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    Habemus Papam
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    458 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 21 mars 2013
    Peut être qu'on sera déçu que le film perde la puissance et la créativité... miraculeuse des trois premiers quarts d'heure par la suite. Mais l'idée de scénario qui s'ensuit, si elle parait hors de propos, trop étrangère à ce qu'on espérait, voir inintéressante, est d'une subtilité non ostentatoire, donc pas forcément décelable : il est question de la reconnaissance du chemin si différent de celui qu'il aurait voulu qu’a prit d'un vieillard lucide, de nostalgie, de passion de jeunesse et d'aspiration à une vie simple, traitée de façon légère. Mais passons : qu'est Habemus Papam ? Quand un film rassemble des idées anthologiques, des moments d'humour réjouissants, une interprétation fantastique d'un acteur octogénaire qu'on a rarement autant aimé, une mise en scène profonde, un propos audacieux et une fin imprévisible, sans compromis et néanmoins marquante, un seul mot : chef d'oeuvre. Pas un film de bigot, pas un film d'athée bien qu'on puisse le penser, simplement un film humain, en une pureté et une simplicité divine.
    Flōrens PAB
    Flōrens PAB

    87 abonnés 614 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 6 avril 2020
    Une approche intéressante du mal-être que peut vivre un pape qui ne souhaite pas le devenir. D'ailleurs, au Vatican, il y a une salle prévue a cet effet. Hormis la crise de foi de Michel Piccoli et le porte-parole (Jerzy Stuhr) qui surjoue la joie tout en faisant croire au retour du pape, j'ai trouvé le film très chiant ! Je m'attendais a quelque chose de bien plus fou, de plus incisif.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 6 janvier 2014
    Heureusement que je suis clouée au lit et qu'on m'a pretté quelques dvd. J'ai hésité à changer de film au moins 10 fois mais je suis allé au bout. Je me suis franchement ennuyée. Le film est vraiment long, les personnages peu attachants et le scénario est creux. Le film peut se résumer à une phrase : c'est l'histoire d'un pape qui doute.
    princesseluxiole
    princesseluxiole

    20 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 10 mars 2013
    Sincèrement pas à la hauteur du sujet pourtant fort interessant. Un conclave durant lequel personne ne veut etre élu pour succéder au pape fraichement décédé (tout à fait crédible n'est ce pas?). On finit par élire tout de meme un pape et on lui pose la question de savoir s'il accepte sa charge. Il ne refuse pas lorsqu'il en a l'occasion mais refuse de se montrer au balcon. Il est en plein doute. Et à partir de là c'est l'ennui total, il ne se passe plus rien d'interessant ou de logique dans le film! Une perte de temps et un gachis total sur un sujet très intéressant (et actuel pour le coup). Les 2 premiers episodes de la serie "les Borgia" sont mille fois plus riche et plus réalistes. Comme toutes les personnes ayant donné une demi étoile (pourquoi ne peut on pas mettre un ZERO lorsque c'est mérité?) je me pose des questions sur la note générale donnée à ce navet ridicule et ennuyeux. Que les bobos se persuadent qu'il s'agisse d'un chef d'oeuvre dès qu'on s'emmerde ok, les critiques idem... mais les autres? je ne comprend pas.... Comme le conseille une autre personne: regardez les 15 premières minutes, puis les 3 dernières..... pas la peine de perdre plus de temps. D'ailleurs la fin est tout à fait affligeante, la scene du théatre est ridicule tout simplement. Vous pouvez zapper la fin en fait et plutot aller vous promener, au lieu de perdre votre temps.
    Nico2
    Nico2

    86 abonnés 939 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 janvier 2012
    Après la mort du Pape, le Conclave se réunit afin d’élire son successeur. Plusieurs votes sont nécessaires avant que ne s’élève la fumée blanche. Enfin, un cardinal est élu ! Mais les fidèles massés sur la place Saint-Pierre attendent en vain l’apparition au balcon du nouveau souverain pontife. Ce dernier ne semble pas prêt à supporter le poids d’une telle responsabilité. Angoisse ? Dépression ? Peur de ne pas se sentir à la hauteur ? Le monde entier est bientôt en proie à l’inquiétude tandis qu’au Vatican, on cherche des solutions pour surmonter la crise… Nanni Moretti signe une comédie au sujet original excellemment mis en scène (la scène de l'élection du conclave est formidable d'inventivité). Les acteurs sont excellents (Piccoli est majestueux et Moretti formidable), certaines scènes sont formidables de comique (le match de volley entre cardinaux), et la scène de la consultation a des dialogues formidables. Un très grand moment de cinéma injustement reparti bredouille de Cannes 2011.
    belo28
    belo28

