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    Meurtre au 43ème étage
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    27 critiques spectateurs

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    lilybelle91
    lilybelle91

    64 abonnés 914 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 mai 2012
    A l'instar de Brian de Palma John Carpenter notre propose pour ses débuts derrière la caméra une variation fainéante et sans grande originalité de "Fenêtre sur cours"..., juste avant ses premiers chefs d’œuvres, devenu des classiques du fantastique : "Halloween" et "New york 1997" !
    GodMonsters
    GodMonsters

    1 303 abonnés 2 645 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 janvier 2012
    Un petit thriller sympa (surtout pour un téléfilm) ! John Carpenter a fait bien mieux, mais bien pire aussi... 'Meurtres au 43e étage ('Someone’s watching me' en VO) est assez efficace, avec une construction très "hitchcokienne" et des références cinématographiques (j'ai repéré des références au cinéma d'Alfred Hitchcock, mais également de Brian De Palma avec le thème du voyeurisme et cette intrusion dans l'univers d'un maniac psychopathe). Les acteurs principaux sont convaincants, la réalisation est soignée et réfléchie pour faire monter l'angoisse; de plus, il y a quelques scènes de suspens efficaces qui vous resteront dans la tête après le visionnage ! Dommage que l'intrigue soit aussi molle vers la moitié du film, avec un peu plus de rythme ce long-métrage aurait été certainement bien meilleur qu'il l'est déjà !
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 9 janvier 2012
    Meurtres au 43e étage (de son vrai nom original : Someone’s watching me ! – Quelqu’un me regarde-), téléfilm de 1978 réalisé par le grand John Carpenter (Fog, Halloween la nuit des masques, Christine, the Thing…) se voit maintenant exhumer en DVD. Quel chance pour nos adeptes des films cultes, car ce film en fait partie ! En effet, jamais Carpenter n’aura voulut se rapprocher aussi près d’un film Hitchcockien. L’histoire de ce téléfilm est simple, Leigh, jeune femme fraichement débarqué à Los Angeles, se fait harceler par un homme qui l’écoute et l’observe en permanence depuis sa fenêtre, mais parmi les milliers de fenêtre de l’immeuble adjacent, qui se cache vraiment derrière ce voyeur ? Du fait de son style et ses volontés assez spéciales comme avec quelques films comme New-York 1997, Assault ou encore Invasion Los Angeles, Carpenter et son gros tempérament a toujours écoper de petits budgets vraiment restreint pour ses films, à l’image de celui-ci imposé pour la télévision. Il rédigea lui-même les grandes lignes de cette histoire basé sur le voyeurisme en y faisant référence aux œuvres hitchcockiennes (principalement inspiré de fenêtre sur cour et sueurs froides avec quelques plans s’essayant au travelling arrière doublé du zoom avant inventé par ce même Monsieur Hitchcock sur le tournage de ce même film), après quelques résistances, Carpenter pourra finalement le réaliser lui-même. Côté casting, Lauren Hutton est vraiment convaincante en femme persécuté, au sens de l’humour prononcé et au comportement des plus vulnérables. Par ailleurs Lauren Hutton est également un ancien mannequin, de plus au casting on y retrouve l’excellente et charismatique Adrienne Barbeau (Fog) qui deviendra par la suite la femme de Carpenter, bizarre alors qu’il l’ai choisit pour interprété le rôle d’un lesbienne pour le moins vraiment gentille de nature ? Au mesure que le film se déroule, la tension monte crescendo mais vraiment par très petits doses très légères en y enchainant des scènes efficaces, pertinentes et assez agréables car bien mis en scène à l’image du film entier et de ce très beau filmage. Notamment quelques superbes plans lors de la scène finale entre Leigh et son voyeur ou d’autres qui tiennent bien en haleine le spectateur. Carpenter, en jeune rebelle qu’il était à cet époque (1979, année ou il réalisa aussi Halloween et un autre téléfilm)jouera volontiers avec les limites admises à la télé comme l’homosexualité de la meilleur amie, ou la création d’une atmosphère visuelle particulièrement oppressante derrière la banalité de ces immeubles où chaque fenêtre représente un hypothétique danger. Ainsi, Carpenter se permettant ces écarts, ce film est une vraie réussite car au premier abord, personne ne pourrait deviner qu’il s’agit bel et bien ici, d’un téléfilm calibré pour les heures de grande écoute. Mais on constate surtout en toile de fond, que la réflexion Carpentienne de ce film réside surtout en une réflexion politique où chacun surveille tout le monde, dans un univers de surveillance généralisé. Ce n’est donc pas un hasard si le télescope est filmer de tel manière et joue un rôle aussi personnel et intime dans cet histoire captivante où finalement le dénouement sans être « phénoménale » adepte d’un twist-end se veut plutôt logique et cohérent, heureusement. De plus, tout comme The Thing ou l’antre de la folie, Carpenter se permet un clin d’œil intéressant au célèbre écrivain Lovecraft (inspirant même Hitchcock parfois), véritablement le fondateur de l’horreur américaine moderne, en appelant l’immeuble adjacent, la tour arkham, nom d’une ville imaginaire crée par ce dernier. Ainsi ce Meurtres au 43e étage ne fait pas partie de ces films « dépassés » et « démodés », certes il ne peut pas être intact et avoir le même impact qu’à l’époque mais le suspens est toujours au rendez-vous, les acteurs sont convaincants et l’histoire est fortement agréable sur fond de réflexion politique. Du vrai Carpenter comme on aime !
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 2 janvier 2012
    Ce qui se prétendent « véritables fans de Carpenter » se doivent absolument de voir ce film. Le style de Carpenter y transparaît littéralement. Il s'agit d'une histoire de voyeurisme qui s'appuie sur peu de personnages et de décors afin d'imprégner au maximum le spectateur. Donc primo, ce film est bien un pur Carpenter car il tire parti de son petit budget. Segundo, le climat oppressant et paranoïaque est dans la veine de ses autres grands films. On sursaute, et pile le bon nombre de fois – pas trop pour ne pas se blaser, et assez pour pouvoir affirmer que le film est diablement prenant – sans oublier qu'à chaque fois c'est pour de bon qu'on se redresse brusquement sur notre fauteuil ! Tertio, les plans, le cadrage, sont géniaux. On a même droit à voir un des premiers travellings arrières doublé d'un zoom avant de l'histoire du cinéma et à une prise de vue vertigineuse très dangereuse pour le duel final, rien que ça !L'intelligence de ce film a provient de sa narration, un peu lente, mais digne d'un travail d'orfèvre (tout semble être calculé au poil près), de l'intérêt que l'on porte au personnage principal, qui est suscité par une psychologie bien développée qui change des héroïnes plates, sans âmes ou trop prévisibles, et enfin de la qualité des prestations. Lauren Hutton réussie le rôle difficile qu'elle avait avec brio, réussissant à transformer son personnage entre le début et la fin du film, lui faisant subir une évolution très nette, David Birney et Adrienne Barbeau sont excellents eux aussi. Je ne m'attendais pas à ça en sachant que ce film était en réalité un téléfilm. Si la musique n'est pas de Carpenter, elle donne un ton un peu vieux et respectable au film.
    Dire que cette œuvre est si méconnue alors qu'elle mérite tant de l'être !
    moonboots
    moonboots

