Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
"La Petite Venise" raconte une histoire d'amitié, simple et dénuée de toute arrière-pensée (le sexe pour lui, l'argent pour elle) qui n'ignore rien de la bêtise des uns et de la violence de l'exploitation par les autres, mais choisit de ne pas céder.
La critique complète est disponible sur le site Charlie Hebdo
L'Express
par Christophe Carrière
Voir le site de L'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Jean Roy
Nous sommes là dans la postérité du néoréalisme, dont Andrea Segre fait son miel avec talent. Il y a là une flagrante attention aux décors et à ceux qui les occupent.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Journal du Dimanche
par Jean-Pierre Lacomme
(...) la caméra d'Andrea Segre sait se montrer chaleureuse et (...) exploite au mieux la photogénie de la lagune vénitienne.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Premier long-métrage d'un cinéaste jusqu'alors documentariste, "La Petite Venise" est un film lucide qui décrit, au-delà de la belle lumière sur l'eau, l'envers du décor.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Florence Colombani
Voir le site du Point.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Metro
par Valérie Levilain
Une odyssée attachante.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Paris Match
par Alain Spira
Authentique aquarelle cinématographique, cette "Petite Venise" est un bijou artisanal que vous aurez plaisir à porter autour du coeur.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Jean A. Gili
Filmée avec un regard qui n'oublie jamais que le cinéaste a d'abord été documentariste, "La Petite Venise", entre la nostalgie du temps qui passe et l'observation d'un milieu populaire en voie de disparition, touche juste.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Isabelle Danel
Nourri de détails justes (...), le film oscille joliment entre réalisme et onirisme. Malgré certaines longueurs et quelques trous dans le scénario sur la fin, il y a, dans "La Petite Venise", une qualité de regard pleine de grâce.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Sophie Grassin
La mise en scène sobre et sensible saisit par petites touches l'amitié presque muette de deux déracinés qui arrachent des instants de bonheur à l'intolérance.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Pierre Murat
Le réalisateur retrouve, en fait, la grande tradition du conte à l'italienne de jadis, le cinéma à la Vittorio De Sica, où le réalisme côtoyait la poésie, où les " gentils " étaient de doux rêveurs face à des " méchants " nostalgiques de leur pureté perdue... Chez Andrea Segre, les bons sentiments deviennent beaux, comme par miracle.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
par Caroline Vié
Deux excellents comédiens, Zhao Tao (...) et Rade Serbedzija (...) portent cette fable, dont la puissance fait oublier les maladresses.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Critikat.com
par Benoît Smith
Le film est moins intéressant dans l'attention qu'il porte à cette amitié défiant les préjugés que dans sa perception de la violence discrète qui l'entoure.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Elle
par Florence Ben Sadoun
Filmé juste à la hauteur du regard des hommes, ce qui rend si attachant ce joli petit film, "La petite Venise" est loin de la Venise des touristes.
La critique complète est disponible sur le site Elle
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Flotte sur tout le film une douce poésie, maintes fois contrariée (...) une Venise sans les flots de touristes. Plus encore qu'en une autre saison, la lumière y est somptueuse et changeante, chaude lorsque brille un généreux soleil d'hiver, froide quand montent les eaux inquiétantes de l'acqua alta.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Nathalie Zimra
Grande préoccupation du cinéma italien actuel, l'immigration occupe ici la place centrale. Ses problématiques viennent nourrir un film pétri d'humanité et de dignité, transcendé par la mélancolie de la lagune vénitienne.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Guillaume Sbalchiero
Pour son premier long métrage, Andrea Segre a tenté une esquisse à hauteur d'intime de la mondialisation en cours. Un pari ambitieux, mais gangrené par un manque cruel de rythme et par son oscillation incessante entre documentaire et fiction. Dommage, car cette "Petite Venise" aurait pu être un grand moment de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Le Monde
par Aureliano Tonet
Tout est beau et bon ici, un peu trop, peut-être.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Charlie Hebdo
"La Petite Venise" raconte une histoire d'amitié, simple et dénuée de toute arrière-pensée (le sexe pour lui, l'argent pour elle) qui n'ignore rien de la bêtise des uns et de la violence de l'exploitation par les autres, mais choisit de ne pas céder.
L'Express
Voir le site de L'Express.
L'Humanité
Nous sommes là dans la postérité du néoréalisme, dont Andrea Segre fait son miel avec talent. Il y a là une flagrante attention aux décors et à ceux qui les occupent.
Le Journal du Dimanche
(...) la caméra d'Andrea Segre sait se montrer chaleureuse et (...) exploite au mieux la photogénie de la lagune vénitienne.
Le Parisien
Premier long-métrage d'un cinéaste jusqu'alors documentariste, "La Petite Venise" est un film lucide qui décrit, au-delà de la belle lumière sur l'eau, l'envers du décor.
Le Point
Voir le site du Point.
Metro
Une odyssée attachante.
Paris Match
Authentique aquarelle cinématographique, cette "Petite Venise" est un bijou artisanal que vous aurez plaisir à porter autour du coeur.
Positif
Filmée avec un regard qui n'oublie jamais que le cinéaste a d'abord été documentariste, "La Petite Venise", entre la nostalgie du temps qui passe et l'observation d'un milieu populaire en voie de disparition, touche juste.
Première
Nourri de détails justes (...), le film oscille joliment entre réalisme et onirisme. Malgré certaines longueurs et quelques trous dans le scénario sur la fin, il y a, dans "La Petite Venise", une qualité de regard pleine de grâce.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
La mise en scène sobre et sensible saisit par petites touches l'amitié presque muette de deux déracinés qui arrachent des instants de bonheur à l'intolérance.
Télérama
Le réalisateur retrouve, en fait, la grande tradition du conte à l'italienne de jadis, le cinéma à la Vittorio De Sica, où le réalisme côtoyait la poésie, où les " gentils " étaient de doux rêveurs face à des " méchants " nostalgiques de leur pureté perdue... Chez Andrea Segre, les bons sentiments deviennent beaux, comme par miracle.
20 Minutes
Deux excellents comédiens, Zhao Tao (...) et Rade Serbedzija (...) portent cette fable, dont la puissance fait oublier les maladresses.
Critikat.com
Le film est moins intéressant dans l'attention qu'il porte à cette amitié défiant les préjugés que dans sa perception de la violence discrète qui l'entoure.
Elle
Filmé juste à la hauteur du regard des hommes, ce qui rend si attachant ce joli petit film, "La petite Venise" est loin de la Venise des touristes.
La Croix
Flotte sur tout le film une douce poésie, maintes fois contrariée (...) une Venise sans les flots de touristes. Plus encore qu'en une autre saison, la lumière y est somptueuse et changeante, chaude lorsque brille un généreux soleil d'hiver, froide quand montent les eaux inquiétantes de l'acqua alta.
Les Fiches du Cinéma
Grande préoccupation du cinéma italien actuel, l'immigration occupe ici la place centrale. Ses problématiques viennent nourrir un film pétri d'humanité et de dignité, transcendé par la mélancolie de la lagune vénitienne.
Les Inrockuptibles
Pour son premier long métrage, Andrea Segre a tenté une esquisse à hauteur d'intime de la mondialisation en cours. Un pari ambitieux, mais gangrené par un manque cruel de rythme et par son oscillation incessante entre documentaire et fiction. Dommage, car cette "Petite Venise" aurait pu être un grand moment de cinéma.
Le Monde
Tout est beau et bon ici, un peu trop, peut-être.