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27 critiques presse
CNews
par La Rédaction
Génie du trait, Takahata livre un dessin animé à la beauté renversante, aux allures d’aquarelle, qui use de tons clairs et proche de l’épure.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Cahiers du Cinéma
par Stéphane du Mesnildot
Il est très émouvant de voir ces deux vétérans, Miyazaki et Takahata, revenir la même année faire leurs adieux en signant chacun une œuvre maîtresse.
Critikat.com
par Raphaëlle Pireyre
Bien différent du travail de son comparse du studio Ghibli, Hayao Miyazaki, Takahata ne cherche pas la perfection de la représentation par le dessin, mais bien davantage l’évocation.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Elle
par Hélène Villovitch
Subtile et intemporelle, cette histoire fait rêver d'amour et de liberté. Tout simplement !
La critique complète est disponible sur le site Elle
Femme Actuelle
par Cathy Bernheim
Un véritable chef-d’œuvre dont le raffinement nous enchante.
La critique complète est disponible sur le site Femme Actuelle
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Magnifique récit, sublimement mis en images, "Le Conte de la princesse Kaguya" se révèle un des plus beaux films d’animation des studios Ghibli.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Ecran Fantastique
par Yann Lebecque
On reste le souffle coupé devant tant de dureté au sein d'un tel joyau de douceur et de fraicheur, tant de réalisme dans un écrin fantastique. Après les adieux de Miyazaki, Takahata jette un regard glaçant et terriblement poignant sur l'existence dans ce qu'elle a de plus sombre.
La Croix
par Stéphane Dreyfus
"Le Conte de la princesse Kaguya" est d'une splendeur rarement égalée dans le cinéma d'animation. Ce film éclate de beauté, émerveille par sa grâce, émeut par sa douce mélancolie. Un chef d'œuvre.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Une superbe adaptation, toute de sensibilité et de poésie, d’un conte populaire japonais.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Ce film mérite la formule [de nouveau chef d'oeuvre du Studio Ghibli]. Il en a la beauté et l'esprit. La patine d'un conte venu des profondeurs de l'Histoire et de l'inconscient d'une nation, la sobriété délicate d'un dessin qui va à l'essentiel.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Renaud Baronian
(...) même fabriqué artisanalement à coups de crayons, le film est d'un sidérant modernisme. Il faut voir ces scènes dans lesquelles Kaguya court sur des routes japonaises : le dessin s'emballe plus vite que l'héroïne, jusqu'à exploser sous nos yeux. Du jamais-vu.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Après celui de Miyazaki, c’est le grand retour de Takahata avec une splendide adaptation d’un conte libertaire du Moyen-âge.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
TéléCinéObs
par Guillaume Loison
Le résultat est si abouti que ce "Conte..." atteint sans forcer le niveau de pureté des plus beaux joyaux du maître - entre le noir mat du "Tombeau des lucioles" et l'enivrante espièglerie de "Mes voisins les Yamada".
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Stéphane Jarno
"Le Conte de la princesse Kaguya" est une symphonie visuelle, un émerveillement à côté duquel même les chefs-d'oeuvre de Miyazaki passeraient presque pour des produits de grande consommation.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
par Caroline Vié
Le réalisateur du "Tombeau des lucioles" (1988) et de "Mes voisins les Yamada" (2001) s’est entouré de la fine fleur des animateurs japonais pour livrer plus deux heures d’émerveillement dont les teintes pastel et la fluidité dans le mouvement font oublier qu’Isao Takahata ne dessine pas lui-même.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Chronic'art.com
par Sébastien Bénédict
On sait gré à Takahata de revenir encore à ce « degré zéro » de l’écriture animée, qui consiste tout bonnement à faire vibrer un trait, à ne faire rien d’autre qu’y penser le mouvement.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Le graphisme est au diapason de cet appel à la désobéissance : clair et détaillé comme dans les estampes, mais avec un trait irrégulier et élégamment esquissé.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Graphiquement, le film est d'une beauté rarement égalée, on a l'impression de contempler une estampe relevée à l'aquarelle. Ce conte initiatique aborde avec justesse et nostalgie les rêves brisés, les amours sincères, les actes manqués, les bonheurs éphémères, le désir de liberté.
