Avis : Rien à déclarer - Page 2

se film et un vrai navet il ma soulé du debut a la fin pour une comedie jai pas riqolé une fois pourtant j'avai bien aimer les chti mai la sa passe pas.

Mais quelle bouse... humour plus que lourd, Poelvoorde crie tout le temps, Boon ne transmet pas gran chose.... 'fin c'est mauvais quoi. Enfin Karin Viard et François Damiens sont pas mal

" Rien A Déclarer " porte très bien son nom ! En effet, ce film n'a rien pour lui ! En plus d'avoir là un duo cabotin et épouvantable ( N'est pas Louis De Funès et Bourvil qui veut ), le spectateur est navré de ces dialogues insipides teintés de pauvres gags scolaires et lamentables qui font rire uniquement les protagonistes ! Il n'y a rien à sauver dans ce film si ce n'est que quelques répliques qui prêtent à sourire mais en aucun cas à rire de bon coeur tant le scénario est d'une futilité et d'une prévisibilité stupéfiante ! C'est un film acrimonieux, lassant, ennuyeux et navrant !

Jamais rien vu d'aussi inintéressant en matière de films ! Tout ce que je déteste est dans celui ci ! Une horreur ! Les acteurs frôlent le ridicule, le scénario est inutile...

Que faire après un succès public ahurissant de plus de 20 millions de spectateurs ? A cette question, Dany Boon a choisit la réponse la plus simple : la même chose. En encore un peu plus mauvais.

Reprenant la recette bien française du duo asymétrique, Dany Boon persiste à jouer les ch'tis mais remplace le Kad Merad provençal pour un Benoît Poelvoorde belge, et meuble le reste avec une histoire d'amour ridicule et une intrigue policière absolument affligeante digne d'une comédie du lundi soir sur TF1 (la scène des sachets de coke cachés dans un endroit bien précis de l'anatomie du passeur, pitoyable). Là où « Bienvenue chez les Ch'tis » pouvait éventuellement faire sourire et dans lequel on pouvait croire à la sincérité relative de son auteur, « Rien à déclarer » ne fait jamais rire, quelque soit le mode comique utilisé, la faute à un manque d'idées évident de gags et de mise en scène et à une direction d'acteurs inexistante : si Poelvoorde peut se montrer excellent chez de bons cinéastes, il n'existe pas un pire acteur que lui lorsqu'il n'est pas dirigé. Une comédie totalement ratée (ce qui n'était pas entièrement le cas du précédent film de Boom), c'est assez fréquent en France ; qu'elle fasse un carton au box-office, cela arrive parfois (pensons aux « Bronzés 3 »). Tout cela ne serait encore que tristement anecdotique si le film ne se doublait pas d'une beauferie rare et d'un fond nostalgico-réactionnaire, s'adressant priotairement aux spectateurs ayant connu l'époque des douanes.

Dans « Rien à déclarer », on finit par accepter l'étranger, pour autant qu'il soit originaire de la zone frontalière proche. Ce qui permet de conclure sur une dernière petite vanne ratée, inoffensive en apparence, qui permet aux Français et aux Belges de rire ensemble d'autres étrangers, ceux-ci d'origine plus lointaine et d'aspect plus différent : tant pis si le douanier belge demeure un peu raciste, car au fond c'est rigolo.

1h45 de mauvaises blagues racistes agrémentées de poncifs du genre "le racisme c'est mal" (oui je sais c'est paradoxal) et saupoudrées d'une intrigue policière digne d'un épisode de Joséphine Ange Gardien. Benoït Poelvoorde m'a fait mal aux oreilles à force de crier ses "freeze!!". Et puis le personnage campé par Boon qui se tape une petite bombasse on n'y croit pas.

Une mauvaise comédie qui n'est pas drôle du tout hormis a trois ou quatre reprise ce qui est plus que léger au vue de la durée du film. Un film trop long , ennuyeux et pour lequel j'ai attendu la fin avec impatiente . Un mauvais Dany Boon . Coté comédiens ils sont vraiment mauvais et jouent très mal . Totalement déçus par ce film qui ne vaut pas le coup d'oeil car trop long et vraiment ennuyeux . A éviter .

Et un zéro pointé pour ce film "mécanique" et sans âme. Je ne doute pas de la sincérité de son auteur, et même si les ch'tis n'étaient pas la comédie du siècle, force et de constater qu'il y avait une certaine alchimie qui a ici complètement disparue. Deux sourires tout au plus (tous les gags tombent à l'eau), et un ennuie frisant l'insupportable. A oublier.

