), qui va tout faire pour protéger l'enfant. Le scénario tient la route, l'action est présente et les acteurs sont bons, surtout Bruce Willis... Il est même très intéressant de voir la relation entre Art Jeffries et Simon. C'est un bon film.
Bruce Willis, moi j’aime bien. Mais dans un film aussi décousu et improbable, moi je ne peux pas. Désolé, mais pour moi « Code Mercury » fait partie de ces produits hollywoodiens qui essayent de brasser tout ce qui est à la mode du moment pour essayer de capter l’attention et les biftons. Peut-être cela a-t-il marché à son époque, mais à posteriori, c’est juste irregardable… Du thriller de seconde zone… Vraiment pas très bon…
Bien que mêlant action et "sentiment", Code Mercury ne prend pas vraiment au tripe. On s'ennuie souvent et les allez et venu du duo sont assez fatiguant. Je suis déçu par ce film dont je croyais passé un bon moment Made In Bruce Willisn et ou finalement j'ai regardé un policier comme un autre ... Mais bon on passe quand meme 1h30 facilement a regarder le film.
Fin des années 90, Bruce Willis continue d'officier dans le cinéma d'action de façon désormais récurrente, enchainant les rôles de flic protecteur désabusé. Avec Code Mercury, il incarne un justicier protégeant un enfant autiste de tueurs envoyés par le gouvernement pour défendre un code secret décrypté fortuitement par le gamin. Un poil tiré par les cheveux mais tout de même assez réaliste dans l'ensemble, le long-métrage de Harold Becker est hélas et surtout inégal. Le début du film s'ouvre sur une bonne prise d'otages sanglante, s'enchaine avec cette traque de notre héros et du bambin mais s'enlise inutilement dans des longueurs rébarbatives ennuyeuses et sans intérêt. Jouant principalement sur la relation entre un flic solitaire et un enfant spécial, Code Mercury en oublie parfois qu'il s'agit aussi d'un thriller intelligent, critique de la prise de pouvoir de certaines agences secrètes du gouvernement (incarnée ici par un Alec Baldwin transparent). Ainsi, avec des baisses de rythme inappropriées, Code Mercury reste un thriller longuet mais honorable, aux scènes d'action parfois époustouflantes mais qui ne marquera pas les fans de Bruce Willis...
J'aime bien Bruce Willis,mais le duo enfant-adulte est déjà bien connu (sixième sens...)et le film ne sort pas des sentiers battus. Rien de particulièrement exaltant. Une assez bonne interprétation générale, mais le film est trop classique, trop lisse. Banal.
C'est un film parfait. C'est peut-être du déjà vu, mais le film vaut le coup pour plusieurs scènes magnifiquement réalisées et des acteurs extrêmement bons. Une fois de plus, Bruce Willis nous montre son potentiel d'acteur et je suis charmé par ce film psychologique.
Bon film d'action avec un Bruce Willis rodé par ce genre du rôle du héros anti conventionnel mais tellement juste. Ne sortira pas des classique mais se laisse facilment suivre.
Des salopards veulent éliminer un gamin ayant accidentellement décrypté un code top secret, heureusement Bruce Willis est là pour veiller au grain ! "Mercury Rising" est un thriller assez prévisible, peu original (beaucoup de déjà-vu), et aux personnages stéréo-typés. L'ensemble reste néanmoins divertissant, surtout grâce à Willis, pour qu'il s'agit d'un film mineur.
Avec une petite dizaine de films à son compteur, on ne peut pas dire que Harold Becker soit un réalisateur à succès, en témoigne sa filmographie. Son précédent film City Hall (1996) tout comme le suivant L'Intrus (2002) ont beau avoir un casting alléchant, la qualité est ailleurs. C’est un peu ce que l’on retrouve avec Code Mercury (1998). La distribution est intéressante : Bruce Willis & Alec Baldwin, mais niveau originalité, ce n’est pas trop son fort. C’est l’histoire d’un autiste de neuf ans qui parvient à décrypter un code « ultra secret » de la NSA , par la suite poursuivi par un tueur à gage afin d’être éliminé. Mais par chance, un flic du FBI plutôt tenace et persévérant, va tout faire pour aider le mioche, quitte à désobéir à ses supérieur (tiens, on a là une certaine originalité dans le scénario !). Vous l’aurez compris, on a ici un spitch de base, agrémenté de quelques petites idées déjà vues auparavant et le réalisateur vous pond un thriller psychologique aussi banal qu’un téléfilm. Mais on ne va pas en faire tout un plat, car reconnaissons le, Harold Becker parvient tout de même à nous tenir captivé et ce, jusqu’à la fin.
Prenez un enfant autiste, faites-en un petit savant capable de décrypter le code d'accès d'une puissante organisation secrète. Couplez-le avec un superflic... Vous obtenez un thriller qui n'a même pas l'avantage d'être efficace. Pire : la représentation de l'autisme frise le n'importe quoi. Bruce Willis est figé, sans vie. Quant à Alec Baldwin, il ressemble plus à un blouson noir des fifties qu'à un superespion démoniaque des temps modernes. Un ratage sur toute la ligne.