Avis : Kaboom - Page 4

Une vraie daube. Du cul et des tétés sans queue ni tête. Avec un scénario de film de boules. Des effets spéciaux complétement datés. On n'est pas fier quand on a vu Kaboom. Soyez fort et résistez à l'appel de la médiocrité !

What the f*ck?!!! Trois mots magnifiques qui sortent de ma bouche après avoir vu ce tant acclamé "Kaboom". Il faut dire que Gregg Araki est un génie. Mélanger le porno gay, le film sentimental, le teen-movie, le film fantastique puis pour terminer (ouf!) le film catastrophe fallait y penser. Mouais... Outre le côté technique toujours très maîtrisé chez Araki, le scénario est mauvais et le mélange de genre rend l'ensemble plutôt indigeste tant notre petit (grand!) génie peine à amorcer ne serais-ce qu'une once de cohérence à l'ensemble. Le film démarre comme un "American Pie" ou autre comédie du genre en présentant des ados accro au sexe et expérimentant plein de trucs dans le domaine sexuel (waouh trop la classe!). On ne sais pas trop ce que "génie" Araki a voulu insinuer mais autant dire que le campus dans lequel sont nos héros ressemble plus à une maison close qu'à un endroit pour faire ses études. Dans cet endroit, tout le monde couche avec tout le monde, filles/garçons, filles/filles, garçons/garçons, etc... Mais c'est formidable! Il fallait y penser pour foutre un uppercut au monde sexuel restreint du spectateur qui ici y verrait une sorte de décomplexion de la sexualité chez les jeunes. Sauf qu'Araki le génie (décidément j'insiste sur ce terme) ne prend en compte aucun réalisme, aucune subtilité (et à mon avis il ne le cherchait pas...). Enfin bon, pendant soixante minutes sur quatre-vingt dix, le schéma se limite à la ba*se, point final. Il faudra attendre soixante longues (très très très très longues) minutes pour que le film prenne un quelconque intérêt. L'arc scénaristique spoiler: de la secte qui tue et qui fait des choses très très méchantes
qui était l'élément le plus intéressant de cette merveilleuse fable adolescente, se voit être baclée, traitée illico presto en trente bonnes minutes, qui plus est sans queue (pas de mauvais jeu de mot hein...) ni tête. Puis on termine le film par spoiler: l'explosion de la planète Terre en mille morceau suite à des têtes nucléaires activés par la méchante secte conspiratrice (brrrrr!!!).
Et paf! Gregg Araki nous a pondu son nouveau chef d'oeuvre, avec une grande originalité (ça il faut être franc, pour être original c'est original), du bizzaroïde, de la connerie à n'en plus finir, résumé, c'est formidable... Formidablement mal foutu mais quelque part reflet d'une adolescence sans limite dans le domaine de l'extrême (par là j'entends drogue, alcool, etc...), à croire que pour avoir ces brillantes idées, Araki use sans modération de ces produits. Pour les délires cinématographiques, je suis complètement pour, encore faut-il que le délire soit un minimum cohérent dans ses propos aussi fou soit-ils. Mais pour "Kaboom", il n'y a rien à sauver si ce n'est le charmant minois de Roxane Mesquida extrêmement piquante en...bon, ok, je m'égare un peu là... Bon bref, tout ça pour dire que "Kaboom" ne manque pas d'idées, bonnes comme mauvaises, mais que malheureusement le p'tit Gregg a préféré s'attarder sur ses mauvaises idées en baclant tel un réalisateur de série Z, ses bonnes idées. Un beau gachis...

Il fallait un navet, une catastrophe, ce sera Kaboom. Scénario inexistant, acteurs pathétiques, réalisation déjantée à un point tel qu’il faut être dans le même état que les personnages pour accrocher au film, BO bana,..l. Bref, rien ici ne semble sauver de près ou de loin ce cinéma adolescent dont la bande annonce ne laissait pas présager un tel naufrage... Fuyez !

