Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
romano31
278 abonnés
1 543 critiques
Suivre son activité
4,0
Publiée le 19 février 2012
Ce Ghost Rider : L'Esprit de Vengeance est bien plus fort et bien plus puissant que son prédécesseur. En même temps, quand on voit qui est derrière la caméra (Mark Neveldine et Brian Taylor), on ne peut s'attendre qu'à du lourd. Le duo le plus fou du cinéma, à qui l'on doit les hallucinants Hyper Tension 1 et 2 et le plus ou moins réussi Ultimate Game, s'approprie le personnage de Ghost Rider pour nous livrer un film qui va à cent à l'heure avec des scènes d'action complètement folles et des effets spéciaux plus que réussis. Coté interprétation et scénario, ça ne vole pas bien haut et la 3-D n'est pas vraiment utile dans le film. Mais la réalisation et les scènes d'action sauvent le film qui est, par ailleurs, assez divertissant.
Depuis quelques années, la présence de Christophe Lambert à l'affiche d'un film est immanquablement le signe d'une bouse cinématographique. Le second opus de "Ghost Rider" n'échappe pas à cette règle. On nage en plein grand-guignolesque du début à la fin. La parodie de scénario met en scène des personnages aussi improbables que le (mauvais) sosie de De Niro, le clone de John Connor (sauf que sa mère, Sarah, est désormais mannequin chez Elite), un moine qui à force de travailler dans un scriptorium s'est mangé une imprimante (cocorico), un black visiblement représentant de commerce en lentilles de contact festives, enfin un Nicolas Cage qui décidément s'enlaidit au fur et à mesure des merdes dans lesquelles il tourne. Au final, c'est une véritable galerie des horreurs, on s'attend presque à ce qu'un Monsieur loyal se ramène pour nous demander quelque argent. On se demande même comment les mecs ont pu tourner leur bouse sans s'esclaffer de rire. Ce deuxième volume ne mérite donc pas la moindre attention, il finira comme il se doit aux oubliettes.
Une blague monumentale, digne des pire séries Z jamais réalisée. Nicolas Cage est honteux, le scénario est une grosse blague tout comme les effets spéciaux. A éviter de toute urgence.
Ce film Marvel fait figure d’ancêtre quand on voit l’évolution des films de cette série ces dernières années. Que de chemin parcouru depuis à tous les niveaux : jeu d’acteurs, réalisation, effets spéciaux et scénario. « Ghost Rider : L'Esprit de Vengeance » n’arrête pas d’utiliser les mêmes flash-backs à intervalle régulier : on a l’impression d’être devant une émission de télévision avant et après chaque coupure de publicité. De plus, ce film est vraiment trop mystique pour moi. Dire qu’il a quand même coûté 75 millions de dollars…
Exit Mark Steven Johnson et ses mauvaises idées, c'est maintenant au duo de réalisateur à l'origine d"Hyper Tension" qu'incombe la charge de réussir ce mi reboot - mi suite des aventures du cascadeur maudit. Paradoxalement ils arrivent à donner une ambiance plus sombre et proche du comic book tout en livrant un film qui donne une impression de brouillon, un bien pour un mal donc ou inversement qui n'arrive pas à redynamiser la franchise qui aura du mal à se relever après ça. L'action est toujours bien présente servie par de plans originaux et impressionnants de maîtrise mais au service d'un scénario très peu recherché, Johnny Blaze est chargé de protéger un jeune garçon des forces du mal qui le convoite, s'il réussit le Rider lui sera extirpé de son corps. Malheureusement c'est encore une fois dans l'adaptation que le film peine à convaincre. L'histoire laisse cette fois tomber le passé de Johnny Blaze pour se concentrer sur les interrogations intérieures du personnage et dévoiler enfin l'existence de l'esprit vengeur mais trop tard et sans vraiment d'explications. Les acteurs comme les effets-spéciaux sont bons mais on se prend encore à rêver beaucoup mieux pour ce héros qui a beaucoup à donner. Summum de la bêtise, le final dont on se demande encore d'où il sort.
J'ai rarement vu Nicolas Cage jouer aussi mal dans un film aussi mauvais avec un scénario aussi ridicule et des effets spéciaux si mal fait ! HEADTout est dit, film a éviter ou a regarder pour connaître l'histoire en vu de comprendre le 3eme volet qui, espérons-le, ne pourra être pire.
Suite à un premier épisode relativement correct, je m'attendais certainement à moins bien pour le second, en particulier pour les antécédants plus que médiocres des deux réalisateurs à la barre (Hyper Tension). Ainsi, j'ai volontairement regardé le film en outrepassant mon regard unique vers son scénario, recherchant plus un film assez bon pour passer le temps et rertouver Nicolas Cage (cela faisant bien longtemps que je n'avais pas vu un de ses films). En effet, si l'on regarde uniquement son scénario, mon appréciation se retrouve basse, bien basse. Car, faut-il réellement le dire, le scénario ne vaut pas un clou. Outre en plus une VF qui se révèle catastrophique et quelques incohérences par rapport à la mythologie du premier, la prestation de Cage se révèle bien inférieure à ce qu'il est capable de fournir et le côté de déjà vu commence sérieusement à se voir partout. Bref, hormis le plaisir de revoir Cage dans le costume du Rider, passez votre chemin.
