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Un visiteur
5,0
Publiée le 27 juillet 2012
C'est une série stressante, angoissant..... Il y a toujours de l'action c'est cela qui rend la série si bien aussi grâce à l'acteur qui est fait pour ce rôle. C'est une des série a suivre!
Un vrai condensé d'action, de rebondissements, de cliffhangers qui poussent à chaque fois à regarder la suite. Un héros charismatique qui sait tout faire à part mourir nous embarque dans ce qui, pour lui est sans doute une journée normale.
Un superbe film fidèle à l'univers de la série du meme nom et qui fait avancer l'intrigue de manière très intéressante il faut le dire. Il faut l'avoir vu entre les saisons 6 et 7 de la série !
Se situant entre les saisons 6 et 7 de la série ce téléfilm est une transition réussite entre les 2 saisons on peut juste regretter que le format soit trop court (1h23 seulement soir l'équivalent de 2 épisodes) mais 24 heures chrono - Redemption est assez riches en situations diverses.
Un film basé sur l'exeptionnel série 24h chrono et qui introduit la saison 7. Le scénario de cet épisode/film est un peu décalé de l'univers habituel de la série mais il est reste toujours dans le même esprit donc quand on aime 24 heures chrono, on va aimer ce film. Pour ce qui est des acteurs, Kiefer Sutherland est toujours aussi bon dans son rôle de Jack Bauer et c'est pareil pour les autres acteurs qui sont eux aussi bons. L'utilisation du temp réel rend un peu moins bien que dans la série car il n'y pas beaucoup de suspens et de rebondissements dans ce film. J'ai aimé ce film et j'ai eu plaisir à rerouver Jack Bauer. Je lui met une note de 15,7/20. Un film à voir pour tous les fans de 24h chrono.
Un bon épisode aussi palpitant que d'habitude... sauf qu'il dure 2 fois plus longtemps. Le passage au format téléfilm ne réussi pas au concept propre à la série : pour 80 minutes de film, on a 40 minutes haletantes (soit la durée d'un épisode classique...) pour 40 minutes monotones. L'aspect urgent qui fait la force de la série perd ici toute son intensité. Dommage...
Assez classique, ce film n'est rien d'autre qu'un très gros flashback de la saison 7. Sans rien apporter de spécial à la franchise 24. Les deux heures de la vie de Jack sont ici rapportées en 1h20. Seul point original: l'action ne se déroule pas sur le sol américain, mais africain. Même si le dynamisme est assez soutenu, le tout manque cruellement de suspense, qui est le point fort de 24.
sans aucun doute la meilleurs séries dans son genre, un suspens et une tension poignante de la première à la huitième saisons. J'attend le film avec impatience !
Un téléfilm pour faire la transition entre saison 6 et 7 pour combler le temps suite à la grève des scénaristes. On retrouve un Jack Bauer en Afrique toujours en quête d'anonymat et de rédemption. C'est efficace, la mise en scène est comme toujours maitrisée. C'est tout bon.
24 -série culte ayant marqué la décennie et révolutionné la télévision, on peut le dire alors qu'elle vient de se terminer- se décline en téléfilm dans un environnement inédit, et le moins que l'on puisse dire est que c'est dépaysant !
On introduit ici parfaitement la saison 7, qui fait plus fortement écho à ce téléfilm qu'on ne pourrait le croire au premier abord : ce n'est pas qu'un amuse-gueule de qualité, c'est une pièce essentielle à voir avant d'aborder le Day 7. Ce thème de la rédemption, de faire face à ses erreurs passées, se retrouve tout au long de la 7ème journée de Jack.
Il faut reconnaitre que ce téléfilm est un peu lent dans ses 40 premières minutes, la lenteur n'est pas nécessairement un défaut car avoir de l'action à gogo non-stop serait une erreur (cela dit la suite du téléfilm ne rentre pas dans cette catégorie non plus, 24 a toujours réussi à ne pas trop en faire à ce niveau, tout en restant un divertissement parfait).
Les paysages du Sangala (pays fictif, le téléfilm a été tourné au Cap) sont superbes et changent du Los Angeles urbain qu'on a connu pendant 6 saisons - avec cependant quelques passages au Mexique et à Washington DC, cette dernière prendra une place centrale pour la saison 7 par ailleurs, et on peut l'apercevoir dans ce téléfilm.
Sean Callery se surpasse encore avec des compositions originales de qualité (qui a fait l'objet d'un CD à part entière d'ailleurs), abordant des tons différents de ceux qu'il a employé sur la série par le passé.
Kiefer Sutherland nous montre toute l'étendue de son talent, comme d'habitude. Bref, après une relativement décevante 6ème saison, ce téléfilm apporte un bol de fraicheur qui sera poursuivi en saison 7, confirmant que 24 est toujours un drama de grande qualité.
Téléfilm qui pour moi n'est rien d'autre qu'un assemblage de deux épisodes de "24" mis bout à bout et n'avait de toute façon pas d'autres ambitions. L'histoire est bonne, Jack est toujours trop fort, en sériphage que je suis, j'étais très content de revoir le pourtant chiant Billy d'Ally Mc Beal qui tient un rôle des plus détestable. Nous avons eu de meilleurs épisodes, des moins bons. Le tout remplie son contrat même s'il n'apporte aucune touche supplémentaire, le scénario introduit parfaitement la nouvelle saison et donne absolument envie de se plonger dans la suite de cette série exceptionnelle !
Un téléfilm de bonne facture rendu indispensable par la grève des scénaristes et qui fait le lien entre la décevante saison 6 et l'excellente saison 7. On retrouve ainsi l'increvable Jack Bauer (Kiefer Sutherland égal à lui-même) qui tente de se faire oublier au beau milieu d'une guerre civile africaine, prouvant une fois de plus qu'il se trouve toujours au mauvais endroit au mauvais moment. On pourra d'ailleurs reprocher à l'histoire quelques facilités scénaristiques qui m'ont cependant moins dérangé que le rythme moins soutenu de la mise en scène (le format 1h30 ne convient pas à la série... ce qui devrait faire réfléchir les producteurs quant au projet de film actuellement dans les tuyaux) et l'absence des éléments indispensables de la série (dépaysement oblige) à commencer par les membres de feu la Cellule Anti-Terroriste. Mais il faut être tolérant, le téléfilm ne servant que de passerelle entre 2 saisons et devant davantage se voir comme un bonus afin de permettre aux spectateurs de se mettre quelque chose sous la dent. Le casting est d'ailleurs plutôt bien fourni avec le retour des quelques anciens (Powers Boothe, Peter MacNicol, Bob Gunton...), l'introduction des nouveaux (Cherry Jones, Colm Feore, Jon Voight, Isaach de Bankole, Tony Todd...) et des guest étonnants (Robert Carlyle en protecteur d'enfants et Gil Bellows en détestable bureaucrate). Et puis, l'esprit de la série est respecté (Bauer va se battre même contre son gré, un complot international va se tramer jusqu'aux plus hautes sphères du gouvernement US...) tout comme la bande-son si reconnaissable de Sean Callery.