AlloCiné
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Votre avis sur Barbie ?
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Avec un tel succès, difficile de ne pas être déçu, en particulier par la deuxième partie.
La première partie est appréciable par son casting (avec Margot Robbie et Ryan Gosling qui se donnent a fond), ses choix audacieux de mise en scène (particulièrement la décoration) et son humour (lorsque Barbie et Ken arrivent dans le vrai monde). Ca marche bien, ça se veut plutôt léger. Et après, ça se corse, la deuxième partie, le retour de Barbie dans son monde est ennuyeux, le discours féministe devient lourd et répétitif.
La première partie est appréciable par son casting (avec Margot Robbie et Ryan Gosling qui se donnent a fond), ses choix audacieux de mise en scène (particulièrement la décoration) et son humour (lorsque Barbie et Ken arrivent dans le vrai monde). Ca marche bien, ça se veut plutôt léger. Et après, ça se corse, la deuxième partie, le retour de Barbie dans son monde est ennuyeux, le discours féministe devient lourd et répétitif.
Je ne voulais pas voir ce film. Mais à force d'entendre des personnes sérieuses et cultivées dire qu'elles avaient aimé, je me suis décidé à le regarder.
J'ai tenu 1/4 d'heure. Et je suis dégouté du rose jusqu'à la fin de ma vie...
J'ai tenu 1/4 d'heure. Et je suis dégouté du rose jusqu'à la fin de ma vie...
Le film était mauvais au point que les bavardages à voix haute n’étaient pas repris. (PS Il est à regret que mon bon mot seul ne suffise pas au « nombre de caractères » exigés). Il est de ces silences éloquents….
Christoblog
Barbie est un film savonnette. Jusqu'à la grande tirade centrale qui éclaircit le propos du film, on ne sait pas trop ce qu'on est en train de regarder tant les situations peuvent être lues de manière différente.
Les stéréotypes sexistes et féministes sont en effet exposés de multiples façons, qui ne permettent pas de déterminer nettement la part de moquerie, de burlesque et de militantisme que contient chaque scène.
En ce sens, Barbie m'a rappelé le cinéma des Monty Python : des scènes plus ou moins réalistes découlant de situations initiales complètement absurdes, un travail de déconstruction du langage sensible dans chaque dialogue, de la drôlerie parfois teintée d'un surréalisme extrême, le tout entraînant au final un sentiment de sidération inquiète chez le spectateur.
Le film est donc passionnant à regarder et suscite de nombreuses réflexions. La direction artistique est exceptionnelle et l'interprétation de Ryan Gosling mémorable. Margot Robbie assure le job avec un aplomb étonnant.
L'univers que propose le film, dans ses allers-retours entre le monde de plastique rose de Barbie et la réalité, est tellement riche qu'on peut s'attendre au développement d'une franchise juteuse pour Mattel, qui accepte d'ailleurs d'être copieusement ridiculisé dans sa propre production : l'un des nombreux et réjouissant paradoxe de Barbie.
Les stéréotypes sexistes et féministes sont en effet exposés de multiples façons, qui ne permettent pas de déterminer nettement la part de moquerie, de burlesque et de militantisme que contient chaque scène.
En ce sens, Barbie m'a rappelé le cinéma des Monty Python : des scènes plus ou moins réalistes découlant de situations initiales complètement absurdes, un travail de déconstruction du langage sensible dans chaque dialogue, de la drôlerie parfois teintée d'un surréalisme extrême, le tout entraînant au final un sentiment de sidération inquiète chez le spectateur.
Le film est donc passionnant à regarder et suscite de nombreuses réflexions. La direction artistique est exceptionnelle et l'interprétation de Ryan Gosling mémorable. Margot Robbie assure le job avec un aplomb étonnant.
L'univers que propose le film, dans ses allers-retours entre le monde de plastique rose de Barbie et la réalité, est tellement riche qu'on peut s'attendre au développement d'une franchise juteuse pour Mattel, qui accepte d'ailleurs d'être copieusement ridiculisé dans sa propre production : l'un des nombreux et réjouissant paradoxe de Barbie.
