Avis : Barbie - Page 5

Un des films les plus attendus de l année, pour un rendu excellent une attente qui tient ses promesses. Un film à double sens qui dénonce le "monde" et la société d'aujourd'hui, tout en étant drôle au moment où il le faut, en étant touchant au moment où il le faut ! Casting impeccable ! une BO superbe ! Un super film !

Je m'attendais à voir une satyre sociale sous fond de discours féministe, je me suis retrouvée face à un block buster américain idiot et soporifique.
Aucun message pertinent, aucune finesse.
Les decors rattrapent un peu la chose enfin nous retiennent a peine les yeux ouverts.

Le film était moyen, la réalisation est propre mais le scénario du film est très manichéen, les femmes sont parfaites et les hommes sont des débiles qui ne pensent qu'à la bagarre et aux chevaux. J'ai l'impression que le film rempli juste un quota de progressisme, spoiler: à la fin du film le père prononce quelque chose en espagnol et sa fille répond en disant que c'est de l'appropriation culture
Bref, ce film plaira surement aux bourgeoises de TikTok et Instagram en quête de combat.

Vraiment bluffée par Barbie ! C'est barré, très engagé, fin, fun, drôle. On est captivé par le monde de Barbie et le film interroge beaucoup sur la place des hommes et des femmes dans la société et toutes les contradictions auxquelles les femmes font encore face aujourd'hui. Un film visuellement marquant avec des messages forts !

franchement nul. message feministe ecoeurant. tous les hommes sont des debiles. et les femmes esclaves sont parfaites. scenario zero, musique zero, acteurs zero... rien à sauver.

Un film d’un ennui total. J’ai passé toute la séance à me demander ce que je faisais là. Scénario inexistant.

Extrêmement décevant pourtant j'y allais avec de bonnes intentions. Passez votre chemin à part si le féminisme actuel est votre combat de tous les jours (même avec ça les autres éléments pourraient vous faire tiquer).

C'est tous les poncifs néoféministes pendant 2h (et très peu subtiles), saupoudrés d'une réal aux fraises complet, d'un semblant de parodie ratée. Il y a quelque blague méta ou bien senties mais c'est seulement quelque coup de brumisateur en plein désert scénaristique. Certaines parties sont des coupures pubs pour Chevrolet qui a dû mettre un bon gros billet pour avoir de tels plans.

En bref on regrette que ce film soit sorti à notre époque sachant qu'il y avait sûrement mieux à faire et à transmettre. Dommage pour Margot Robbie qui fournit tout de même un visuel de qualité et une prestation correcte mais ça c'était attendu. Le film va diviser c'est certain et je souhaite du bon courage à ces messieurs qui iront subir ça en famille.

Je suis une maman, j'ai trois filles et un garçon et en regardant Barbie, j'ai eu pitié de mon fils et de tous les hommes dans la salle. Qu'en aurait-on pensé si on avait inversé les rôles. C'est triste pour les familles qui ont été voir ce film. Pas de romantisme, pas de belle histoire où Ken soutient barbie. Tous les ingrédients que l'on trouve habituellement dans un Barbie n'étaient pas présents.

barbie est extrêmement surprenant. tout en adaptant à la perfection le monde girly qu'est le monde de barbie, le film nous offre une vrai histoire extrêmement bien construite. on nous raconte une histoire qui ne paraît pas démesurée et qui est extrêmement entraînante. les acteurs sont tous brillant et nous offre des performances toutes remarquable et les blagues marchent toutes a la perfection. la ou je trouve que le film pose légèrement problème, c'est avec certain sous-entendu un peux adulte (même si je dois dire que sa m'a bien fait marrer), et que le côté des "Ken" n'est pas assez mis en avant. Le féminisme est abordée d'une excellent manière dans le film et surtout de manière pertinente sans exagération, mais on oublie un peux trop le côté masculin. même si le film se rettrape bien à la fin notamment avec le perso de ryan gosling. l'égalité homme femme a barbieland aurait pu mieux être abordée. j'ai passer un incroyable moment, tout le monde a ris et malgrées ses petits défaut je ne peux que le recommander.
(ps : warner, engager autre chose que des youtubeurs pour la vf, vraiment une vf aussi bâclée c'est assez honteux...)

Les scénaristes font probablement la PIRE ERREUR: ne pas mentionner dès le départ, leurs intention de créer un ville barbieland dans....... ""un monde parallèle"", alors au début du film, ont ne comprend pas les comportements très étrange et bizarre...... ont comprend qu'a 20 minutes du film, les intentions et sous entendu et les motivations......