Les Fiches du Cinéma
par Julien Nève
D'une sidérante beauté, “Le Conte de la princesse Kaguya” - que Takahata annonce comme son œuvre ultime - confirme que les fans d'animation sont orphelins.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Didier Péron
Tous les sentiments au premier degré, à vif, que le trait du dessin et la beauté d’aquarelle des décors communiquaient au spectateur sont proscrits afin d’ouvrir sur une expérience constamment différée par la médiation de l’hyperconscience, l’accumulation étouffante des codes culturels et sociaux.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La Rédaction
Dépaysement garanti dans un imaginaire raffiné et captivant.
Première
par Gaël Golhen
(...) Takahata développe un discours de combattant écolo plus sombre et plus radical. (...) La vie cristalline saisie avec une délicatesse de fleur, les personnages vifs, vivants et attachants et les éclats de réalisme quasi documentaire (...) écrasant les plus beaux efforts des grands cinéastes.
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
Voir le site de Studio Ciné Live.
Sud Ouest
par Marie-Christine Luton
Le résultat est d’une telle originalité qu’on pardonne bien volontiers quelques longueurs – le film dure plus de deux heures. C’est une ode à la nature, pleine de fraîcheur et de charme.
TF1 News
par Laurie Hourgeon
C'est d'une poésie et d'une délicatesse infinies.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
(...) un joyau de l’animation japonaise, à la virtuosité réjouissante.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Positif
par Bernard Génin
C'est dans sa seconde moitié que le film intrigue et fascine le plus. Ce que traque Takahaka, c'est l'émotion pure. Il signe un film dont le graphisme a la fluidité jaillissante des croquis faits au fusain sur fonds pastels. Seule réserve, s'il est souvent éblouissant, il n'atteint pas la splendeur des sublimes lavis animés par le chinois Te Wei.
CNews
Génie du trait, Takahata livre un dessin animé à la beauté renversante, aux allures d’aquarelle, qui use de tons clairs et proche de l’épure.
Cahiers du Cinéma
Il est très émouvant de voir ces deux vétérans, Miyazaki et Takahata, revenir la même année faire leurs adieux en signant chacun une œuvre maîtresse.
Critikat.com
Bien différent du travail de son comparse du studio Ghibli, Hayao Miyazaki, Takahata ne cherche pas la perfection de la représentation par le dessin, mais bien davantage l’évocation.
Elle
Subtile et intemporelle, cette histoire fait rêver d'amour et de liberté. Tout simplement !
Femme Actuelle
Un véritable chef-d’œuvre dont le raffinement nous enchante.
Franceinfo Culture
Magnifique récit, sublimement mis en images, "Le Conte de la princesse Kaguya" se révèle un des plus beaux films d’animation des studios Ghibli.
L'Ecran Fantastique
On reste le souffle coupé devant tant de dureté au sein d'un tel joyau de douceur et de fraicheur, tant de réalisme dans un écrin fantastique. Après les adieux de Miyazaki, Takahata jette un regard glaçant et terriblement poignant sur l'existence dans ce qu'elle a de plus sombre.
La Croix
"Le Conte de la princesse Kaguya" est d'une splendeur rarement égalée dans le cinéma d'animation. Ce film éclate de beauté, émerveille par sa grâce, émeut par sa douce mélancolie. Un chef d'œuvre.
Le Dauphiné Libéré
Une superbe adaptation, toute de sensibilité et de poésie, d’un conte populaire japonais.