Un film qui se prétend être une comédie traitant de thématiques profondes comme le consumérisme, les injonctions sociales, le féminisme mais tout le propos tombe à plat. Le scénario est minable et va dans tous les sens, les dialogues sont creux, insipides et ne mènent à rien. Les acteurs ne sont pas convaincus donc pas convaincants. L'intrigue n'en est pas une, c'est mal écrit et tiré par les cheveux. Un navet à montrer en école de cinéma pour quiconque souhaite savoir tout ce qu'il ne faut pas faire pour réussir un film. Je suis étonné des notes aussi élevées. Une purge de 2h.
Oui c'est 100% marketing Mattel certes. Pour autant c'est doux, léger, parfois drôle, les décors vraiment dingues pour la petite fille qui sommeille en moi, et le propos féministe habile. Un plaisir non coupable.
J'ai adoré du début à la fin!
2 mondes parallèles, la fin avec l'inventrice de la poupée un moment que j'ai bien apprécié.
2 mondes parallèles, la fin avec l'inventrice de la poupée un moment que j'ai bien apprécié.
patriarcat patriarcat patriarcat.... voilà tout ce que l'on retient du film... Film vantant le mérite des femmes et dénonçant les hommes ... Militantisme de bas étage , du pure wokisme ... Dommage qu'on puisse pas mettre 0
Je l'ai trouvé génial les couleurs les acteurs, rien n'est laisse au hasard du début à la fin ce film est très drôle il reprend parfaitement les scénarios que peuvent créer les petites filles en mettant parfois Ken de côté, ce qui rend encore plus drôle le rôle de Ryan G qui essaye de se sortir de ça. Je le recommande à 100% j'ai beaucoup ri du début à la fin
Sous ses paillettes, le film "Barbie" manque cruellement d'ancrage, offrant une vision simpliste et déconnectée du monde réel.
UNE FABLE DE LA CONDITION HUMAINE. « Barbie » n’est ni un film féministe, ni un film anti-féministe, mais un film initiatique. C’est-à-dire capable d’enclencher chez ses spectateurs un processus de transformation intérieure. Dans les sociétés primitives, les rites initiatiques coïncidaient souvent avec la puberté et la maturité sexuelle et marquaient donc le passage du monde de l’enfance à celui des adultes. Au début du film, Barbie est un jouet, une poupée, un objet genré, mais non sexualisé. A la fin du film,
spoiler:
on comprend qu’elle choisit de devenir une femme humaine
. Mais pour y parvenir, elle a dû surmonter des épreuves. En suivant le schéma de Joseph Campbell, Barbie est extraite de son monde parfait par un évènement extérieur : les pensées morbides d’une petite fille. Or, la mort n’existe pas à BarbieLand, monde idéalisé construit par l’imagination sur lequel le temps n’a pas de prise. Nous sommes en pleine dualité platonicienne entre le monde des idées et le monde réel. Barbie va « sortir de sa caverne » pour franchir la frontière qui sépare les deux mondes (en traversant les 4 éléments : terre (voiture, vélo), eau (bateau), air et feu (fusée)). En quête de son identité profonde, elle explique à Ken (et au spectateur) qu’il n’est pas ce à quoi il est identifié (par les autres). Le premier enjeu de l’adolescence, c’est de comprendre que l’individu n’est pas réductible aux projets que son entourage a pour lui. Le second enjeu vise à surmonter la peur de la mort qui vient avec la prise de conscience de sa propre finitude. La flèche du temps mène à la décrépitude (la cellulite de Barbie) et cette pensée est forcément anxiogène. La solution passe par l’initiation : une naissance symbolique choisie et non plus subie, comme notre venue au monde. A la fin du film, spoiler: Barbie désire faire partie des personnes qui imaginent et non plus des objets qui sont imaginés, c’est-à-dire de passer du statut d’idée (immortelle) à celui d’humain (mortel)
. En miroir au fameux tableau de Michel Ange, Ruth Handler, la créatrice / Dieu, prend la main de Barbie / Adam et lui accorde la capacité de respirer… et d’aller consulter un gynéco ! On remarque au passage que les figures masculines de la Bible sont maintenant féminines. Mais au-delà de l’éternelle question du sexe des anges, le message vivifiant et cathartique du film, c’est que tout un chacun peut s’autoriser à ressentir, à être humain et dispose de la capacité de prendre son destin en main. En d’autres termes, que la vie vaut la peine d’etre vécue et qu’elle a un sens. C’est tout l’objet de l’initiation et pourquoi « Barbie » (le film et pas seulement la poupée) peut être considéré, au-delà du divertissement acidulé, comme un objet transitionnel, c’est-à-dire un lien entre la réalité extérieure et le monde intérieur ou, dit autrement, comme une authentique fable de la condition humaine.