    70 abonnés 1 130 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 septembre 2011
    C'est un film universel contrairement à ce que son sujet pourrait laisser croire... Ce n'est pas une satire sur la religion mais une réflexion sur le doute. Sur les doutes d'un homme puissant. Il n'est jamais question de croyance... Moretti oscille entre la légèreté et la gravité... Entre l'émotion et la joie, n'accentuant jamais un pathos flagrant, ne rendant jamais plus comique que nécéssaire la situation. Tout en retenu Moretti arrive à nous faire douter avec cet homme, Michel Piccoli impeccable (l'acteur de l'année très probablement). Enfaite c'est un film très proche de la religion du Christ, à la fois divin et humain, le film montre à la fois l'intouchable et le touché avec une sensibilité comme on en voit rarement au cinéma, sur un scénario aussi original qu'interessant!
    Marc  Régis
    Marc Régis

    41 abonnés 244 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 13 novembre 2011
    En effet habemus rien du tout... film paresseux, fait par un paresseux. Heureusement qu'il est (re)connu...
    Plume231
    Plume231

    3 928 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 11 octobre 2015
    Un sujet en or qui aurait pu donner un film absolument formidable...
    Le premier quart d'heure était pourtant pas mal avec ce journaliste qui fait du vide pendant je ne sais pas combien de temps pour savoir si la fumée est noire ou blanche (tout ressemblance entre ce journaliste et d'autres journalistes de toute nationalité serait... !!!) et avec les cardinaux qui prient pour ne surtout pas devenir Chef de l'Eglise.
    Mais ensuite.. ceux qui s'attendent à avoir un film autour des relations entre un pape fraîchement élu et qui n'arrive pas à faire face à la lourde charge qui l'attend et son psychanalyste seront déçus puisqu'ils jouent ensemble à tout casser pendant deux minutes.
    Après ça vire au n'importe quoi total avec le pape qui arrive à vadrouiller sans la moindre problème et le psychanalyse, joué par le réalisateur Nanni Moretti qui n'hésite pas une seule seconde à se mettre très prétentieusement en scène, qui arrive à faire jouer aux cardinaux une partie de volley. Et tout cela sans parler d'un rythme aux abonnés absents et de gags franchement minables.
    Au final, on se dit que si c'était pour livrer un résultat aussi déplorable la fumée aurait mieux fait de rester noire.
    Jean-luc G
    Jean-luc G

    69 abonnés 779 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 mai 2018
    En revoyant Habemus papam, j'ai trouvé l'ensemble un peu long et moins percutant que la première fois. Effet de la version française, plus de distance personnelle avec l'Italie? La performance de Piccoli reste étonnante et expressive dans la retenue. Cinéma 2 - mai 2018.
    Illustration frappante de l’idée « Dieu n’existe pas, je l’ai rencontré ». Immersion totale dans un environnement qui nous est proche quand on connait bien l’Italie : visite récente à Rome, présence à Naples lors de l’élection du dernier pape Benoit XVI. Moretti égratigne la pyramide du pouvoir catholique, composée d’hommes âgés pour ne pas dire plus, coupés du monde réel, empêtrés dans un cérémonial et un fatras de strates fossilisées depuis des siècles. Parallèlement, les croyants attendent sincèrement le guide suprême et les scènes filmées de la population sur la place saint-Pierre laissent transpirer la foi à grosses gouttes.
    La psychanalyse ne sort pas indemne non plus, Moretti le meilleur de sa génération ne comprend pas pourquoi sa femme l’a quitté pour un autre psychanalyste !! La première confrontation avec le candidat désigné pape en présence des cardinaux est un petit bijou. Moretti se disperse ensuite un peu dans une partie comédie, le tournoi de volley-ball entre cardinaux est longuet. Il illustre cependant avec un humour qui rappelle Woody Allen le besoin de liberté, de sortir des carcans dans lequel des humains – tout cardinaux qu’ils soient- sont enfermés. Ils ont des émotions, aiment gagner, jouer, se dépasser, être ensemble … voire parier et peut-être tricher… Cette partie du scénario s’égare un peu : Piccoli est parti, pourquoi on garde Moretti sans continuer le traitement, mais c’est mineur.Et puis, il y a Piccoli, qui traverse , que dis-je qui survole le film. Le regard perdu, comme une personne agée en fin de vie, il est dépassé par la charge et comble d’effronterie, et il le dit. L’Eglise n’apprend-t-elle pas à être sincère ? la déclaration finale, appuyée par la présence des cardinaux aux différents balcons est saisissante de désarroi collectif face à une situation qui déstabilise une organisation gigantesque et qui vient de voter par calcul de pouvoir, sa propre pusillanimité.Revenons à Piccoli, l’idée de lui faire révéler son désir jamais accompli d’être acteur est une trouvaille de génie : n’aura-t-il pas fait l’acteur toute sa vie ? Son escapade dans la vraie vie- prendre un café, comment téléphoner, prendre le bus- est une bouffée d’air frais qui balaye un parcours bien balisé.
    Son sourire esquissé au moment de l’élection est éloquent. Pendant que le bureau scrutateur scande Melville, Melville !! Le Pape se regarde jouer l’acteur à la TV, les cardinaux débarquent au théâtre pour finir la pièce interrompue, on est sorti de l’écran, la Rose Pourpre du Caire n’est pas loin. Cinema - septembre 2011 - ****
    Paul F.
    Paul F.