    58 abonnés 1 322 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 juillet 2011
    un petit Carpenter, une curiosité pour ceux qui aiment ce réalisateur
    Caine78
    Caine78

    6 744 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 décembre 2010
    Ah ça c'est sur que Carpenter n'en était qu'à ses frémissements de réalisateurs et qu'on est encore loin, que ce soit au niveau de l'univers proposé ou de la réalisation, des sommets de « Fog » ou de « Prince des Ténèbres »! Pourtant, je dois avouer avoir pris un réel plaisir à ce petit thriller sans prétention et mine de rien plutôt bien fichu, maniant le suspense avec une certaine habileté et le sens du rythme de manière tout à fait correcte, les références nombreuses à Alfred Hitchcock (« Fenêtre sur cour » et « Sueurs froides » en particulier) n'étant vraiment pas pour me déplaire... Bref, si l'on a donc encore bien du mal à voir ici le futur grand auteur qu'allait devenir ce bon vieux John, il n'est pas pour autant interdit de prendre un certain plaisir à un téléfilm efficace et bien écrit, chose après pas si courante pour ne pas être signalé. Honnête.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 14 août 2010
    Variation élégante sur le thème hitchcockien de "Fenêtre sur cour". L'ambiance est glaciale, la réalisation parfaite, le suspense est au rendez-vous dans ce thriller classique et léché. Lauren Hutton est parfaite, un téléfilm à ne pas rater !
    twingolot
    twingolot

