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    Rien à déclarer
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    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 6 février 2011
    DECEPTION ! Pour l’amateur de Dany Boon que je suis depuis 1997 et ma découverte du formidable one man show au Palais des Glaces diffusé pour la première fois à la télévision, je crains qu’il ait perdu son clown tant Rien à déclarer m’a laissé de marbre. Oh bien sûr, il y a quelques rires heureusement, mais pas de bidonnage, encore moins de hurlements loufoques ou de rires avec le nez cochonifiant. Globalement, la salle partageait mon point de vue, le niveau sonore des rires ne dépassait pas celui d’une 4L non tunée au ralenti.
    Le pourquoi du raté est évident, le ton du film penche plus vers le drame que vers la comédie, tout est question de fin. La fin d’une monde avec la fin des frontières, la fin d’un amour ou presque, la fin d’une imposture, la faim d’humour qui n’est pas rassasiée. L’enrobage, lui aussi est dramatique. 1993? Non! 1983! En encore! Les dialogues, les costumes, les décors, les accessoires, on semble plongé dans un anachronisme global. Pour info, Jean Hoguet, Directeur de la Direction Nationale des Enquetes Douanieres dans « Au service de l’Etat à travers la Douane », indique qu’il a obtenu une dérogation du ministre pour acheter des ordinateurs PORTABLES, en 1990! Anecdote passée, ce genre de détails serait peu important si la comédie tenait son rang.
    Dany Boon ne veut pas faire les chtis 2, il a raison, cela ne servirait à rien. Mais pourquoi le génome de rien à déclarer est-il aussi semblable aux chtis. Musique similaire, sauf pour une étonnante partition de R.Kelly, qui dénote de l’ambiance générale, clin d’œil inutile à un ami venu du sud. La Poste est devenue La Douane, mais la critique de l’administration reste. L’impossible amour barré par la timidité est toujours là, mais le problème n’est plus la famille, mais la belle-famille. Scènes de restauration, le partage se fait autour de la table. Choc des cultures, puis intégration. Résultat: les chtis font de la douane. Le deux est toujours moins bien, comme le démontre subtilement Wes Craven dans Scream 2.
    Pire que de faire une suite sans en faire une, Dany Boon va aussi piquer des idées chez Camping avec ce mécano loufoque, qui doit se dire qu’il va finir par changer sa qualification d’acteur en garagiste sur son CV. Pour l’écriture des chtis ils étaient trois, là il est seul mais il a perdu quelque chose. Rien de surprenant dans ce scénario, tout est archi prévisible, ma voisine bavarde et pénible de ses commentaires dans la salle, annonce qui conduit la BM tout haut avant qu’on le découvre, pourtant elle est très conne.
    Et j’en viens au pire, la réalisation. Cette course poursuite entre la BM et la 4L est l’une des plus lentes qu’il m’ai été donné de voir, surtout quand la vitesse annoncée de la BM est de 200 km/h. Comment expliquer alors qu’une 4L tunée avec un moteur d’Alpine se retrouve coincée a égale vitesse entre un vieux trafic et un vieux tacot? Pourquoi elle perd ses pièces de carrosserie sans déformation? Tout n’est qu’illusion. Le manque de moyens mis en œuvre pour cette scène est flagrant et symbolique de cette sensation d’économies de bout de ficelle qui a présidé à l’ensemble. Après un énorme succès pour un deuxième film, la production de ce troisième film (merci Joe) valait bien plus. Or, l’écran est vide, tout est arrêté, figé. Ce n’est parce que l’on se situe à un poste frontière qui va disparaître, que la circulation elle aussi disparaît. Et en plus avant même que cela ait lieu. Même chose pour la vie, pas de passants, pas de gens aux fenêtres, dans ce décor de ville fantôme avant l’heure. Ce décor pèse sur le jeu des acteurs. Crispation, rigidité, rien ne coule vraiment naturellement, le meilleur est celui qui admet qu’il ne sait pas faire ce qu’on lui demande: Bruno Lochet. Dany Boon et Benoit Poelvoorde sont en dessous de tout ce qu’ils ont pu faire de meilleur, c’est faux. Julie Bernard, est une découverte intéressante, car elle est juste dans le registre du drame. Et heureusement aussi que le couple VIARD-DAMIENS fonctionne parfaitement et relève le niveau de la comédie car sinon c’était la noyade. Dommage que la relation entre Poelvoorde et son fils, un jeune acteur très mignon et attendrissant n’ait pas été exploitée, on tenait là quelque chose de plus intéressant.
