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    Douce Nuit, Sanglante Nuit 5
    Note moyenne
    1,9
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    5 critiques spectateurs

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    chrischambers86
    chrischambers86

    13 955 abonnés 12 478 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 décembre 2023
    La franchise « Silent Night, Deadly Night » a perdu l'esprit de Noël depuis le premier opus! Aujourd'hui, l'aficionado est toujours fâchè avec le Père Noël! En 1991, Martin Kitrosser prend la suite du spècialiste de l'horreur : Brian Yuzna! L'esprit y est, avec des jouets de partout! Le scènariste de "Friday the 13th" Part 3, 4, 5) conçoit ici une sèrie de F / X gore et transforme des jouets inoffensifs (robot, soldats de plomb, faux serpent...) en tueurs sanguinaires! On ne peut guère soutenir que Kitrosser retrouve la psychologie du tueur de l'original, mais on salue l'effort du cinèaste qui remet plus ou moins par son ambiance de fin d'annèe une saga sur les rails! Bon l'affrontement final n'èchappe pas toujours au ridicule, reste que ce cinquième volet (aux relents de S.F) rèserve une nuit du rèveillon moins pourrave que l'èpisode 2, 3 & 4! A noter la participation de Mickey Rooney en vieux vendeur de jouets...
    Shawn777
    Shawn777

    598 abonnés 3 488 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 4 décembre 2021
    Ce cinquième opus de cette saga nanardesque "Douce nuit, sanglante nuit", réalisé cette fois par Martin Kitrosser et sorti en 1995, est, sans surprise, plutôt mauvais. Enfin, on peut quand même noter qu'il est moins mauvais que le second et quatrième opus (je n'ai pas pu mettre la main sur le troisième épisode et j'ai plutôt apprécié le premier) qui étaient vraiment indigestes. Les films ne se suivant pas entre eux, leur seul point commun étant alors Noël, (quoique très mal exploité dans le quatrième film), on se retrouve alors ici avec une toute nouvelle histoire qui nous présente cette fois un fabriquant de jouets un peu taré qui réalise des jouets mortels qu'il envoie à droite, à gauche. Bon voilà, ce n'est pas bien original mais c'est surtout que l'histoire possède de nombreuses longueurs qui plombent complètement un rythme déjà pas très bon. Nous avons par exemple les deux très longues scènes de sexe, assez ridicules en plus car absolument pas réalistes (surtout lorsqu'on les voit dans un doublage français relativement douteux) qui auraient pu être écourtées de plusieurs minutes car elles n'apportent vraiment rien à l'intrigue ! Nanar oblige, on se retrouve également avec des scènes mal jouées, des répliques vraiment risibles et parfois incohérentes et des personnages, là aussi, mal écrits (notamment cette course poursuite ridicule dans le parking qui se termine par un baiser). Mais l'intérêt du film réside réellement dans son final, ou plutôt son twist, relativement prévisible (notamment à cause du prénom du fils du fabriquant) mais dans lequel les scénaristes se sont complètement lâchés ! Concernant les acteurs, nous retrouvons un Mickey Rooney qui, ironiquement, critiquait quelques années plus tôt le premier film pour perversion de Noël en gros, William Thorne et Jane Higginson dont les jeux sont donc approximatifs. "Douce nuit, sanglante nuit 5 : Les Jouets de la mort" est donc un film assez mauvais, sauf, bien-sûr, pour les amateurs de nanars ou même de la saga qui y trouveront alors leur compte !
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 351 abonnés 7 543 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 15 février 2021
    Comme cela était le cas avec Douce nuit, sanglante nuit 4 : L'Initiation (1990), avec ce 5ème volet, nous n’avons pas affaire à une suite mais bel et bien un énième film indépendant qui reprend juste le titre de la franchise. C’est aussi le dernier opus de la saga, avant qu’un remake ne voit le jour en 2012.

    Comme avec le 4ème volet (où il était question d’une secte féministe), oubliez le Père Noël sadique des trois premiers opus, cette fois-ci, comme son titre l’indique, nous avons affaire à des jouets maléfiques. Brian Yuzna délaisse la réalisation au profit du scénario et confit les manettes à l’inconnu Martin Kitrosser.

