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Votre avis sur Rien à déclarer ?
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N'attendez pas une suite de bienvenue chez les ch'tis... Boon joue sur ce succès pour nous vendre son nouveau film comique. Quelques gags certes, mais l'ensemble est tout de même un peu mou. La 4L est hilarante et les scènes les plus drôles se situent au niveau des méchants : Gamelon et le Deschien sont les plus marquants. Allez, circulez...
Je m'attendais au pire et finalement le film se suit avec amusement et les situations entre douaniers français et belges sont plutôt réussi...
Le problème de ce type de produit cinématographique, c'est son formatage typique et contraignant qui plombe l'histoire et le plaisir.....
Par exemple, Les 90 minutes réglementaires, les pubs pour les sponsors
obligatoires et le cahier des charges habituel sont des critères franchement très frustrant du cinéma français qui devient du produit franchouillard limite comestible.
Sinon, Poelvorde, Gamelon et Boon sont marrants. Le film aurait bien sur gagné en épaisseur et un traitement plus long aurait permis une histoire plus captivante et des personnages plus aboutis avec davantage d'épaisseur......
Le problème de ce type de produit cinématographique, c'est son formatage typique et contraignant qui plombe l'histoire et le plaisir.....
Par exemple, Les 90 minutes réglementaires, les pubs pour les sponsors
obligatoires et le cahier des charges habituel sont des critères franchement très frustrant du cinéma français qui devient du produit franchouillard limite comestible.
Sinon, Poelvorde, Gamelon et Boon sont marrants. Le film aurait bien sur gagné en épaisseur et un traitement plus long aurait permis une histoire plus captivante et des personnages plus aboutis avec davantage d'épaisseur......
Comédie bien inoffensive qui tire un peu en longueur.
Certains gags arrachent quelques sourires, d'autres tombent complètement à l'eau. Pas de quoi se taper le cul parterre, surtout qu'on commence à s'emmerder légèrement une fois que les français et les belges deviennent amis.
Je n'ai pas payé pour aller le voir, alors je me dis que j'en ai eu pour mon argent.
Heureusement, le duo Dany Boon/Benoît Poelvoorde fonctionne très bien, mais pour le reste : rien à déclarer !
Certains gags arrachent quelques sourires, d'autres tombent complètement à l'eau. Pas de quoi se taper le cul parterre, surtout qu'on commence à s'emmerder légèrement une fois que les français et les belges deviennent amis.
Je n'ai pas payé pour aller le voir, alors je me dis que j'en ai eu pour mon argent.
Heureusement, le duo Dany Boon/Benoît Poelvoorde fonctionne très bien, mais pour le reste : rien à déclarer !
Après avoir joué avec profit sur le clivage nord/sud, voilà que Dany Boon s'attaque désormais à l'antagonisme nord/nord entre français et belges, une fois. Les mêmes causes ne produisant pas toujours les mêmes effets, le comique manque sa cible ici, donnant un film banal et mou malgré quelques rares bonnes situations. Pourtant, il n'a pas lésiné sur les moyens en envoyant au front ce qui se fait de mieux en matière de comiques belges : Benoît Poelvoorde (le plus connu), François Damiens (le meilleur), Bouli Lanners (orphelin de Dupontel) et Jean-Luc Couchard (qui était déjà garagiste dans "Les barons"). Mais rien à faire, "Rien à déclarer" est aussi poussif que "La maison du bonheur" du même Dany Boon dont le succès de "Bienvenue chez les ch'tis" m'a de toute façon toujours paru surfait. Et si son vrai coup de génie, finalement, c'était Kad ?
Après l'excellent "Bienvenue chez les Ch'tis", je voulais l'aimer ce film. Même si le charme comedie made in Dany Boon (ambiance et histoire un peu vieillotte, similitude avec les vieilles comédies françaises, tendresse) est toujours présent, le comique, lui, fonctionne beaucoup moins bien. Et de ce fait, on s'ennuie devant une histoire pas terrible et avec une multitude d'acteurs totalement pas dans le film. On est loin des Chtis donc.
Après le succès phénoménal "Bienvenue Chez les Ch'tis", Dany Boon surfe sur la vague de sa notoriété pour nous servir sur un plateau d'argent, sa nouvelle comédie "franchouillard campagnard" basée sur le passage à l'Europe et les discordances qui ont suivi. On peut lui reconnaitre ça : le nouveau réalisateur préféré des français s'est entouré d'un casting pour le moins prestigieux pour notre plus grand plaisir. Malheureusement pour lui, ce n'est pas l'équipe qui entraîne la victoire. Ici, c'est la défaite. Certes, on a sourit une ou deux fois, on s'est forcé à reconnaître que certains gags étaient bien trouvés mais derrière, le travail manque cruellement : pas de scénario, sinon une histoire d'amour (qui ressemble à celle de son premier long métrage) dans laquelle interviennent des personnages caricaturaux et qui s'achève exactement comme le présageait le synopsis, pas d'effets de mise en scène et pas de musique pour accompagner le tout, c'est fort regrettable. Conclusion, nous avons sous les yeux un divertissement de base, au sens littéral.