. Mais pour y parvenir, elle a dû surmonter des épreuves. En suivant le schéma de Joseph Campbell, Barbie est extraite de son monde parfait par un évènement extérieur : les pensées morbides d’une petite fille. Or, la mort n’existe pas à BarbieLand, monde idéalisé construit par l’imagination sur lequel le temps n’a pas de prise. Nous sommes en pleine dualité platonicienne entre le monde des idées et le monde réel. Barbie va « sortir de sa caverne » pour franchir la frontière qui sépare les deux mondes (en traversant les 4 éléments : terre (voiture, vélo), eau (bateau), air et feu (fusée)). En quête de son identité profonde, elle explique à Ken (et au spectateur) qu’il n’est pas ce à quoi il est identifié (par les autres). Le premier enjeu de l’adolescence, c’est de comprendre que l’individu n’est pas réductible aux projets que son entourage a pour lui. Le second enjeu vise à surmonter la peur de la mort qui vient avec la prise de conscience de sa propre finitude. La flèche du temps mène à la décrépitude (la cellulite de Barbie) et cette pensée est forcément anxiogène. La solution passe par l’initiation : une naissance symbolique choisie et non plus subie, comme notre venue au monde. A la fin du film, spoiler: Barbie désire faire partie des personnes qui imaginent et non plus des objets qui sont imaginés, c’est-à-dire de passer du statut d’idée (immortelle) à celui d’humain (mortel)
. En miroir au fameux tableau de Michel Ange, Ruth Handler, la créatrice / Dieu, prend la main de Barbie / Adam et lui accorde la capacité de respirer… et d’aller consulter un gynéco ! On remarque au passage que les figures masculines de la Bible sont maintenant féminines. Mais au-delà de l’éternelle question du sexe des anges, le message vivifiant et cathartique du film, c’est que tout un chacun peut s’autoriser à ressentir, à être humain et dispose de la capacité de prendre son destin en main. En d’autres termes, que la vie vaut la peine d’etre vécue et qu’elle a un sens. C’est tout l’objet de l’initiation et pourquoi « Barbie » (le film et pas seulement la poupée) peut être considéré, au-delà du divertissement acidulé, comme un objet transitionnel, c’est-à-dire un lien entre la réalité extérieure et le monde intérieur ou, dit autrement, comme une authentique fable de la condition humaine.
J'en attendais beaucoup et j'ai été très déçue !!! pour moi c'est surtout un film commercial, je me suis ennuyée du début à la fin, un pur navet selon moi ! je déconseille fortement !
Objectivons
Je redoutais que cela soit mauvais, mais non : si l'on met de côté l'évidente grossière publicité pour Barbie, c'est assez sympathique à regarder - bien qu'il n'y ait rien de révolutionnaire. Le style est tout de même assez original lorsque l'intrigue se déroule au pays de Barbie. Margot Robbie et Ryan Gosling correspondent à leur rôle.
j'ai vu le film Barbie en streaming car je ne voulais pas payer pour aller voir ce genre de film, et bien j'avais raison ce film est simplement très mauvais, le message qui l'envoi veut bien faire mais c'est très mal fait, j'ai l'impression qu'ils se foutent de la gueule des hommes tout le long du le film, j'ai plein de choses encore mais si je les dis je vais dire ma haine pour ce film, bref le film barbie qu'on vend depuis des mois et qui a dépassés le milliard est tout simplement mauvais, c'est pour cela que je lui mettrai la note de 2/10
J'attendais ce film avec impatience. Barbie ? Mais qu'est ce qu'ils vont bien pouvoir raconter ?
