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Un visiteur
3,0
Publiée le 26 septembre 2010
LE BRUIT DES GLACONS: la mort dans la peau. Sur un scénario très original, Bertrand Blier dresse une critique mordante sur un des tabous de notre société, en jouant jusqu'au bout la carte du décalage. Un film qui tantôt vous fiche le bourdon, tantôt vous fait rire (jaune le plus souvent) mais qui toujours vous surprend. Porté par deux acteurs qui confirment une fois de plus leur talent : Jean Dujardin imprégné (ou plutôt imbibé) du mal de l'artiste qui ronge son personnage et Albert Dupontel toujours aussi barré et dérangeant, dans le rôle du cancer évidemment!
Je ne pensais pas devoir un jour partir au milieu d'un film mais celui ci s'est révélé mortellement ennuyant: -aucune action -un rythme lent, -un film qui s'étire, s'étire.. Je ne souhaiterais à personne de voir ce film! >, l'affiche disait donc vrai..
Malgré le bon jeu des acteurs on s'attendait à ce qu'il y ait une histoire et non pas ce vide d' 1H47. Dans le genre comédie dramatique seul le côté dramatique a été retenu. Ennuyeux au possible.
Bertrand Blier signe un film anticonformiste et dérangeant sur un sujet tabou de notre société, la maladie. Jean Dujardin joue très bien, ce qui est suffisamment rare pour être souligné, mais Albert Dupontel en fait beaucoup trop, logique puisqu’il interprète un cancer, il se doit d’être un brin caricatural. Un film particulièrement étrange donc, présenté à tort comme une comédie décapante si l’on en croit la bande-annonce, alors qu’il s’agit plutôt d’un drame humain qui s’avère ennuyeux sur la longueur. Heureusement la fin optimiste offre une bouffée d’air frais...
Etant le premier film de Bertrand Blier que je vois, j'en suis ressorti très satisfait, autant pour les acteurs que la qualité du scénario. La première chose qui m'a incité à le voir, comme le casting qui comportait Dupontel et Dujardin, était le titre, que je trouvais très poétique et surtout très alléchant ( jeu de mots ). Je me suis beaucoup renseigné sur Blier et ses films avant d'aller le voir. Ses films étaient assez provocants, vulgaires. Il a gardé ses limites sur sa nouvelle oeuvres, même si certaines scènes peuvent choquer. Dujardin, insupportable d'habitude avec ses rôles comiques, devrait s'insérer dans la catégorie des rôles très dramatiques, je l'ai trouvé méconnaissable dans le rôle de l'alcoolique névrosé. Dupontel est hilarant, même s'il reste à moitié caché par Boyer. Malheureusement, j'ai trouvé Alvaro peu convaincante, presque inexpressive. La fin pour certains s'est révélé absurde, mais elle résoud le conflit interne des protagonistes, puisqu'ils quittent la maison pour vivre une nouvelle vie, en ayant manipulé leurs propres cancers. Mais leurs cancers étaient-ils une personnification de la peur d'avoir un cancer ? Une histoire psychologique, c'est ce qui a fait le charme du film.
Un film complexe et très particulier sur comment vivre avec un cancer. Jean Dujardin convainc dans son rôle d'écrivain alcoolique tandis que Dupontel énerve passablement. Ainsi le film est très inégal. Si le début est plutôt drôle malgré une histoire noire, la fin est tout simplement étrange...Au final, ce film laisse un sentiment mitigé ni vraiment mauvais ni vraiment génial... On retiendra surtout quelques phrases excellentissimes mais je vous les laisserai les découvrir si vous vous laissez tenter...
pas assez envoutant, manque de dynamique, trop de temps répétitifs, le thème du film va dans ce sens, certes, mais pas assez d'emprise sur le spectateur...
Après un début dont l'humour un peu lourd ne fait qu'à peine sourire, la fin part à la dérive totale. On cherche l'intérêt de certaines scènes et on hésite entre la condescendance et l'agacement devant un dénouement qui frise l'insulte. Le thème était prometteur, quelle déception !
je tenais pourtant à voir ce film...quelle déception...très mal joué, sans aucun humour ...pas du tout ce que laissait présager la bande annonce. Je suis sortie de la salle au bout de 20 minutes, première fois que cela m'arrive.