Le Monde
Ce film mérite la formule [de nouveau chef d'oeuvre du Studio Ghibli]. Il en a la beauté et l'esprit. La patine d'un conte venu des profondeurs de l'Histoire et de l'inconscient d'une nation, la sobriété délicate d'un dessin qui va à l'essentiel.
Le Parisien
(...) même fabriqué artisanalement à coups de crayons, le film est d'un sidérant modernisme. Il faut voir ces scènes dans lesquelles Kaguya court sur des routes japonaises : le dessin s'emballe plus vite que l'héroïne, jusqu'à exploser sous nos yeux. Du jamais-vu.
Les Inrockuptibles
Après celui de Miyazaki, c’est le grand retour de Takahata avec une splendide adaptation d’un conte libertaire du Moyen-âge.
TéléCinéObs
Le résultat est si abouti que ce "Conte..." atteint sans forcer le niveau de pureté des plus beaux joyaux du maître - entre le noir mat du "Tombeau des lucioles" et l'enivrante espièglerie de "Mes voisins les Yamada".
Télérama
"Le Conte de la princesse Kaguya" est une symphonie visuelle, un émerveillement à côté duquel même les chefs-d'oeuvre de Miyazaki passeraient presque pour des produits de grande consommation.
20 Minutes
Le réalisateur du "Tombeau des lucioles" (1988) et de "Mes voisins les Yamada" (2001) s’est entouré de la fine fleur des animateurs japonais pour livrer plus deux heures d’émerveillement dont les teintes pastel et la fluidité dans le mouvement font oublier qu’Isao Takahata ne dessine pas lui-même.
Chronic'art.com
On sait gré à Takahata de revenir encore à ce « degré zéro » de l’écriture animée, qui consiste tout bonnement à faire vibrer un trait, à ne faire rien d’autre qu’y penser le mouvement.
L'Humanité
Le graphisme est au diapason de cet appel à la désobéissance : clair et détaillé comme dans les estampes, mais avec un trait irrégulier et élégamment esquissé.
Le Journal du Dimanche
Graphiquement, le film est d'une beauté rarement égalée, on a l'impression de contempler une estampe relevée à l'aquarelle. Ce conte initiatique aborde avec justesse et nostalgie les rêves brisés, les amours sincères, les actes manqués, les bonheurs éphémères, le désir de liberté.
Les Fiches du Cinéma
D'une sidérante beauté, “Le Conte de la princesse Kaguya” - que Takahata annonce comme son œuvre ultime - confirme que les fans d'animation sont orphelins.
Libération
Tous les sentiments au premier degré, à vif, que le trait du dessin et la beauté d’aquarelle des décors communiquaient au spectateur sont proscrits afin d’ouvrir sur une expérience constamment différée par la médiation de l’hyperconscience, l’accumulation étouffante des codes culturels et sociaux.
Ouest France
Dépaysement garanti dans un imaginaire raffiné et captivant.
Première
(...) Takahata développe un discours de combattant écolo plus sombre et plus radical. (...) La vie cristalline saisie avec une délicatesse de fleur, les personnages vifs, vivants et attachants et les éclats de réalisme quasi documentaire (...) écrasant les plus beaux efforts des grands cinéastes.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Sud Ouest
Le résultat est d’une telle originalité qu’on pardonne bien volontiers quelques longueurs – le film dure plus de deux heures. C’est une ode à la nature, pleine de fraîcheur et de charme.
TF1 News
C'est d'une poésie et d'une délicatesse infinies.
aVoir-aLire.com
(...) un joyau de l’animation japonaise, à la virtuosité réjouissante.
Positif
C'est dans sa seconde moitié que le film intrigue et fascine le plus. Ce que traque Takahaka, c'est l'émotion pure. Il signe un film dont le graphisme a la fluidité jaillissante des croquis faits au fusain sur fonds pastels. Seule réserve, s'il est souvent éblouissant, il n'atteint pas la splendeur des sublimes lavis animés par le chinois Te Wei.