Une débilité sans nom , pas drôle , d'un niveau pire que bienvenu chez les chtis bref a zapper . Un nanar

Bienvenue chez les chtis était déjà limite mais là!! Encore plus avant, la maison du bonheur il y avait de l'idée mais là! Mais là!! MAIS LA!
Accoucher d'une merde pareille avec 22 millions d'euros de budget, c'est non seulement du gâchis mais du foutage de gueule. Quand on est humoriste, on reste sur scène et on se la ferme! On crame pas 22 briques pour se donner du plaisir sur un tournage avec une production qui te paie la bouffe, la déco, le maquillage et les habits en plus de ton intérêt sur les ventes des billets à la sortie du film. Dany Boon est l'incarnation même d'un réalisateur qui a su manier ses boites de production, productions qui sont sans aucune volonté, sans aucune ambition... sans aucune idée. On sort du comique parce qu'on aime bien et que ça plait bien... on est un pays de vieux, on aime bien la comédie, on veut rire en temps de crise... foutaises, fadaises, punaises!
Encore un film sans aucune envergure au panthéon de la bêtise pure, Julie Bernard est sûrement la seule surprise du film. Naturelle et charmante, j'espère qu'elle trouvera des rôles plus intéressants que dans cet échec critique. A ne pas voir de toute urgence! Une honte tout simplement...

déjà que je n'avais pas aimé "bienvenue chez les chti's"(dont on en a fait une grosse publcité) ce "rien à déclarer" passé les 5 premières minutes on s'ennuie ferme, danny boon n'est pas crédible et que dire de poolvoorde? encore plus antipathique qu'à l'accoutumée !

À contourner, peu importe les critiques et les notes, à voir absolument pour un enrichissement de Dany Boon certain. Vous n'avez aucune excuse si vous allez le voir.
Trêve de plaisanterie, il serait temps que Daniel Hamidou arrête son cinéma. Qu'il arrête de nous narrer ses contes populaires qui abreuvent son compte en Suisse. Qu'il aille plutôt dépenser ses millions aux antipodes du Nord de la France et de la Belgique. Et qu'il y reste !!!

Que c'est lourd... vulgaire... surjoué... et peu comique... bref un effet contraire à celui escompté. Un Dany Boon que je n'aurais jamais du voir... on est loin du reste et l'après "chtis" est plus que douteux...

Rien à déclarer : tout est dans le titre.

Après le succès astronomique et incompréhensible de "bienvenus chez les ch'tis", Boon repompe sur "Rien à déclarer" la même formule sagement et ronronne à nouveau un film mineure comme pas possible.

Dés le début du film , Boon reprend tous les défauts de Bienvenue chez les ch'tis.
Déja sur la forme.

Réalisation lente et anémique, cadrage approximatif, musique en fond sonore médiocre : Boon montre aucun ou peu effort et assure juste le minimum dans le but de placer son scénario (y'en à t'il ??) et ses vannes.
De la mise en boite à l'arrache : on est juste pressé de vendre le produit ici.

M’enfin, ce n'est pas catastrophique non plus mais c'est plat et un peu d'inventivité et surtout de rythme aurait été le bienvenu (sans mauvais jeu de mots

Continuons sur le fond, l'essentiel dans ce genre de film donc : les blagues, les personnage, le comique de situations.
Et bien rien à déclarer effectivement. (on notera que moi aussi je peux faire du jeu de mot facile et surtout sans toucher un copec!

Benoit Poolvorde à remplacé Kad Merad.
Peu importe, le but est de cachetonner et de livrer un truc à peu près joué tout en fesant un peu plus de caisse histoire de tenter d'amuser un peu plus que le précédent film lisse et pas drôle.
Et c'est lui qui commence à faire son one man show.

Une des première blague annonce la couleur : ce sera minable.
Poolvorde essaye de réveillé un gros baveux qui est censé faire son service de nuit .

Les dialogue sont les suivants :
Poolvorde : Tu dormais pendannnt le serviiiice !!!
Le gros: nan je dormais pas
Poolvorde : si
Le gros :nan, je réfléchissais profondément
Poolvorde : tu me prend profondément pour un con !!