Nul. Araki a raté son coup. Ou alors il faut être fan acharné pour y comprendre quelque chose, et fan, je ne le suis pas. Mise en scène très free, mais en roue libre, c’est le danger du free style, montage style feuilleton pour ados idiots, or ils ne le sont pas tous à ce point, de belles couleurs, c’est flashy, mais très grosso modo, très pop m’as-tu-vu ? Ce genre de film sans scénario, ça tient par le style au moins, ou un univers, là il ne se force pas du tout. Acteurs ou plutôt apprentis acteurs pour la plupart, et ça se voit, quel est l’intérêt, si c’était drôle on aurait vu l’intérêt de ne pas jouer, là ce n’est même pas drôle. Il ressort ces vieux trucs, dialogues de sourds et ambigüité sexuelle à tous les étages, résultat superficiel, avec un fond très « sauvez-moi tout ça », donc une bonne vieille théorie du complot pour plomber ce qui n’avait pas besoin de ça, et aurait pu rester un bon trip. Là, ce n’est pas un bon trip. Désolé. Comme je disais, nul, et sélectionné à Cannes, en plus, comme quoi…

La moitié d'une étoile car je ne peux pas mettre moins.Le film est ridicule, imbécile, et sans consistance .On mélange tout et on recrache cette bouillie mi erotique, mi fantastisque sur fond de fin du monde et de secte "du nouvel ordre".
Le personnage principal à la fois bi sexuel qui cotoie une amie qui couche avec une sorcière et j'en passe.C'est un "gloubi bulga" cinématographique.Si le réalisateur voulait faire un porno il ne s'y serait pas mieux pris.A fuir.....

Film tordu. Très tordu. TROP TORDU.
Sans aucun vrai fil conducteur , on sent la fin baclée.
Dommage , l'idée de base aurait pu amener a un projet sympa.

film plutot délirant en sa première partie (bisexualité de presque tous les personnages, images superbes et histoire qui rappellerait un film de Kelly) hélas, le dernier tiers ne convainc pas...mais ne crachons pas dans la coupe vu le niveau actuel du cinéma

Ce film est tellement original... du jamais vu. Innovant, effrayant, drôle, intelligent, les mots me manquent pour qualifier ce chef d'oeuvre du cinéma.

Que dire ? C'est du grand n'importe quoi tout du long, le film retrace la vie d'étudiants. Vie qui apparemment n'est focalisée que sur le sexe. Kaboom met en scène spoiler: de la "magie", une secte, des meurtres
qui n'ont aucune incohérence. Bref, même si on ne fait rien, vaut mieux s'ennuyer que de regarder ce film.

J'ai trouvé ce film franchement mauvais. Vaguement eu l'impression de regarder une sitcom américaine. La sexualité est certes réjouissante mais la pseudo intrigue complètement téléphonée et peu intéressante. La fin est à la limite du grotesque, comme si le réalisateur s'était dit en dernière minute qu'il fallait renouer toutes les ficelles de l'intrigue avant de conclure. La musique est sympa et les jeunes acteurs tout à fait plaisant à l'oeil. Les critiques dithyrambiques dans la presse me laissent rêveuses ...

J'avais vu Smiley face, j’avais bien aimer, c’était sympas, malgrès le manque de moyen évident, le film était potable, mais la.. l'affiche avait l'aire de donner un film plus rechercher, et j'aime beaucoup Juno Temple (après l'avoir vu dans Mr Nobody) je me suis lancer.. les acteurs sont mauvais, le scénario est intéressant, mais mal porter, pas assez creuser, le film est coloré, ça donne une dimension, au début intemporel mais le film se transforme en une espèce de soucoupe volante bizarroïde qui nous trimbale dans un terrain vague pour en arriver a une explosion nucléaire de la terre en passant par le sexe, le sexe, et le sexe, sans presque pourquoi ni comment. Bref, au final le film ne va nul part. je suis largement, déçu, j'ai l'impression d'avoir perdu mon temps. A voir peut être si vous êtes sous acide, sinon, passez votre chemin.

Vraiment inintéressant! Aucun scénario, une aucune histoire...
Arrêter avec les clichés de gay (lesbiennes et homosexuel). A éviter

Un grand délire à mi chemin entre comédie, horreur, science fiction, thriller, etc.
difficile à classer mais assez détendant.

Mélange surprenant et punk de pop culture, de très bons acteurs, un scénario surprenant que je vous laisse découvrir, une réalisation très bonne. La musique est bonne, voir par exemple The Horrors ''Mirrors image'', Helen Stellar, Interpol plus the bitter end de Placebo, etc...

Un ovni sans doute, et ce serait un compliment si ce film n'était pas d'une pénible vulgarité, dénué d'intérêt et de sens. Je ne peux même pas parler de la fin que certains ont appréciée car j'étais déjà dehors !