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    The Orphan Killer
    Note moyenne
    2,2
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    8 critiques spectateurs

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    Vinz1
    Vinz1

    175 abonnés 2 425 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 février 2015
    Assez bons effets gore certes, mais malheureusement vite oubliés car l'ennui, dû aux gros problèmes de rythme et de musique Metal à outrance, aura tôt fait de pointer son nez et de vous assommer.
    FaRem
    FaRem

    8 608 abonnés 9 508 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 8 septembre 2014
    Un film sans intérêt qui essaye tant bien que mal de nous choquer ça peut être le cas pour ceux qui n'ont pas l'habitude avec ce genre de violence mais c'est pas mon cas. Le seul mérite de ce film est d'avoir des effets gores vraiment très bons mais c'est loin d'être suffisant sur la durée car autant la première partie est pas si mal autant la seconde est d'une nullité sans nom, le scénario si on peut appeler ça un scénario est vraiment bas de gamme il ne se passe rien franchement on s'ennuie vraiment. Dans un slasher c'est important de créer un tueur charismatique c'est pas pour rien que certaines saga sont devenues des classiques du cinéma comme les Halloween, Vendredi 13 ect sauf qu'ici le tueur malgré son apparence qui est pas mal est tout sauf charismatique.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 16 mars 2014
    0/20
    Après avoir été témoins du massacre de leurs parents, Audrey et Marcus Miller sont envoyés dans un foyer d’accueil destiné aux orphelins, tenu par des bonnes sœurs. Puis, Audrey se fait adopter par un détective à moustaches, tandis que son frère Marcus (interprété par Spencer List, que l’on avait découvert dans le film d’horreur BEREAVEMENT, où celui-ci tenait le rôle d’un enfant tout aussi perturbé) qui se montre extrêmement violent, est contraint de rester cloîtré dans cette institution et de porte par l’ordre des nonnes (on n’y croit pas du tout), un masque ultra glauque, ayant l’air d’avoir appartenu à un membre du groupe Slipknot. Même si, pour une raison injustifiée, Marcus a frappé à plusieurs reprises un petit garçon de son âge à l’aide d’une batte de baseball, les bonnes sœurs n’avaient pas à lui mettre ce masque qui intensifie le déséquilibre mental chez l’enfant et l’incite à s’isoler davantage. C’est une grande maladresse de leur part.
    Après nous avoir exposé le passé d’Audrey et de Marcus, le réalisateur Matt Farnsworth nous projette des années plus tard. Deux infirmiers tentent d’apprivoiser Marcus (incarné par David Backus) qui désormais, est un adulte aux cheveux long comme Tarzan et à l’allure d’un métaleux. Chez Marcus, la haine et la démence se sont amplifiées au fil des années. Il était bien sure prévisible, que les deux infirmiers périssent entre les mains du grand psychopathe. Après avoir planté une fourchette dans la gorge des deux petits messieurs, Marcus se tient prêt à retrouver sa sœur en ne laissant quiconque se mettre en travers de son chemin.
    Audrey (la sœur de Marcus, interprétée par Diane Foster qui est assez convaincante), est une jeune femme blonde sans aucune méchanceté et qui n’est pas atteinte des troubles psychologiques de son frère. Vêtue d’une mini jupe, de collants en résille et chaussée de talon hauts, Audrey attire l’œil et a l’air d’une prostituée. Son accoutrement n’est pas du tout approprié au boulot qu’elle pratique dans une institution religieuse. Personne ne lui fait remarquer cette aberration, ce qui est fort invraisemblable. De plus, la demoiselle ne porte pas de culotte (on pourra le découvrir lorsqu’elle se déshabille dans les vestiaires, dans l’intention de prendre une douche). Le réalisateur se rince l’œil en filmant une scène totalement inutile où Audrey est en train de se laver (trop longuement d’ailleurs, bonjour l’économie d’eau).

    THE ORPHAN KILLER enchaîne les séquences gores outrancières et vulgaires (ce qui nous avons détesté) :

    1) Une nonne est en train de pratiquer une fellation à un homme dans l’enceinte de l’église où celui-ci lui lance : « C’est Dieu qui t’a appris à sucer comme ça ? ». Fort heureusement, la tête de cet idiot finira écrabouillée par la Rangers de Marcus.

    2) Un type est aux toilettes et s’apprête à feuilleter un magazine porno, pendant qu’il essaye de pondre un cake. Les lumières de la pièce se mettent à clignoter et le type commence à s’inquiéter. Il relève donc ses fesses de la cuvette et se dirige vers l’interrupteur pour essayer d’arranger les choses (toujours le froc baissé). Le son d’une guitare électrique retentit (chose que n’entend pas le personnage mais seulement le spectateur) afin d’annoncer l’arrivée du tueur. Le type va vite regretter sa petite escapade aux WC et de ne pas s’être retenu, puisqu’il va recevoir le couteau du tueur dans les yeux pour ensuite se les faire arracher. Puis, Marcus (l’assassin) coupe ensuite la tête du bonhomme, avant de la balancer brutalement dans le trou des toilettes.