Problème numéro 1: POURQUOI créer un monde parallèle barbie ???? Une barbie dans le monde réel aurait été largement mieux et plus crédible..... Ça ne sert a rien......

Problème numéro 2: pourquoi les personnages dans la ville parallèle ""barbieland"", sont toutes, soi des barbie, soi des ken....... POURQUOI ???? Une seule barbie et un seul ken n'est pas suffisant ??? ...... sachant qu'en plus l'histoire va ce centrer sur UNE SEULE barbie ET UN SEUL ken des plus stérotypé possibles..... (ont la nome d'ailleurs ""la barbie stéréotypé"") 😑😑

Problème numéro 3: Des dialogues totalement nanardesque au plus insupportable....... Des situations gênantes au situations honteuses, des moments stupides, des passages complètement lunaires.....MATTEL est représenté comme une grosse agence gouvernementale, avec plein d'agent en costume cravate.....😒😒

Barbie (Margot Robbie) vit une vie plus que parfaite à Barbieland jusqu’au jour où des pensées morbides l’assaillent et de la cellulite apparaît sur ses cuisses. Le seul remède : retrouver dans le monde réel sa propriétaire qui a causé ces changements funestes. La jeune femme se lance dans cette périlleuse odyssée en compagnie de Ken (Ryan Gosling). Elle y découvre que les femmes sont un objet de concupiscence et que le patriarcat domine. De retour à Barbieland, Ken, trop content de sortir de l’état de domination dans lequel lui et les siens étaient maintenus jusqu’alors, décide de renverser l’ordre établi. Toutes les Barbies devront s’unir pour éviter cette subversion.

Je n’avais pas réussi à trouver une place pour aller voir "Barbie" en avant-première le 18 juillet. J’ai dû ronger mon frein (je suis en effet très souple !) une dizaine de jours avant d’aller le voir hier soir dans une salle encore presqu’aussi comble dont j’étais probablement le plus vieux spectateur. Voilà qui m’a agréablement changé des retraités narcoleptiques et des chômeurs en fin de droit dont je suis régulièrement entouré dans des salles quasi-vides devant des films kazakhs en noir et blanc.

Le pitch génial de "Barbie" lui garantissait une large audience : « Si vous aimez Barbie, ce film est pour vous. Si vous détestez Barbie, ce film est pour vous aussi ». Le succès est au rendez-vous : "Barbie" génèrera probablement plus d’un milliard de recettes à travers le monde et a déjà attiré 2,6 millions de spectateurs en France en deux semaines d’exploitation à peine.

Je me faisais une joie régressive d’aller voir ce film. J’ai été bien déçu. Pour deux raisons.

La première était la curiosité suscitée par la mise en scène de cet univers kitchissime. La production n’a pas lésiné sur les moyens. Les décors roses et plastiques de boîtes à jouets, inspirés du design californien du milieu du siècle dernier, réduits à l’échelle 0.77, sans murs, ni portes, ni escaliers, n’ont pas eu recours aux images de synthèse. Les costumes de Barbie et de Ken donnent irrésistiblement envie de (re) jouer à la poupée. Mais, l’effet de surprise dissipé au bout de quelques minutes, tout ce kitsch écœure ; tout ce rose donne la nausée.
Plus grave : l’humour qu’on m’avait tant vanté était aux abonnés absents. Certes, il faut rendre crédit à Ryan Gosling trop souvent accusé de n’avoir aucun talent. C’est lui, plus que Margot Robbie pourtant sublime, qui est le vrai héros du film – et le réel moteur de son scénario. Sa bêtise bas du front est réjouissante. Mais elle n’est pas hilarante. Je n’ai pas ri une seule fois devant "Barbie" et ne me souviens pas d’une punchline, d’une situation devant laquelle j’aurais dû m’esclaffer si j’avais été plus indulgent. Je regrette notamment que la VF ne se soit pas autorisé les allusions salaces qui m’auraient fait glousser (« Barbie n’a pas envie de Ken » par exemple aurait suffi à mon bonheur).

La seconde est plus substantielle. En allant voir "Barbie", j’imaginais spontanément qu’il s’agirait d’un procès en règle du stéréotype hypergenré renvoyé par la bombasse de Mattel. J’ai été immédiatement dérouté par le postulat de départ : Barbieland n’est pas, contrairement au préjugé que j’en avais, un repère de bimbos décérébrées, mais au contraire une gynocratie de femmes fortes, assumant tous les métiers possibles (une présidente gouverne depuis une Maison Blanche… rose et la Cour suprême est composée de neuf femmes) et où le seul rôle des hommes (les Kens) est de les idolâtrer. C’est seulement en revenant du monde réel que Ken plante à Barbieland la mauvaise graine (métaphore condamnée à rester platonique faute pour Barbie et Ken de posséder des organes génitaux) : le patriarcat.

