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    Habemus Papam
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    3,5
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    457 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 14 septembre 2011
    J'ai passé un très bon moment. Ce film est original et ne manque pas d'humour. Dommage, tout de même, qu'il existe certains cliché sur la psychanalyse...
    pirandole
    pirandole

    14 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 septembre 2011
    Beau début, original, bien joué et bien filmé. Dommage que dans la seconde moitoé, on ait l'impression que Nani Moretti ait manqué d'inspiration, et semmble avoir bouché des trous avec des séquences très moyennes
    ninilechat
    ninilechat

    71 abonnés 564 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 septembre 2011
    Quel bonheur, ce film.... qui flirte avec le chef d'œuvre. Habemus Papam m'a coupé le souffle. Première chose: il n'a rien d'anti-clérical. J'ai entendu un de nos édiles ecclésiastiques proférer cette phrase "j'ai vu un film brillant, mais pas priant". Ce qui n'est pas brillant, Monseigneur, c'est de dire cela car le héros, le cardinal Melville, est tout au contraire un être priant, comme on en rencontre peu. Rendons grâce à Michel Piccoli. Le Piccoli, il en a interprété, des rôles de salaud! Eh bien, c'est à peine croyable, dans le rôle de Melville son visage, que l'âge a adouci, rayonne de bonté. Magnifique. Donc, on est en conclave, et le cardinal Melville finit par être élu pape au terme d'une de ces élections où les favoris en viennent à s'annihiler et où surgit un inconnu. Accepte t-il? Dans un premier temps, il est comme émerveillé de ce qui lui arrive, de la reconnaissance de ses pairs. Sur le visage de Piccoli, se mélangent l'incompréhension, une espèce d'allégresse, puis déjà la crainte, et au moment de se présenter au balcon pour dire ses premiers mots, c’est le refus. La fuite. Melville erre dans la Ville. Il rencontre une troupe de comédiens qui répète du Tchekov, son auteur préféré. Il réfléchit, il revoit sa vie. Comment, lui qui a été recalé au concours d'entrée au Conservatoire, pourrait il assumer le cinéma qu'on demande au Souverain Pontife.....
    Voilà, c'est l'histoire d'un homme honnête qui toute sa vie a essayé de faire bien, et à qui on demande de faire quelque chose qu'il ne se sent pas capable d'assumer. Ça pourrait être un homme politique, ou un chef d'industrie (sauf que ceux la n'ont jamais l'humilité de se croire inférieurs à leur poste...) mais c'est un Pape…. Le personnage de Melville est magnifique. L'humanité que lui confère Piccoli est renversante. C'est un grand, grand film, qui nous montre un personnage magnifique... sur fond d'histoire cocasse.
    Car le porte parole du Vatican, le seul laïc de la bande (Jerzy Stuhr) a eu l’idée, puisqu'il y a blocage, de faire venir un psychanalyste. C'est là qu'intervient Nanni Moretti, l'acteur, qui comme d'habitude s'est réservé le rôle le plus ridicule. Psy cocu, abandonné par sa femme (qui ne supportait pas qu'il soit plus grand psy qu'elle), tout à fait bonasse, il accepte ce qu'on lui demande: un traitement analytique en public, devant le conclave, et à condition d'éviter tous les mots comme: sexe, enfance.... Évidemment, l'analyse tourne court. Le porte parole a une idée (plus calamiteuse encore que la première): exfiltrer Melville pour qu'il suive une véritable séance, chez cette femme puisqu'elle serait aussi une excellente psy. Reste que Melville ne peut rien dire, en particulier lorsque la psy essaye de savoir ce qu'il fait dans la vie, jusqu'à ce qu'il se rappelle ce dont il avait rêvé pendant sa jeunesse: je suis acteur, dit-il. C'est à ce moment que, sur le chemin de retour au Vatican, il peut fausser compagnie à son escorte. Le porte parole a une idée (encore!): faire croire à tous que le Pape est retiré en prière dans ses appartements. Un garde suisse est chargé de remuer les rideaux, de se faire apercevoir fugitivement, d'allumer la télévision, et d'engloutir des plateaux de nourriture.
    Donc notre psy bien que parfaitement athée, copine avec les cardinaux qui pensent le nouveau Pape en prières dans ses appartements et tente de préserver leur santé en organisant des matches de basket. Donc, voyez: il y a le côté vraiment comique, mais sans méchanceté, de la vie qui s'organise au Vatican pendant que le porte parole essaye désespérement de s'en sortir, et côté mélancolique et grave de l'errance d'un homme qui cherche à comprendre ce qu'il a à faire. Et ça, cette opposition rire /profondeur, c'est la marque d'un formidable cinéaste.
    206cam
    206cam

    4 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 14 septembre 2011
    Film très décevant. Le sujet de départ est intéressant. Et puis, assez vite, le film se perd dans des scènes qui se veulent comiques mais sont plutôt ridicules. Les cardinaux passent vraiment pour des idiots. Le pape, on ne comprend pas trop ce qui lui arrive. Le psy n'apporte rien si ce n'est sa "superbe" idée de tournoi de volley au Vatican.
    Le film traîne en longueur. Franchement, je déconseille.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 14 septembre 2011
    Les acteurs et l'humour portent ce film qui se cherche des accents dramatiques à travers une longueur inutile
    Marquise_du_chatelet
    Marquise_du_chatelet

