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    Habemus Papam
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    3,5
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    457 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 12 octobre 2011
    plusieurs salles
    jennigloss
    jennigloss

    11 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 février 2012
    pas mal
    bon jeu du pape.........
    drôle à ces heures
    selenie
    selenie

    6 213 abonnés 6 178 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 septembre 2011
    Film sélectionné à Cannes avec lequel Nanni Moretti tape encore là où ça fait mal. D'abord félicitation à Michel Piccoli encore magnifique de A à Z dans lapeau de ce nouveau pape qui se remet en question devant l'ampleur de sa tâche. Parsemé de scène aussi truculente que savoureuse (les cardinaux qui frappent dans les mains, les matchs de volley..) le film pêche sur tout par un manque depoil à gratter. En effet Nanni Moretti réalise là un film anti-clérical mais trop gentil pour atteindre son but, bref pas assez polémique. La fin déçoit dans la forme mais pas dans le fond ; en effet l'annonce est froide et sasn concession mais n'est pas cohérente avec la légèreté du reste du film. On reste donc mitigé, charmé par les quelques scènes succulentes et le jeu e Piccoli mais on reste sur notre faim pour le côté pamphlet trop timide.
    tixou0
    tixou0

    696 abonnés 1 999 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 septembre 2011
    Le pape est mort après une longue maladie. Sitôt les funérailles achevées, c'est l'heure du conclave et voilà la centaine de cardinaux électeurs enfermés dans la Chapelle Sixtine. Aucun des 2 ou 3 "favoris" ne se détachant, c'est finalement un "outsider", le Français Melville (Michel Piccoli) qui est élu. Mais cette responsabilité écrasante le cueille à froid et il refuse d'aller bénir la foule immense qui se presse sur la Place Saint-Pierre, arguant seulement être dans l'incapacité totale de le faire. S'étant assuré que le mal n'était pas physique, le "porte-parole" de l'Etat du Vatican (curieusement un laïc) fait mander un psychiatre réputé (Moretti lui-même), qui s'essaie immédiatement à analyser l'illustre patient, séance suivie par un auditoire inédit de cardinaux. L'état du nouveau pontife s'aggravant, le communicant vaticanesque l'"exfiltre" jusqu'au cabinet de l'épouse du psy, dont ce dernier vante volontiers les mérites. Aussitôt sorti Melville entreprend une balade dans Rome, réussit rapidement à fausser compagnie à son escorte et se perd dans la foule, protégé par un anonymat encore intact : c'est le début d'une escapade de trois jours, tenue secrète par le porte-parole défaillant qui réquisitionne un garde suisse pour jouer les ombres chinoises aux fenêtres de l'appartement papal et entretenir ainsi la fable du pontife qui se repose. Quelques péripéties plus tard, la supercherie étant éventée et l'élu refusant de réintégrer ses pénates, une pittoresque expédition est organisée pour le faire revenir de force. Alors, ces trois jours n'auront été qu'une parenthèse en forme de doute, somme toute compréhensible, avant les débuts "sérieux" du nouveau pontificat, un léger différé avant l'effectivité du traditionnel "Habemus Papam" qui tenait en haleine la communauté catholique (un milliard de personnes, quand même !) ? Pas si sûr...
    Nanni Moretti a ici écrit et réalisé de main de maître une subtile charge contre la religion, en aucun cas maladroitement frontale, partant d'une satire plutôt gentille des us et coutumes du Vatican, petit théâtre des ridicules, croqués avec vivacité et malice - microcosme de hauts prélats du troisième (ou quatrième) âge ayant une nette tendance à retomber en enfance, de religieux de rang inférieur style personnel de service (religieuses et prêtres divers), sans oublier les fameux Gardes suisses avec hallebarde et uniforme dessiné par Michel-Ange, petit univers clos et ronronnant quelque peu malmené par le psychanalyste retenu pour des raisons de confidentialité et qui joue avec bonhomie les perturbateurs (cf. le savoureux championnat "intercontinental" de volley). La fugue du pape a cependant pour effet principal de lui remémorer sa vocation première, sur la piste psychanalytique : celle de comédien - ce qui est plutôt inattendu - et c'est d'ailleurs dans le théâtre où il assiste à une étrange représentation de "La Mouette" que ses électeurs drapés dans la pourpre cardinalice s'assurent de sa personne pour le ramener au bercail. On peut dès lors douter d'une fin classique, "religieusement correcte", quand le pontife prodigue commence (avec trois jours de retard) son homélie post-élection depuis le balcon dédié, son identité enfin révélée. Le successeur de Pierre proclame en effet son incompétence devant une foule médusée - ce n'est plus du doute (passager et admissible) c'est une démission, et pour le cinéaste, qui finit à dessein en pointillés, assurément le triomphe d'un solide athéisme personnel. Comment Dieu pourrait-il survivre à cet abandon de son représentant sur Terre ? Encore un film injustement oublié par le dernier palmarès à Cannes, car que l'on adhère ou non au propos iconoclaste de Moretti, force est de constater l'intelligence de la présentation, et l'excellence de l'interprétation comme de la mise en scène. Un "5 étoiles" d'évidence.
    Wilma P
    Wilma P