    12 abonnés 246 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 septembre 2011
    En regardant ce très bon film, on se demande quel autre acteur que Michel Piccoli aurait pu tenir ce rôle ? Tout est dans le regard de Michel Piccoli, qui, au moment où il est élu pape par le conclave du Vatican, se rend compte que le ciel vient de lui tomber sur la tête. Un regard paniqué, perdu qui nous fait ressentir l’ampleur de la catastrophe, mais au moment de venir se présenter aux fidèles qui attendent avec ferveur, la panique le saisi et un cri redoutable retentit. Il n’ira pas ! Pendant que les éminences se demandent comment gérer cette crise, lui il fait quoi ? il se tire et va errer dans Rome quelques temps, histoire de réfléchir à tout cela. Très drôle de voir le (nouveau) pape, que personne ne connaît encore, se promener dans Rome pendant que le monde entier a les yeux rivés sur le Vatican, qui lui n’a toujours pas donné l’arrivée. La chute est terrible et magnifique !
    selenie
    selenie

    6 331 abonnés 6 203 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 septembre 2011
    Film sélectionné à Cannes avec lequel Nanni Moretti tape encore là où ça fait mal. D'abord félicitation à Michel Piccoli encore magnifique de A à Z dans lapeau de ce nouveau pape qui se remet en question devant l'ampleur de sa tâche. Parsemé de scène aussi truculente que savoureuse (les cardinaux qui frappent dans les mains, les matchs de volley..) le film pêche sur tout par un manque depoil à gratter. En effet Nanni Moretti réalise là un film anti-clérical mais trop gentil pour atteindre son but, bref pas assez polémique. La fin déçoit dans la forme mais pas dans le fond ; en effet l'annonce est froide et sasn concession mais n'est pas cohérente avec la légèreté du reste du film. On reste donc mitigé, charmé par les quelques scènes succulentes et le jeu e Piccoli mais on reste sur notre faim pour le côté pamphlet trop timide.
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 354 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 8 septembre 2011
    Voir un film de Nani Moretti, pour moi c'est un peu comme entendre le dernier album de Franck Mickaël : ça a beau être estampé "2011", j'ai quand même l'impression que ça vient d'une autre époque. Alors je sais pourtant : c'est la classe de se montrer admirateur du cinéma italien « de la grande époque » mais bon, il n'en reste pas moins que pour un p'tit gamin inculte comme moi qui reste inscrit dans son époque, ce cinéma d'un autre âge me laisse totalement sur la touche. Rien que le milieu dans lequel il s'implante, le Vatican, est un symbole en soi. L'ami Moretti a beau essayer de construire une démonstration pour montrer que ce monde est désormais obsolète, tout tombe malgré tout à l'eau tant l'époque contemporaine qu'il peint en opposition pour lui répondre est tout aussi dépassée et désincarnée que son Église romaine. Et puis franchement, je ne sais pas si l'ambition de Moretti était d'être satyrique, mais cet "Habemus Papam" est aussi corrosif que de l'eau plate. Personnellement, j'ai pouffé de rire pour le final du film tant la dimension que semble donner l'auteur à son propos est totalement en décalage avec sa réalité ! Non mais la blague quoi ! Moretti pensait-il vraiment que son film questionnait l’Eglise ? Qu'il questionnait la société ? Qu'il questionnait l'humain ? Avec sa gentille galerie de petits papys inoffensifs et enfantins qu'il nous peint, on est plus dans le genre fantastique qu’en contact avec une réalité. Et justement, pour un gars qui se plait à endosser dans ce film le rôle d'athée, je le trouve incroyablement complaisant et aveugle. Alors je veux bien entendre que l'enjeu du film est ailleurs, mais franchement où ? Peut-être fallait-il percevoir ce film comme une gentille comédie burlesque totalement innocente et déconnectée de la réalité... Mais quand bien même, quelle purge aussi ! Pas de rythme, peu de propos : le film s'enlise en permanence dans les vieux codes des comédies d'antant. Pour un critique enfermé dans sa surconceptualisation à outrance du cinéma, c'est le paradis, je suis d'accord. Après tout, si votre trip c'est l'analytique et la recherche de références à la con sur le cinéma de Fellini et consorts, allez-y. Mais pour moi qui vais au cinéma pour quelque chose de plus en phase avec mon quotidien et ma réalité, le film n'a rien à proposer. Parce que, désolé de le dire, mais je ne vois absolument pas ce qu'on peut trouver d'amusant dans ce cinéma mou, conventionnel et finalement si peu construit. Paradoxalement, en réalisant cet "Habemus Papam", Moretti s'est livré en fait à un portrait inconscient. A l'image de son gentil pape et de sa gentille Église, il n'a ni conscience de ce qu'il est vraiment, ni la lucidité pour comprendre qu'il appartient à un autre âge...
    velocio
    velocio