    4 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 14 septembre 2011
    Pas vu l'intérêt du film. Au début on se dit "chouette le pape ca se faire analyser par un psy" (Moretti, heureusement qu'il joue pour rehausser le film). Puis plus rien. Pendant quasiment tout le film on voit Piccoli errer dans Rome en se demandant s'il doit être pape. Des scènes se voulant drôles, comme les cardinaux jouant au volley, m'ont paru carrément ridicules.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 14 septembre 2011
    La conviction en la volonté de Dieu, en Dieu lui-même, n'est-ce pas d'abord de croire en soi et de faire ce qui nous semble juste ?
    En quoi la foi est-elle une perte de soi dans une entité supposée existante, c'est-à-dire une projection de soi dans un inconnu, dans une possible mort ? ..
    'Habemus Papam' vendu par la presse comme un chef-d’œuvre de 'construction', 'mélancolique' 'abouti' satirique' 'inventif' et j'en passe n'est rien de tout ça
    sauf pour quelques journalistes avide de se démarquer en décelant l’indécelable ( et qui n'est pas à déceler ) . Pour être concis, 'Habemus Papam' après un début
    intéressant et original assomme et ennuie tout du long, quelques scènes humoristiques et décalées viennent relever le tout, mais en gros, le sujet c'est rien, les
    réflexions sont vides et vouloir les transposer profonde, c'est offrir au film plus de sens qu'il n'en a. Le cardinal, pas content d'être élu pape évidemment, en vient à douter
    de sa foi ( comme ça oui, sans explication ) et donc il refuse de se montrer au fidèle parce que, parce qu'il a des remords ohhh des remords, comme c'est triste ; alors du coup
    le pape, que tout le monde ignore qu'il est pape, il va voir un psy puis il s'échappe ( oui comme ça en trois secondes parce qu'il est champion du cent mètres le pape ) et pendant ce
    temps les autres papes, ils font du volleyball dans le Vatican ( si, si, c'est vrai ) .. Bref je m'arrête là, ne voulant pas plomber le film qui a des qualités malgré tout
    et notamment une scène de fin majestueuse et dérangeante ( enfin dirait-on ) .. De là a parler de réflexion mordante et d'ode à la liberté individuelle..
    Sylvain P
    Sylvain P

    335 abonnés 1 355 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 septembre 2011
    Habemus Papam réussit le tour de force d'être à la fois une comédie, un thriller, un drame psychologique et un film en costume. C'est en soi un exploit et une raison d'y foncer.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 13 septembre 2011
    C’est un film assez correct, mais sans plus, malheureusement. Le « casting » général est remarquable, jusque dans le choix des moindres figurants. Les images sont très belles, les habits des cardinaux, superbes. L’idée de départ est très intéressante. Il y avait de quoi aller très loin. Malheureusement, on reste sur sa faim. Les longueurs, hélas, sont trop importantes : d’une part, le long passage ridicule qui nous montre les cardinaux en train de se dandiner sur une musique ridicule et vulgaire ; d’autre part, l’épisode inutile et démesuré qui est consacré au match de volley… On aurait pu imaginer que le temps regagné sur ces deux passages complètement idiots fût consacré à un approfondissement des interrogations du pape lors des séances chez la psychanalyste. Car il y avait de quoi tirer parti, par exemple, de l’idée d’un pape-acteur,. On sort du cinéma un peu déçu. Aucun élément n’est donné au spectateur pour tenter de comprendre pourquoi un personnage aussi falot a pu être élu pape… Il reste le souvenir d’un rôle difficile et très bien joué, celui du secrétaire général du Vatican. Trois étoiles pour ce film.
    _Royal_
    _Royal_

    126 abonnés 1 600 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 septembre 2011
    Avec cette belle leçon d'humilité sénile, Nanni Moretti illustre à merveille le grand précepte : Et virtute magna, magnum officium est. Qui, pour ceux qui ne parlent pas la langue des dieux signifie, comme Oncle Parker l'a si bien dit, A grand pouvoir, grande responsabilité.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 13 mars 2012
    Alors, sa sainteté va se présenter à vous incessamment sous peu, chers fidèles. Et ... A on m'informe que sa sainteté s'est retiré dans ses appartements pour se recueillir avec le seigneur. Souhaitons-lui la bienvenue parmi nous. Bon, alors qu'est-ce qui se passe ? Pourquoi ne veut-il pas saluer les fidèles ? Une thérapie ? Lui ? Mais pourquoi ?
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 13 septembre 2011
    Ce film est à voir! Michel Piccoli et Nanni Moretti sont parfaits ! Le réalisateur/acteur nous livre une comédie touchante sur les états d'ames du Pape nouvellement élu et écrasé par la pression que représente sa nouvelle charge.
    truefaux
    truefaux

    3 abonnés 5 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 septembre 2011
    "Je préfère ne pas". Michel PICCOLI, le pape, estime la charge trop lourde et ne préfère pas être le guide de tant d'attentes. Quant à Nanni MORETTI, il organise des tournois de volley ball, est enfermé au Vatican, observe les cardinaux bourrés d'antidépresseurs. Où va l'église? Mais surtout quelle réponse la culture peut elle apporter à ce monde en plein désarroi. Triste, Nanni, m'a fait beaucoup de peine.
    Philippe C
    Philippe C

    97 abonnés 1 050 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 septembre 2011
    Scénario original, thème sur le pouvoir, la responsabilité, la liberté. un zeste de frivolité avec des portraits excellents de cardinaux, des égratignures sur la presse, les talk-schows, les psy... tout cela est ien mené et bien joué..mais badaboum il y a ce tournoi international de volley ball par les cardinaux dans les couloirs du vatica, qui tourne tout ça en dérision....dommage !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 12 septembre 2011
    A partir d’un sujet à la base difficile et subtil, Nanni Moretti joue sur des situations censées être sérieuses et les tourne en dérision. Il donne ainsi une dimension comique à Habemus Papam, qui aurait facilement pu être un récit dramatique. Cela aboutit à des situations burlesques qu cassent l’image que l’on pouvait avoir des institutions religieuses de cette ampleur.
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