    11 abonnés 268 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 septembre 2011
    Magistral Piccoli dans l incarnation d un homme (un pape) mais a mon avis il ne le serait pas que le film serait tout aussi juste et burlesque un homme face a ses doutes et a ses choix un hommage a la liberté façon Nanni Moretti pour moi un pur régal
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 10 septembre 2011
    non seulement c'est original mais c'était un pari risqué que d'accompagner ce pape qui ne veut pas être broyé par la "machine" vaticane, ses pompes et ses conventions. C'est subtil et sensible, drôle et tendre, humain quoi. Plein de questions et des réponses simples en apparence : si on ne veut pas être pape, on peut y renoncer ?
    pandani
    pandani

    35 abonnés 379 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 10 septembre 2011
    J'ai trouvé l'idée de départ plutôt marrante, le début du film plutôt réussi, mais ensuite j'ai complètement décroché, tellement ça traînait en longueur, entre tentatives burlesques ratées et questionnement creux. Je me suis même endormi deux fois ...
    L'AlsacienParisien
    L'AlsacienParisien

    631 abonnés 1 403 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 septembre 2011
    Le sujet du film "Habemus Papam" est délicat mais en même temps très intriguant, car même moi qui ne suis pas croyant, j'ai été curieux de voir le rendu. A la mort du pape, les cardinaux se réunissent en conclave, soit coupé du monde, afin d'élire le nouveau guide du monde catholique. C'est là que commence le long-métrage aux connotations très réalistes. Le cardinal Melville est élu mais rien ne se passe comme prévu dans la célébration de son élection ; le nouveau pape fait une dépression. Un brillant psy, athé, est appelé afin de résoudre ses problèmes. En somme, un scénario-catastrophe pour les fidèles! Le gros coup de coeur du film, c'est de présenter le côté humain de ce cloître religieux, Nanni Moretti met en avant avec un humour malicieux et bien placé ces hommes de Dieu, mais qui sont avant tout des êtres humains avec des sentiments et des émotions. La scène de votes devient alors très comique, entre ceux qui copient sur le voisin et les autres qui prient de ne pas être élu pour ne pas endosser cette responsabilité énorme. L’interprétation de Michel Piccoli est touchante car son personnage "bon vivant" se trouve coincé et adulé par la terre entière contre son gré et cherche refuge en dehors des murs religieux, afin de trouver des raisons et des motifs à son élection. C'est un homme perdu et tourmenté par son existence. Dommage que les raisons profondes de sa dépression, bien que traduites légèrement dans le discours final, restent peu expliquées. L'idée initiale est donc très intéressante, la réalisation est propre et soignée et l'humour bien présent mais au bon d'un moment, le scénario s'épuise et perd de sa conviction. En effet, voir tous les cardinaux faire un tournoi de volley organisé par le psy m'a vraiment pas convaincu, surtout que çà dure un certain temps. Mais rien que pour voir ces images si réalistes prendre une tournure si tragiques, je dirais que le curieux repart satisfait!
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 10 septembre 2011
    Quelques moments drôles mais des longueurs aussi : la scène de Volley-ball, complètement inutile, est interminable. Ce n'est sûrement pas le meilleur film de Nanni Moretti qui nous a habitué à mieux.
    Benedicte B
    Benedicte B

    11 abonnés 40 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 septembre 2011
    Piccolli est magistral et le doute est le vrai personnage du film. Pour le reste, beau debut, bcp d'errence, une fin un peu baclée...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 10 septembre 2011
    Une idée de scénario géniale, pour un film plein d'humour, magnifiquement servi par Michel Picoli. Un trés bon moment de cinéma.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 10 septembre 2011
    Un grand Moretti. Ouf le bon cinéma italien n'est pas mort!
    François C
    François C

    9 abonnés 54 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 septembre 2011
    Du pur plaisir. Avec du sens.Et Piccoli, tout en finesse. À voir en VO.
    ROKENROL
    ROKENROL

    8 abonnés 106 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 septembre 2011
    j'ai passé un très bon moment avec ce film c'est drole, émouvant, michel piccoli en vieil homme dépassé par ce qui lui arrive, et qui fugue pour faire le point sur sa vie... on ri beaucoup dans cet endroit qui a l'air tellement austère... je le recommande a tous
    islander29
    islander29

    859 abonnés 2 353 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 septembre 2011
    Nous avons un pape...Je ne suis pas fan de Nanni Moretti, même si j'estime qu'avec ce film il prend un virage assez osé...Un pape choisi par défaut (la charge étant trop lourde pour ses acolytes) échappe à son contrat en déambulant dans les rues de Rome...Plutot dur d'ouvrir les tiroirs du réalisateur....La psychanalyse est un refrain du film, faut il voir en tout d'homme d'église un sujet à une psychanalyse ? C'est ce que semble penser Moretti mais il le fait avec humour..Le pape rencontre une femme psychanalyste, fantasme ou soumission au pouvoir du sexe ? Le pape est magnifiquement interprété par Michel Piccoli et les cardinaux sont plutot truculents...La partie de volley à la fin du film (presque dix minutes) semble interroger le spectateur sur le pouvoir de l'église, son rôle voire son utilité...Le film est techniquement maitrisé et les couleurs des robes des prélats donnent souvent un spectache joyeux...Pas de lourdeur, de la légèreté permanente, ce voyage dans le monde du vatican est intriguant, mystérieux mais d'un propos rare et à découvrir...L'originalité du film est un atout non négligeable...
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