    23 abonnés 188 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 juillet 2010
    Film susceptible de passer complètement inaperçu dans la filmographie de Carpenter, et pour cause ! Abandonnant temporairement son cinéma habituel, Carpenter se lançe sur les traces d'Hitchcock et nous livre cette variation sur "Rear Window", une sorte d'épure (le côté glamour du film d'Hitchcock ayant complètement disparu), un fabuleux festival de suspense (quels plans magnifiques !), avec pour toile de fond un scénario intéressant, bien alambiqué comme il faut, venant encore une fois affirmer que décidémment, il est inutile de faire confiance à la police dans un thriller. Certains n'y verront peut-être qu'un remake faiblard de "Peur sur la ville", avec Bebel en moins (celui-ci étant en plein dans sa période nanarde, c'était peut-être un plus). Pour ma part, un exercice de style réussi, et un bel hommage à Hitchcock.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 2 février 2010
    Un film qui ressemble plus à un Hitchcock qu'à un film de Carpenter. Le scénario est assez bien mené mais mis en scène de façon très (trop) académique. On se demande vraiment qui est aux commandes de la bête vue que Carpenter avait déjà pas mal défini son style unique avec Assaut (en 76) ou Halloween (en 78, même année que ce film). Cet académisme est surement dû au fait que "Meurtre au 43e..." a été réalisé pour la télé et que le Maitre ne devait pas avoir vraiment les mains libres, qui sait ? A noter également que le titre en anglais "Someone's Watching Me!" est bien plus représentatif que celui en français.
    EricDebarnot
    EricDebarnot

    207 abonnés 1 262 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 mars 2009
    Avertissement aux fans de Carpenter (comme moi...) : "Meurtre au 43ème Etage" est un téléfilm tout-à-fait honorable, une construction post-hitchcokienne qui a l'intelligence de donner un rôle central à une (ou plutôt deux) femme(s) de caractère, et de prendre pour décor et pour véhicule de sa fiction les nouveaux symboles de la modernité telle qu'on la voyait dans les années 70 (immeubles vitrés, ordinateurs de contrôle, machines enregistreuses de toutes sortes)... Mais rien, ou presque (peut-être justement ce respect pour la femme, transcendant le statut de victime que la société lui réserve automatiquement...) ne confirme que Carpenter en est vraiment le maître d'œuvre. Rien ici de son intelligence de l'espace visuel et sonore, aucune trace de ces constructions socio-mentales hawskiennes dont il est généralement friand. Tout laisse croire qu'il ne s'agissait là que d'un job alimentaire, consciencieusement accompli, avant de passer aux choses sérieuses...
    tomPSGcinema
    tomPSGcinema

    760 abonnés 3 323 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 mars 2009
    Meurtre au 43ème Etage est un téléfilm de très haute volée de la part du génial metteur en scène John Carpenter.
    Réaliser en 1978 ( la même année qu'Halloween du même metteur en scène ), ce long métrage raconte l'histoire d'une journaliste ( la très convaincante Lauren Hutton ) qui reçoit des appels téléphoniques anonymes depuis son appartement de quelqu'un qui l'épie.
    Voici un scénario de Carpenter - lui même - qui ressemble beaucoup à Fenêtre Sur Cour d'Hitchcock.
    La mise en scène du réalisateur est vraiment surprenante du début jusqu'à un final qui se trouve être totalement maitriser. Le réalisateur possèdait deja à l'époque un savoir faire indéniable en matière de réalisation grâce notamment à ses mouvements de caméras exceptionnelle que n'aurait pas renier Hitchcock lui même.
    Il faut préciser que le metteur en scène avait dejà réaliser auparavant deux films, a savoir Dark Star ( que je n'ai hélas pas encore vu ) et Assaut ( film totalement maîtrisée qui permis à Carpenter de tourner pour la première fois en Cinémascope ).
    Du côté de l'interprétation nous retrouvons la talentueuse Lauren Hutton dans le rôle principale, ainsi que la très jolie Adrienne Barbeau ( qui deviendra une des actrices fétiches du réalisateur ainsi que sa femme en dehors des tournages ) qui joue ici le rôle d'une collègue lesbienne. Nous retrouvons également un autre habitué des films de Carpenter, à savoir Charles Cyphers qui joue ici le rôle d'un policier.
    Il s'agit donc d'un téléfilm vraiment très surprenant, qui possède une photographie appréciable de la part de Robert Houser ( Un homme nommé Cheval ) et une musique assez stressante - et très proche des musiques que faisait Bernard Hermann pour Hitchcock - de la part du compositeur Harry Sukman ( qui fit notamment par la suite la musique des Vampires de Salem de Hooper ).
    Voilà donc un téléfilm que je conseille vivement à tous les fans de Big John, vous ne serez pas déçu, car c'est pour moi un quasi chef d'oeuvre.

    17/20
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 13 novembre 2008
    Enfin la sortie DVD d'un des films de John Carpenter les plus méconnus! L'impatience à voir cet opus se calme toutefois au bout d'une demi-heure de visionnage.
    En effet, bien que Carpenter soit derrière la caméra, et que Lauren Hutton s'en sorte bien, on ressent cruellement un manque d'envergure trop souvent propre aux films TV. Résultat, une intrigue molle et sans rebondissements, inhabituel à la filmographie de Carpenter. De plus la musique n'est pas signée par lui, ce qui est donc un élément défavorable supplémentaire. Les fans du réalisateur seront certainement déçus.
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