Véritable nanar sur patte, "Ghost Rider : L'Esprit de Vengeance" se montre en tout point inférieur à son prédécesseur qui n'avait pourtant que peu de qualités à revendre. Roulant sur les routes de la misère, Johnny Blaze tombe dans le ridicule de l'enfantillage par des mimiques plus miteuses les unes que les autres. On déplorera la nouvelle participation de Nicolas Cage à ce projet à deux sous qui se montre d'une immaturité sans limites. Plus nunuche mais également beaucoup moins attractif du côté de son histoire, cette suite ne divertit n'y n'enjoue un public dépassé par une production qui n'aurait jamais atterri su grand écran sans sa tête d'affiche. Entre le cliché de la mère qui protège son fils et le méchant qui veut dominer le monde, c'est sûr qu'il y a de quoi lever les yeux aux ciel.
A n'en pas douter, Ghost Rider 2 est bien meilleur que son aîné. Cette fois-ci le côté décalé est accentué et totalement assumé à l'instar d'Hyper tension, le film barré réalisé par nos deux compères aux commandes de ce deuxième opus de Ghost Rider. Et c'est ce qui change toute la donne. La premier Ghost Rider était un film très premier degré mais il était risible au possible, ce qui faisait de lui un mauvais nanar. Dans Ghost Rider 2, tout est assumé, que ce soit les dialogues dignes d'une série Z ou les scènes burlesques et les réalisateurs en jouent, accentuant le côté psychédélique du héros. Pour ce qui est du reste, la mise en scène est, mine de rien, plutôt travaillée; les plans sont vifs et bien choisis; et les effets spéciaux sont étonnement très bien réalisés. Seul le scénario pèche un peu, mas j'ai envie de dire, Avengers a un scénario inexistant, et cela ne lui empêche pas d'être N°1 au box-office depuis des semaines donc au bout d'un moment, il faudrait que les spectateurs arrêtent leur hypocrisie.
On croit rêver. On a beau apprécier Nico pour cet acteur-personnage qui enchaîne les rôles les plus divers tant pour leur qualité que pour leur nature, ce Ghost Rider est une insulte au premier du nom tant il se tourne dans une pauvreté affligeante: décors absolument vides, exclusivement constitués de carrières, de déserts et de vieilles usines désaffectées ou non d'ailleurs... Comme si Nico, paix à son âme, avait phagocyté l'essentiel du budget. Inexistence visuelle accablante intellectuellement, inexistence scénaristique pesante, inexistence totale, en tout. Un film remarquable donc.
Curieusement, voilà un long-métrage pour lequel je me montrerai volontiers indulgent, ce Ghost Rider deuxième du nom s’affranchissant en effet de son risible prédécesseur : il ne s’agit donc pas d’une suite à proprement parler, L’Esprit de Vengeance lorgnant aussi du côté du reboot, mais avec Nicolas Cage toujours dans le rôle-titre. Bref, Mark Neveldine et Brian Taylor eurent la lourde tâche de succéder au calamiteux Mark Steven Johnson, et bien que ces derniers ne soient pas des pointures dans le domaine, force est de constater que leur Ghost Rider se veut légèrement plus consistant, honnête même vis-à-vis de ses prétentions : en ce sens exit le blockbuster raté, avec un budget revu à la baisse et une pléiade de détails l’apparentant davantage à une série B (Europe de l’est, abondances d’hommes de main etc) plutôt lourde dans sa globalité, mais bel et bien divertissante. L’intrigue ne vole pas haut en tout cas, on ne peut guère faire plus simpliste, fort d’une trame sans réel suspense mêlant fantastique et religion (cocktail ne me seyant guère au premier abord) ; l’atmosphère est toutefois bien plus probante cette fois-ci, notamment au gré du bon visuel animant le Ghost Rider, alors bien plus sombre (voire morbide). Il faut dire que le film s’éloigne des standards scénaristiques adoptés par le précédent opus, Johnny Blaze étant ici totalement à la merci de son dément alter-égo flamboyant ; et, heureusement, la mise en scène (certes pataude dans son ensemble) du duo de réalisateur donne lieu à quelques bonnes séquences d’action, où ce dernier parvient enfin à faire l’étalage de ses pouvoirs démoniaques (de façon correct voire plus). En somme la BO toujours rock’n’roll trouve ici chaussure à son pied, et ce en s’accordant à merveille au visuel oscillant entre débauche d’idiotie et bonnes trouvailles (à noter les apparitions obscures de Blackout, correctes mais recherchées) ; L’Esprit de Vengeance ne se prend donc pas vraiment au sérieux, et c’est tant mieux, lui permettant ainsi d’outrepasser son statut avéré de série B typique du genre. Car si l’on adopte un regard plus objectif, nul doute que ce long-métrage est des plus dispensables, sa capacité à divertir découlant aussi bien de son fond rustre que de sa forme sympathique ; reste à souligner la prestation une nouvelle fois peu probante de Nicolas Cage, néanmoins ici moins apathique, tandis que le casting pas trop ridicule est desservi par des protagonistes secondaires sous-approfondis. Vis-à-vis du volet estampillé Mark Steven Johnson ce Ghost Rider se veut donc louable de par ses faibles ambitions, et puis c’est tout.