    3) Un prêtre est poignardé à de nombreuses reprises (Marcus tourne son couteau dans la plaie bien lentement et nous avons appris grâce au film VOLTE FACE de John Woo, que lorsqu’un poignard commet cette trajectoire, la plaie ne se referme pas) et malgré cela, celui-ci est toujours en vie. Ce défaut permet au réalisateur de livrer de nouveau une scène répugnante : le prêtre se fait ensuite couper le bras à la scie et Marcus boit le sang qui s’écoule de son bras.
    Le film s’achève de manière grotesque et débile :
    Le frère et la sœur se retrouvent face à face sur le toit d’un immeuble. Blessée et en sous-vêtements, Audrey est une victime vulnérable pour le tueur. Avant de lui enfoncer sa hache dans la tête, Marcus dit à Audrey : « Tu diras bonjour à papa et à maman ». Le petit ami d’Audrey (le policier parti à la recherche de sa compagne) qui s’était déjà pris quelques coups de couteau par le tueur (et qui aurait du mourir suite à de telles blessures) arrive à temps pour la sauver en tirant sur Marcus à coups de balles. Le tueur tombe alors de l’immeuble. Suite à cela, le chant d’une enfant apparait : « The Orphan Killer, The Orphan Killer, il a un père, il a une mère. Il les a regardés se vider de leur sang. » Des années plus tard, Audrey, encore traumatisée par ce qu’elle a vécu, vient à confondre le facteur avec son frère Marcus. Elle reçoit un colis dans lequel se trouve un petit jouet en forme de tête de mort. FIN.

    Sans oublier la bande son du film qui est horriblement désagréable, étant du métal pur et dur.

    Certes, Marcus est assez effrayant et ne laisse pas indifférent (son masque laissant apparaitre son regard haineux et vicieux terrifie et sa voix grave nous glace le sang), mais ce n’est pas assez pour faire de THE ORPHAN KILLER, un film recommandable.

    THE ORPHAN KILLER est un film de bourrin, mêlant le sexe à la barbarie. Une merde dans toute sa splendeur.

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    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 31 janvier 2013
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    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 23 juillet 2012
    Trés gore et cruel,mais trés bien joué avec ces acteurs inconnus qui se débrouillent mieux que d'autres connus.Les scènes gores sont réalistes et le générique de fin est une petite bande dessinée.La musique métal est plutot bonne.
    C.Dervaux
    C.Dervaux

    136 abonnés 1 767 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 9 juillet 2012
    Les productions d'horreur décousues n'ayant aucun intérêt visuel semble se multiplier avec le temps. Si l'on met de côté les quelques bonnes surprises de la décennie (La Colline à des Yeux, en passant par la renaissance de Jason Voorhees et Michael Mayers), les navets n'ont cessé de pourrir littéralement la vision du cinéma d'épouvante des passionnés du genre. Matt Farnsworth signe donc avec The Orphan Killers une énième daube dont l'utilité ne peut que très clairement se remettre en question : a-t-il essayé de passer un message à travers son film gore totalement incongru ? La réponse peine à se faire savoir.
    Toutou to you
    Toutou to you

    35 abonnés 599 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 janvier 2013
    Seconde réalisation de Matt Farnsworth, The Orphan Killer a tout de la production haïssable. Même les plus passionnés ont du mal avec elle. Eh bien pas moi ! Slasher d'une violence graphique extrême, avec un scénario aussi léger qu'un string léopard et une réalisation pas toujours accommodante, ce film est pour moi une série b de belle tenue. Audrey Miller est une jeune femme qui travaille dans une église, aussi sexy qu'une danseuse du Lido, la belle a un frère meurtrier qui la recherche. Et ce n'est pas pour lui dire je t'aime...
    Le flashforward qui ouvre le film, avec un son de metalcore tonitruant, définit bien l'ambiance globale de ce long métrage. The Orphan Killer ne sera pas un slasher original, il ne sera pas toujours cohérent. De plus, son montage pourra être taxé de faiblard par instants, et puis cette façon de filmer avec des angles étranges, ça peut démoraliser voire énerver. So what ? Matt Farsworth est un fan et travaille comme il en a envie. Avec son film, il nous crie à la face : 'Je fais ce que je veux, et je vous emmerde'. Ok mon Matty, no problemo, moi je surkiffe alors emmerde-moi encore parce que j'adore ! Le mec ne se dégonfle jamais, il va au bout du bout. Il a raison. The Orphan Killer, pour faire saliver ceux qui voient dans la violence au cinéma les causes de la brutalité de notre société, c'est pêle-mêle : des meurtres au couteau ou au fil barbelé, des coups de machette en veux-tu en voilà, une décapitation ou encore une séparation de membres (liste non-exhaustive). Faut vraiment être taré pour aimer ce genre de film. Ouais, mais on apprécie aussi la musique classique... si le film baisse de rythme avec des flashbacks pas si inutiles et dans son dernier tiers, il reste plein d'énergie. Mention Que La nature Est Belle avec la scène de la douche, Diane Foster, ton postérieur, magnifique. Beaucoup d'hémoglobine, ambiance vintage, je dis oui ! 3,5/5
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 30 août 2011
    Au secour fuyait se navet filmer au Nokia 3310 . L image est moche, le jeu de rôle des acteurs minables, effet spéciaux Fait maison, bref une honte
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