    1 319 abonnés 3 151 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 septembre 2011
    Présenté en sélection au Festival de Cannes, "Habemus Papam" est reparti les mains vides. Injustice ? Sans doute en ce qui concerne le prix d'interprétation masculine : tant qu'à le décerner à un français, Michel Piccoli et Joey starr (dans Polisse) le méritaient, à mon avis, beaucoup plus que Jean Dujardin. Sinon, en tant que film de cinéma, donner la palme à "Habemus Papam" eut été, toujours à mon avis, plus justifié que de la donner à "The tree of life", mais certaines longueurs, certaines faiblesses d'"Habemus Papam" n'en faisaient pas la palme idéale. En fait, ce film est une gentille comédie sur les ors de la papauté, un film qui part très fort dans la satire. C'est aussi (surtout ?) une réflexion sympathique sur le doute, sur la peur des responsabilités, sur les regrets qu'on peut avoir vis à vis du chemin qu'on a parcouru et des rêves qu'on a malheureusement enfouis. Tout cela est bel et bon et il y a de très belles trouvailles tout au long du film. Par exemple, cette scène pendant laquelle on entend Mercedes Sosa chanter "Todo Cambia". Malheureusement, Nanni Moretti réalisateur a donné un rôle trop important à Nanni Moretti comédien et cela nous vaut des longueurs, telle cette partie de volley-ball beaucoup trop longue. Par contre, le rôle joué par Michel Piccoli est beaucoup plus intéressant : lors d'un conclave, alors que tous les cardinaux prient pour ne pas être désignés pape, ce cardinal français se retrouve élu par défaut. Après avoir accepté cette intronisation dans un premier temps, il pète les plombs, on fait venir un psy (!) (de très bonnes scènes !), puis on le fait aller chez une psy et il finit par prendre la clé des champs et par rejoindre une troupe de théâtre, lui qui a toujours rêvé de faire du théâtre. Michel Piccoli est absolument prodigieux dans ce rôle. Cela étant, cette fuite en dehors du Vatican rappelle beaucoup "Saving Grace", un excellent film de 1986, jamais sorti en France, réalisé par Robert M. Young, avec Tom Conti dans le rôle du pape. Je crois pouvoir dire que j'avais préféré "Saving Grace" à "Habemus Papam". A titre anecdotique, on notera que Nanni Moretti ne se moque dans son film que d'un seul chef d'état : ... Sarkozy ! Venant de l'Italie de Berlusconi, tout un symbole.
    Redzing
    Redzing

    1 145 abonnés 4 494 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 mai 2016
    Elu pape contre son gré, un cardinal se remet en question, et préfère fuir plutôt que d'assumer son rôle. "Habemus Papam" se moque gentiment du fonctionnement du Vatican, présentant l'institution comme quelques peu déconnectée des réalités, et étouffée par ses traditions. Mais le vrai sujet du film est plutôt le poids du pouvoir. C'est écrasé par celui-ci que le pape (impeccable Michel Piccoli !) doute de lui-même, repense aux voies qu'il n'a pas pu emprunter, et en vient à demander de l'aide à un psychanalyste (profession qui en prend aussi pour son grade). En résulte une œuvre originale, assez osée mais relativement tendre, malgré un final plutôt noir. On notera que la démission inédite du pape Benoît XVI, deux ans après la sortie du film, confère à celui-ci un caractère quasi prophétique...
    Yetcha
    Yetcha

    894 abonnés 4 406 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 novembre 2011
    Réjouissant, osé et original. Moretti nous donne un pape plus vrai que nature à travers un Michel Piccoli tourmenté. Parfois irrévérencieux et parfois pieux, nous pénétrons dans l'antre de la bête et découvrons un milieu totalement décalé. La tournoi de volley-ball est à l'image de ce film, permanent pamphlet voyeuriste (dans le bon sens du terme!). À découvrir pour se changer d'air et de thématique.
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