    Le propos sur le racisme n’est pas traité finement, pas de poésie, on tire à l’arme à feu du surmoralisme et de l’insistance lourde, risquant de provoquer un rejet.
    Dany Boon manque cruellement de confiance pour rien à déclarer, alors qu’il aurait pu exploiter sa réussite passée pour se lâcher, il est au contraire constipé, ce qu’il a lui-même admis lors de la promotion sur les plateaux télévisés. Pas d’inventivité visuelle, un seul plan marquant d’une vue aérienne réussie, copier-coller d ‘un plan de son premier film.
    Ma Brigade des Objets Filmiques (BOF), n’aurait pas laissé passer la frontière de la projection cinématographique à Rien à déclarer. F.O
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 27 décembre 2015
    Ce film est juste nullissime.Pas de scenario, les acteurs sont mauvais tout comme la réalisation. Je n'ai rien d'autre à déclarer.
    miss_mimy
    miss_mimy

    26 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 20 février 2011
    Jai beaucoup aimer ce film. Il est drole, meme si parfois les blagues sont un petit peu nul mais ca fait toujours rire!!
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 2 juillet 2011
    J'ai quelque chose à déclarer: Ce film est plat comme le plat pays, ennuyeux comme les deux acteurs, pas original !
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 27 mai 2013
    Comment voulez-vous rire sur un tel " film ". C'est même pas tiré du style comédie, tellement que les pseudos-gags sont tout simplement ... bidon, pour pas dire pourris !!

    Juste, à tout casser, 2-3 passages drôles, mais qui s'estompent trop rapidement tellement que la niaiserie reprend le dessus. Bref, rien de bien intéressant.

    passez votre chemin, vous me remercieré...
    doc-parnassus
    doc-parnassus

    5 abonnés 143 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 9 mars 2011
    Comme on pouvait s'en douter, rien à déclarer est une pompe à fric. Scénario sans fondement, gags prévisibles. On en rit seulement pour certaines scènes qui sont telements grosse qu'on ne peut qu'en rire. Bref vraiment pas indispensable.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 6 février 2011
    J'aurais voulu ne pas être du côté des critiques intellos, mais il faut admettre que cette comédie n'apporte pas grand chose au cinéma français. Aucune originalité, des blagues vues et revues (un éclat de rire pour la 4L tunée), des dialogues d'une vacuité affligeante... 1,5 pour la sympathie que m'inspirent les acteurs, le vague sourire que j'ai eu aux lèvres pendant le film et pour la musique originale à l'ancienne.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 2 mars 2011
    Décevant. L'actrice principale joue moyennement bien, en tout cas elle ne m'a pas convaincu. Benoit P joue un personnage que je trouve trop excessif. Celui qui sort du lot pour moi c'est le barman et encore, c'est souvent limite. J'aurais pu attendre sa diffusion...
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 9 juin 2012
    Le film Rien à déclarer, que dire ?! ah Oui bah rien à déclarer ou bien à chier !