Le film de Greta Gerwig, dont on escomptait plus de chien, mais que le service juridique de Mattel a peut-être obligé à retenir ses coups, se termine par conséquent dans la morale tiédasse d’un dessin animé de Pixar dont l’esthétique semble tout droit sortie d’une publicité d’une Église évangélique : non pas une critique à boulets rouges de la phallocratie, non pas un plaidoyer vibrant pour les femmes et leur libération, mais un appel ultra-consensuel à toutes les Barbies et à tous les Kens à être soi-même. Pouah…..

Oh My God... j'ai trouvé ça tellement mauvais... Apparemment, nous, le publique, sommes tellement décérébré qu'il faut nous rabâcher la même philosophie de comptoir pendant 1h 40 pour que l'on comprenne. Rassurez vous, messieurs les producteurs, madame la réalisatrice, on avait saisi dès les premières 10 minutes, vu les poncifs que vous utilisez... Aucun intérêt par ailleurs: direction d'acteurs absente, montage et lumière impersonnels, musique bof, décors grossiers (on va me retorquer que c'est fait exprès...). Bref, Margot Robbie et Ryan Gosling auraient dû s'abstenir, moi aussi .

Ce film est un mélange entre ennui mortel et consternation. On s'entend faire la morale pendant 2h avec des dialogues ras les pâquerettes qui n'enfoncent que des portes ouvertes. C'est affligeant et barbant. J'aurais espéré que les barbies (donc les femmes) soient plus intelligentes que ce pour quoi elles font passer les hommes dans le film mais que nenni ! Vraiment à fuir !

Par pur curiosité, je me suis retrouvé devant ce film, Lourd , LOURD , LOUUURD. Je pensais que ca allait être satirique, intelligent et original, mais riens de tout Ça. IL n y a aucune subtilité, l'humour ne fait pas rire, littéralement la salle était muette tout le long du film, les gens ne riaient pas, ca en fait des caisses, visuellement, musicalement et politiquement. Le message de la conditions des femmes dans notre société nous ai rendu de la pire façon. Ma femme et moi n en pouvions plus, c'était dure de tenir jusqu à la fin. N y aller vraiment pas, c'est une ode à la médiocrité, ça applaudit le niveau 0, et ce veut révolutionnaire, moderne et ne l'ai jamais, c'est bete bete bete bete bete. Meme en le prenant au 36 degré ca reste mauvais. NULLL

A l'annonce du projet, je n'attendais vraiment rien d'un film sur la poupée Mattel. Sauf, qu'entre les mains de Greta Gerwing, ça ne pouvait pas être aussi débile que les animés issus de la licence.
Je me suis donc lancé, sans rien avoir vu ou lu sur le film, le trio Gerwing-Robbie-Gosling suffisant largement à attiser ma curiosité.
Et le résultat est plutôt pas mal du tout.

Alors, visuellement, il y a un vrai travail. L'univers rose bonbon, très naïf, où tout le monde est gentil est vraiment bien retranscrit. Et c'est bourré de références, au jouet, bien sûr, mais surtout cinématographique, comme avec cette scène d'ouverture assez géniale.
Le film est gavé d'humour, et là j'ai une première limite, c'est que même si certains passages sont vraiment très drôle, c'est souvent un peu lourd et certaines blagues m'ont laissé de marbre.

Mais bizarrement, le film ne s'adresse pas aux gamins.
En effet, même s'ils seront sûrement ravis par l'univers coloré, les chansons et les blagues un peu débiles, ils risquent de passer à côté de pas mal de choses et de trouver le temps long.

Parce que BARBIE va bien plus loin que la grosse blague, en abordant des thèmes comme le féminisme, le patriarcat, la place de l'homme et la femme dans la société ou encore le capitalisme. Et même si c'est un peu facile par moment, c'est assez bien écrit pour que le discours passe et ça arrive même parfois à être surprenant.
Puis, il y a un côté meta assez bien foutu, sans compter que Margot Robbie et Ryan Gosling en font des caisses et sont irrésistibles.

Au final, même si c'est loin d'être un chef d'œuvre, j'ai passé un bon moment. Même si passé la surprise, j'ai tout de même trouvé que le film s'essouffle dans la dernière partie, sauvé par un final assez touchant.

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