Autant je trouvais le tapage sur Bienvenue chez les Ch'tis plus qu'exagéré, autant, à la décharge du précédent film de Dany Boon, c'était tout de même drôle par moment. Ici, mise à part, 2 ou 3 scènes amusantes qui prêtent à sourire, rien, le néant. Pourtant au vu du casting (Belge notamment) avec des Benoit Poelvoorde, Bouli Lanners, François Damiens, Jean-Luc Couchard... on aurait pu s'attendre à du lourd, mais au final rien, juste une comédie qui fait sourire, à de trop rare moment.
Tres mauvaise copie de bienvenue chez les chtis peu de gags vraiment droles on est pas decus il fallait s y attendre
Il serait facile de dire que tout est dans le titre mais on ne peut faire autrement. Rien à déclarer n’est qu’un remix de bienvenue chez les chtis en un peu moins accomplie. Poelvoord est le seul à tirer son épingle du jeu, parmi un jeu d’acteur global très aléatoire. Au niveau de la réalisation il y a de bons points sans pour autant être parfaite. Vous l’aurez compris, Rien à déclarer n’est qu’une comédie française comme beaucoup d’autre qui ne vous divertira qu’un petit moment avant de tomber dans l’oublie.
Après le raz de marée Bienvenue chez les Ch'tis et son score démentiel au box-office, la prochaine réalisation de Dany Boon était encore plus attendue que la venue du Christ sur terre. Considéré comme le nouveau messie de la comédie française, l'Homme qui venait du Nord se devait de faire encore mieux que son précédent succès. Il s'attela donc à un projet assez similaire, dans une veine toujours sociale et bon enfant. Après avoir désamorcé les clichés entre le Nord et et le Sud de la France, Boon entend bien faire de même avec les stéréotypes sur les belges et les français.
Délaissant la comédie douce-amère qui l'avait rendu si populaire auprès du public en 2008, Boon s'aventure ici sur les traces du buddy-movie et de la comédie policière. Hélas, l'auteur se montre bien moins convaincant dans ce domaine assez casse-gueule. Si le casting est sans faille et le budget conséquent, force est de constater que le film échoue dans son principal objectif : faire rire. A moins d'être resté dans une cavité souterraine depuis la disparition des Charlots sur les écrans, Rien à Déclarer se présente comme une comédie très moyenne qui enchaine avec un rythme plutôt soutenu des gags plus déjà vus les uns que les autres. Au mieux on sourit, au pire on reste perplexe face à certaines situations que bon nombre de films ont exploitées jusqu'à la moelle.
En l'espèce, Rien à déclarer reste un film assez gentillet doté d'une distribution généreuse quoique pas toujours bien employée (François Damiens en beauf bête et pathétique campe un personnage très en deça de ses capacités) et qui à défaut de titiller nos zygomatiques procure un léger moment de détente aussi simpliste qu'inoffensif. Le matraquage publicitaire proche de la propagande communiste joue largement en sa défaveur, le film ne mérite vraiment pas toute cette campagne et nul doute que la douane de Courquain restera bien moins dans les mémoires que le beffrroi de Bergues.
Délaissant la comédie douce-amère qui l'avait rendu si populaire auprès du public en 2008, Boon s'aventure ici sur les traces du buddy-movie et de la comédie policière. Hélas, l'auteur se montre bien moins convaincant dans ce domaine assez casse-gueule. Si le casting est sans faille et le budget conséquent, force est de constater que le film échoue dans son principal objectif : faire rire. A moins d'être resté dans une cavité souterraine depuis la disparition des Charlots sur les écrans, Rien à Déclarer se présente comme une comédie très moyenne qui enchaine avec un rythme plutôt soutenu des gags plus déjà vus les uns que les autres. Au mieux on sourit, au pire on reste perplexe face à certaines situations que bon nombre de films ont exploitées jusqu'à la moelle.
En l'espèce, Rien à déclarer reste un film assez gentillet doté d'une distribution généreuse quoique pas toujours bien employée (François Damiens en beauf bête et pathétique campe un personnage très en deça de ses capacités) et qui à défaut de titiller nos zygomatiques procure un léger moment de détente aussi simpliste qu'inoffensif. Le matraquage publicitaire proche de la propagande communiste joue largement en sa défaveur, le film ne mérite vraiment pas toute cette campagne et nul doute que la douane de Courquain restera bien moins dans les mémoires que le beffrroi de Bergues.