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 14 mars 2011
    Contrairement à nombre de critiques postées, je n'ai rien contre la tradition populaire-franchouillarde du cinéma français, celle-ci ayant notamment débouché sur quelques perles durant les années 1970 - 1980. Après le fameux et médiocre Bienvenue chez les Ch'tis, Boon s'attaque donc à nouveau au genre, marquant par la même occasion sa carrière au fer du label "grand public". A première vue, le casting est fidèle au genre ( aussi grand public que l'histoire contée ) et plutôt logique. La trame est, en elle-même, bien trouvée et potentiellement amusante ( mêler l'ambiance début des années 1990 - ouverture des frontières et traditionnelles chamailleries franco-belges est, en soi, une bonne idée ). Le cadre est sympathique, ou plutôt judicieusement rebutant, puisqu'il lie les personnages à cette bourgade grisâtre, dépeuplée et dont l'importance se résume à son poste de douane. Le travail technique n'est pas mauvais non plus, la caméra paraît juste et sans fioriture. Le problème est donc ailleurs, et il a le don de noircir la totalité du tableau : dans Rien à Déclarer, on ne rit pas. L'indifférence, voilà la pire émotion que peut provoquer un film estampillé "comédie". Et pourtant, Boon réussit la prouesse de gâcher un départ plutôt correct par une monotonie décourageante et une absence d'humour hallucinante. Rien, si ce n'est un ou deux sourires au sortir d'une réflexion de Poelvoorde ... Un bien beau gâchis que rien ( pas même la bonne prestation de ce même Poelvoorde ) n'est en mesure de rattraper. La suite au prochain numéro ?
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 22 février 2011
    Amusant sans plus. Un air de famille avec bienvenue chez les chtis. On rigole au debut mais cela devient vite lourd et on est presse d'arriver a la fin
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 19 février 2011
    bof on attend peut-être trop de passer 1 aussi bon moment que pour les ch'tis. Film gentil. Benoît Poolvoerde est très énervant donc très bon !
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 28 août 2011
    On prend le(s) même et on recommence : matraquage médiatique à TF1, multiplication des apparitions sur les plateaux TV, capitalisation sur le Bankable des acteurs plus que sur la qualité du film. Rien à déclarer illustre parfaitement la mentalité d'un cinéma Français vendu à la T.V et il suffit de le regarder pour s'en convaincre : le film joue la carte du paradoxe en exagérant certaines situations jusqu'au grotesque tout en s'avérant parfaitement feignant sur d'autres points notamment le scénario. Au final on se retrouve avec un film profondément idiot et infantile, à l'humour tarte à la crème et cacaprout qui ne sait plus choisir entre le grotesque (des "méchants" qui rendraient des points à ceux des Power Rangers tant ils sont navrants) et la vulgarité beauf (Madame Lanus est devenu quasiment un leitmotiv tant on nous a rabâché avec ca dans les extraits et Bandes-Annonces...), des personnages tout sauf attachants (le personnage de la petite amie est un appeau à gifles), des situations surréalistes (mais dans le mauvais sens), un montage épileptique et une qualité technique digne d'un mauvais téléfilm. Déjà que Bienvenue chez les Ch'tits ne tapais pas fort, Rien à Déclarer achève le tout à coups de matraques. La recette du film? Un scénario pondu lors d'une soirée resto entre potes, filmé à vitesse grand V sans se préoccuper de considérations qualitatives et pour l'incarner les têtes médiatiques du moment pour attirer les foules. Le tout ne fait que s'appuyer sur le sacro-saint (et désormais institution officielle du cinéma Français) "acteur Bankable" pour ramener dans la caisse l'investissement initial. Et au milieu de tout ça le spectateur et désormais acheteur devient un simple portefeuille. Qu'importe ce qu'il dira, il ira le voir, la campagne marketting se chargera de l'y pousser. Certes c'est un discours un peu réducteur et limite insultant. Mais c'est pourtant comme ça que le cinéma français le voit : un consommateur. Pas la peine d'investir dans de la qualité quand de la médiocrité suffit à remplir les salles. Ca coûte moins cher et ça rapporte. Alors faisons joyeusement dans le minimaliste, l'infantile (et infantilisant) et le politiquement correct (pour ne pas trop prendre de risques), le cinéma français n'en sortira pas plus grand bien au contraire mais ça remplira bien des poches. Être une illustrations de cet état du cinéma français est bien la seule qualité de ce film.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 5 février 2011
    Vraiment rien à déclarer ... Passez votre chemin !
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 6 février 2011
    Sur ce film, je n'ai tout simplement RIEN A DECLARER ! C'est nul...
    Je mets la note de 1 pour la scène de l'"amblance" et pour la scène "i believe i can fly".
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