Je sais que vous avez lu deux fois avant d’être sur si c'est vous qui avez mal lu ou si c'est vraiment sa la blague.
Mais vous avez bien lu.
Et ce qui à de sur, c'est qu'on ne peut pas toucher plus le gouffre et avoir profondément pitié de ce genre de ressort comique.

C'est comme la blague du français qui rit trois foi à une blague de belge : quand on lui raconte, quand on lui explique et quand il l'a compris (autre phrase comique du film).

Lot de jeu de mot foireux (madame l'anus, nan Janus!!!), grimace et cabotinage du pauvre comme l'autre tête de choux qui doit tirer une gueule de malheureux pour entuber le douanier (n'est pas Michel Leeb ou jim carrey qui veut), le film montre clairement ses intentions: recyclage de blague conventionnel et médiocre.
Recette archi éculé vu et revu ces dernières années (Les chtis, astérix 1 2 3 , disco,seul two etc...

Ne parlons même pas des acteurs qui crient quasiment tous pendant leur blagues pour essayer de faire plus rire et d''apporter du peps à tout ce vide intersidéral.

Et il y a un petit enfant au début qui nous dit : "la france, le pays des gros abrutis"
Vrai dans un sens ...
Une scène un peu plus interèssente de plus car l'enfant semble surclassé le reste du casting et cette phrase qu'il cite montre clairement que le film est orienté grand public tout en dévoilent une réalité (celle des succès astronomique de film en mousse au pays de Molière).

Boon veut faire du chiffre donc ratisser large.
Et le thème du racisme, qui aurait pu être intéressent, est traité de façon lisse.
A ne pas choquer le bon peuple.
On fait dans le politiquement correct, aucune prise de risque, aucun fond.

Sos racisme pourront lui donner un bon point c'est certain.
Mais pour l'homme de la rue, pas sur.

De plus Zinedine soualem et une actrisse black sont surement là pour le cota "immigration positif" du film.
Sous employé au possible, il ne changeront rien à ce navet et rien à leur carrière.

Sinon pour meubler tout cette crétinerie, une histoire d'amour à deux balles se glisse la dedans anecdotique comme dans le précédent film avec un trafic de drogue en plus pour tenter de grossir le contenu maigrelet du scénario.
Rien n'avance, on baille devant toute cette mollesse, le film est statique jusqu'au bout.
Du cliché et du vu et revu comme pas deux.

Certains ont parlé de ce film comme une œuvre dans la lignée de ce qui se fesait de mieux dans la comédie française des années 70.

C'est à moitié vrai, le film s'inscrit dans ce qui se fesait de pire à l'époque en France.
Et de cette époque 70's, on retrouve effectivement une mise en scène un peu lente et quelques idée repompées par ci par là (les cascades et quelques situations censés être "loufoque").

On retrouve même dans ce Duo Boon - Pooelvoorde une tentative grossière de copier le tamdem De funès et Bourvil de manière non explicite mais ces deux derniers peuvent dormir tranquille.
Car la copie est très très loin de l'original.

Un truc qui fera surement le bonheur de ciné mardi ou dimanche sur TF1, une bonne vieille mélasse jamais drôle et à réserver au insomniaque et à ceux qui ont aimer les ch'tis.
Mou, plat, statique, éculé et suranné : encre une daube du bon Dany.
Si nous, on à pas rigoler, Il doit bien se marrer lui en tout cas.

"Rien à déclarer" ou "Dis, qu'est-ce qu'on a fait au bon taxi, là ?"

C'est le Mash-up entre "Taxi" et "Qu'est-ce qu'on a fait au bon dieu ?"

La genèse du bâton mielleux... Quel que soit le bout par lequel tu le prends, t'en a plein les mains... A la différence du "Qu'est-ce qu'on a fait au bon dieu ?", ce film là nous montre bien que lorsqu'on arrive à dépasser sa peur de l'autre ont peut faire ensemble les plus belles carabistouilles de la planète (ça reste de douaniers, ne l'oublions-pas) et dépasser les 200 km/h avec une 4L (science-fiction).

Ce film est--il drôle ? Oui, surtout grâce à Bruno Lochet et sa conduite naïve d'une amb(u)lance et son chef de réseau (Laurent Gamelon)... Benoît Poelvoorde montre ici encore que c'est un pur acteur... Le reste peut s'oublier sans peine...

Est-ce un bon film ? Euh... Faut pas exagérer...