Rien à déclarer justement...et pourtant l'idée de base "originale" avec la présence de Poelvoorde au casting pouvait laisser présager une bonne comédie franço-belge...dommage c'est un peu loupé !
Grosse comédie populaire sans autre prétention que celle de divertir, Rien à Déclarer ne s’en sort pas si mal. Le point de départ de l’histoire est plutôt bien trouvé : Suite au traité de Maastricht, les frontières disparaissent et des douaniers des deux côtés de la frontière franco-belge sont obligés de bosser ensemble. Ça commence bien, le ton est jovial sans être trop lourdaud. Hélas, la farce tourne vite en rond et les divers rebondissements ne sauveront pas le film d’une torpeur fatale. En somme, c’est la bonne idée qui ne tient pas 90 minutes. A noter tout de même la bonne prestation de Poelvoorde et de Damiens, ils relèvent un peu l’intérêt de l’ensemble. Bon il y a bien aussi ce discours sur l’absurdité du racisme et de la xénophobie mais il est tellement téléphoné qu’il ne convainc guère. Au final, c’est pas si mal dans le genre … à condition de zapper la deuxième moitié du film.
Je ne m’attendais pas à un grand film, je n’ai donc pas été déçu.
Le scénario a été très mal travaillé et bâclé. Le sujet est traité à la va vite et même si on comprend où le réalisateur veut en venir, Dany Boon reste trop superficiel (comme dans chacun de ses films). L’humour ne fonctionne pas bien et l’histoire n’est pas intéressante. En clair, on est dans du très léger.
Du côté de la mise en scène, Dany Boon ne fait pas de miracle. La réalisation est simple, classique et ne réussit pas plus à captiver le spectateur que l’histoire.
En revanche, la distribution est correcte. Benoît Poelvoorde est irréprochable dans son rôle et les autres acteurs comme Dany Boon et Julie Bernard ne sont pas faux.
Bref, vous l’aurez compris, c’est à éviter.
Le scénario a été très mal travaillé et bâclé. Le sujet est traité à la va vite et même si on comprend où le réalisateur veut en venir, Dany Boon reste trop superficiel (comme dans chacun de ses films). L’humour ne fonctionne pas bien et l’histoire n’est pas intéressante. En clair, on est dans du très léger.
Du côté de la mise en scène, Dany Boon ne fait pas de miracle. La réalisation est simple, classique et ne réussit pas plus à captiver le spectateur que l’histoire.
En revanche, la distribution est correcte. Benoît Poelvoorde est irréprochable dans son rôle et les autres acteurs comme Dany Boon et Julie Bernard ne sont pas faux.
Bref, vous l’aurez compris, c’est à éviter.
Nyns
Difficile de ne pas comparer Rien à déclarer à Bienvenue chez les Chtis de Danny Boon, étant donné qu'il est sorti après le deuxième et immense succès populaire (que je ne comprends toujours pas au passage) et qu'il traite aussi des préjugés et autres forme de racisme francophone... Une variation sur le même thème. Disons que l'histoire de ce deuxième film est plus alléchante mais perd en candeur et honnêteté. Donc au final : pas pire, mais pas mieux. Un contexte historique : celui de l'ouverture des frontières de l'Europe au début des années 90 face à un constat historique : les belges n'aiment pas les français. Donc ça se passe dans une ville frontalière évidemment, dans laquelle les douanes des deux pays Belgique / France doivent s'organiser face à cette grande nouveauté, et ceci sans déplaire à un très chauvin et anti-français douanier belge Benoît Poelvoorde (qui excelle quand il s'agit d'être exécrable) qui sera contraint de faire équipe avec un douanier français interprété par notre ami Boon. L'idée a son potentiel de sympathie non négligeable, mais malheureusement est souvent traité sans finesse. La love story au milieu est très mal interprété et on y croit pas une seconde en fait... Dommage. Plus souvent pas drôle que l'inverse, donc bof. D'ailleurs sans Poelvoorde et Damiens je me demande si j'aurais ris une fois... Voilà, un film français qui met le paquet mais dont le résultat ressemble plus à du pétard mouillé qu'à une bonne comédie familiale.
Le film permet de passer un bon moment, mais c'est à la fois convenu, très attendu et naïf. L'humour est prévisible, ce qui gâche la plupart des effets. Comme pour Bienvenue chez les Chtis, le film a les qualités de ses défauts ; Dany Boon crée une comédie rarement grotesque (même si de temps en temps, la limite est proche), en prenant soin de tous ses personnages avec parfois de l'émotion, chose qu'on n'attend pas vraiment de ce genre de films (surtout en voyant l'affiche). Mais voilà, tout ces bons sentiments rendent le film un peu trop attendu et candide, tout est trop gentillet et ça finit par agacer. Un film dispensable, donc, qui amuse mais ne le fait pas toujours efficacement.
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