    Sans réelle surprise, on se retrouve donc face à des jouets démoniaques qui prennent vie et tuent tout ce qui leur tombe sous la main. On vous laisse imaginer ce que cela peut donner de voir une boule de Noël étrangler un père de famille, une paire de roller incontrôlable, une main baladeuse, un mille-pattes et toute une ribambelle de jouets. C’est Toy Story version trash où les petits soldats de plomb viennent zigouiller leurs victimes. On est à peu de chose près face à une version low-cost de Jouets démoniaques (1992) de Charles Band ou Small Soldiers (1998) de Joe Dante. Sauf que la comparaison s’arrête là, car la mise en scène peu inspirée et des acteurs qui cabotinent viennent plomber l’ensemble. Reste le plaisir (coupable) d’y retrouver Mickey Rooney qui incarne un fabricant de jouets appelé "Joe Petto" (clin d’œil plus qu’évident à Geppetto dans Pinocchio).

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    raphaelK
    raphaelK

    16 abonnés 401 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 décembre 2017
    malgré son concept qui pouvait donner un film sympathique à défaut d’être original ou de casser la baraque, Douce Nuit Sanglante Nuit 5 se fait surtout un film long, et lent.Triste fin pour la saga, mais bon, de toute façon, ça n’a jamais volé haut.
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 441 abonnés 4 465 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 20 janvier 2015
    Après l’épisode 4, logiquement voilà l’épisode 5 de la saga Douce nuit, sanglante nuit, épisode ma foi faible, qui accuse encore une baisse de niveau par rapport au précédent film qui avait su remonter un peu la pente.
    Niveau acteur c’est couci-couça. Il y a quelques prestations honorables, notamment celle de Jane Higginson, et celle de William Thorne, qui joue le gamin, est plutôt correct. Après il y a aussi de francs ratés dans les seconds rôles, notamment chez certaines victimes (le couple qui fait l’amour c’est quelque chose !). On notera la permanence de toute la famille Yuzna, avec Conan Yuzna toujours présents, mais aussi dans de petits rôles de Zoe et Cathy Yuzna, et on notera la présence, en guest-star du toujours sympathique Mickey Rooney. Honnêtement ce n’est pas que j’ai trouvé les acteurs vraiment mauvais dans l’ensemble, mais les rôles ont clairement moins de relief que dans le quatrième film, et cela fait que c’est moins agréable.
    Le scénario est peu réussi. L’idée des jouets tueurs est louable, et aurait pu fonctionner, mais le film met très peu en valeur cet aspect des choses. Hormis la conclusion, solide, le film s’avère plutôt longuet, bavard, et les meurtres manquent singulièrement de relief. Douce nuit, sanglante nuit 5 s’avère assez futile, il se laisse regarder sans trop de déplaisir (toujours moins que le 2), mais j’ai eu la sensation d’assister à une sorte de sous Puppet Master, un film un peu radin, qui promet mont et merveille, et ne remplit pas vraiment le contrat. Les habitués des productions Nu Image comprendront aisément ce sentiment en assistant à ce métrage.
    La réalisation est clairement inférieure au quatrième film. Yuzna cède la place et cela se sent. Les attaques des jouets sont globalement peu réussies, hormis, à mon sens celle dans la voiture. Les autres sont pas bien mise en scène, c’est brouillon, et de réellement réussi je ne retiendrai que le final, qui en effet ne manque pas d’allure. Pour le reste le métrage est très pépère, et cela se transmet aussi à l’ambiance, franchement moyenne. Les décors ne passent pas bien, ils font misérables, la photographie manque complétement de saveur, et le minimalisme des effets horrifiques ne vient absolument pas pimenter un métrage d’une grande fadeur visuelle. Seule la musique, qui retrouve une tonalité un peu festive, vient donner un peu d’ambiance au métrage, qui est un beau ratage visuel.
    En clair Douce nuit, sanglante nuit 5 perd tout ce qui avait fait l’intérêt du 4. De l’ambiance, de la personnalité, ce qui avait réussi, en s’éloignant complétement cependant du sujet originel, à relancer un peu l’intérêt de la saga. Malgré le sujet prometteur, ce cinquième film passe à côté, par trop de consensualité, et par des maladresses apparentes trop sensibles. Dommage 1.5.
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