On commence le film dans BarbieLand, que seuls Mattel (genre de MIB) et le FBI connaissent et là je me dis ils sont partie en vrille, c'est génial, ca va envoyer de l'humour au 3e degré, de l'autocritique.
Les décors Barbie recrées à la perfection, la voix off, tout ça permet de casser le codes de la narration classique et de créer du décalage dans la lecture du film.
Les acteurs jouent très bien (chapeau bas à Margot Robbie).
Cependant 1/4 d'heure de ce régime devient vite pesant mais bon voilà Barbie et Ken qui arrivent dans le monde réel, ca promet de faire des étincelles.
Sauf que le feu d'artifice fait pshitt...
Les 2 protagonistes sont lâchés dans le vrai monde, à savoir la Floride, jungle urbaine dirigée par le Mâle.
Et là c'est le drame, il ne se passe plus rien, ca part dans tous les sens, on suit leurs déboires sans hausser un sourcil, les prises de conscience successives n'émeuvent pas, aucun humour, aucun scenario, aucune subtilité dans les débats et réflexions.
Cependant au bout d'une heure tout change radicalement. Une fois l'ecran éteint et le son coupé, je me suis remis à lire la Nuit des Temps de Barjavel et du coup j'ai passé un tres bon moment. Ca marche aussi pour le repassage, le dodo, les jeux video, la méditation, un débat télé, un reportage Arte sur la condition de la femme au 18e siècle Bref n'importe quelle activité me semble plus intéressante que la seconde moitié du film.
Je vous conseille donc de regarder le 1er quart d'heure pour le jeu de Barbie et les décors, parfaits, ainsi que la bande son, très réussie. Puis utilisez les 70 minutes restantes pour faire une activité vraiment distrayante et enrichissante.
Dommage donc car ca aurait pu être un véritable chef d'œuvre, vu la direction artistique et le jeu des acteurs mais cette œuvre sans finesse ne fera ni avancer la cause des femmes ni ne vous permettra de rire franchement.
On commence le film dans BarbieLand, que seuls Mattel (genre de MIB) et le FBI connaissent et là je me dis ils sont partie en vrille, c'est génial, ca va envoyer de l'humour au 3e degré, de l'autocritique.
Les décors Barbie recrées à la perfection, la voix off, tout ça permet de casser le codes de la narration classique et de créer du décalage dans la lecture du film.
Les acteurs jouent très bien (chapeau bas à Margot Robbie).
Cependant 1/4 d'heure de ce régime devient vite pesant mais bon voilà Barbie et Ken qui arrivent dans le monde réel, ca promet de faire des étincelles.
Sauf que le feu d'artifice fait pshitt...
Les 2 protagonistes sont lâchés dans le vrai monde, à savoir la Floride, jungle urbaine dirigée par le Mâle.
Et là c'est le drame, il ne se passe plus rien, ca part dans tous les sens, on suit leurs déboires sans hausser un sourcil, les prises de conscience successives n'émeuvent pas, aucun humour, aucun scenario, aucune subtilité dans les débats et réflexions.
Cependant au bout d'une heure tout change radicalement. Une fois l'ecran éteint et le son coupé, je me suis remis à lire la Nuit des Temps de Barjavel et du coup j'ai passé un tres bon moment. Ca marche aussi pour le repassage, le dodo, les jeux video, la méditation, un débat télé, un reportage Arte sur la condition de la femme au 18e siècle Bref n'importe quelle activité me semble plus intéressante que la seconde moitié du film.
Je vous conseille donc de regarder le 1er quart d'heure pour le jeu de Barbie et les décors, parfaits, ainsi que la bande son, très réussie. Puis utilisez les 70 minutes restantes pour faire une activité vraiment distrayante et enrichissante.
Dommage donc car ca aurait pu être un véritable chef d'œuvre, vu la direction artistique et le jeu des acteurs mais cette œuvre sans finesse ne fera ni avancer la cause des femmes ni ne vous permettra de rire franchement.
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