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Hastur64
222 abonnés
2 289 critiques
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2,5
Publiée le 3 mai 2014
J’avoue avoir un peu hésité à regarder un nouveau film tirer des livres de Stephenie Meyer de peur de me retrouver, comme dans « Twiligth », devant une niaiserie noyée de pudibonderie. Bon si le film n’est pas un monument de transgression il nous épargne un puritanisme trop affiché et un sentimentalisme de midinette. Pour adapter son roman de science-fiction l’écrivaine a eu la chance de tomber sur un excellent spécialiste du genre Andrew Niccol, réalisateur de l’inégalé « Bienvenue à Gattaca ». Las, si visuellement la patte du réalisateur est bien présente, il n’a pu muscler un scénario qui avec de bonnes bases n’arrive jamais à faire autre chose que survoler un sujet aux riches implications pour n’en tirer matière qu’à de fadasses historiettes d’amour. Le début du film commence plutôt bien avec ce décor futuriste un peu minimaliste (avec quand même des voitures chromées un brin ridicule, faut l’avouer), sur une invasion extraterrestre qui sans éradiquer l’espèce humaine physiquement l’a effacée psychiquement en occupant les corps avec leurs âmes. Bon ce n’est pas non plus vachement originale « Invasion » en 2007 ou la série « Stargate », pour ne citer que ceux-la, avait déjà fait le coup du squattage de corps. Mais si le paradigme posé est tout de même intéressant, le film perd un peu de sa force quand le film se met à tourner autour d’une triangulaire amoureuse et se perd alors dans les méandres de cette bluette qui enlève toute force à l’intrigue. Même l’excellente interprétation de Saoirse Ronan n’arrive pas à sauver le film du romantisme adolescent dans lequel il se noie. Alors, c’est quand même beaucoup mieux que tous les films de la saga « Twilight », mais scénaristiquement il y a quand même encore beaucoup de boulot pour que les films tirés de l’œuvre de Meyer soient autre chose qu’un hymne risible à une conception de l’amour digne d’un fantasme d’adolescente romantique. À voir tout de même pour se faire son opinion.
Une sacrée romance à l'eau de rose dont je ne suis pas la cible ! J'ai bien aimé le début, mais après ce n'est qu'un film pour adolescente. Ce film n'est pas pour moi ! Ni pour les fans de SF qui croient voir un film qui envoi sur les effets spéciaux.
Un film de SF qui aurait pu être intéressant avec une invasion alien qui ne se fait pas dans le sang et les larmes. Au lieu de ça, on a un film où beaucoup de choses nous agassent rapidement. La lutte intérieur de l'héroïne par exemple pour laquelle nous entendons constamment une deuxième voix. Dans Twillight, l'auteur avait trouvé une pseudo raison pour que les personnages s'embrassent. Mais dans les âmes vagabondes, ça s'embrasse à tout va comme si c'était normal: pathétique... Bref un film dans lequel on arrive pas à entrer...
Une love story sur fond de colonisation de l'espèce humaine...Mouais, ça ne sentait pas la réussite avant le visionnage... Et une fois le film terminé, et bien c'est le même sentiment qui prédomine. Un peu trop nian-nian à mon goût et 30 minutes en trop au montage!! 2 heures sans rythme, que c'est long!!
Ma femme avait lu le livre et très moyennement apprécié, c'est donc avec un peu de réticence que nous avons regardé ce film en blue-ray et ce fut une très bonne surprise, de la SF "soft" avec une histoire de romance pas trop nian-nian, le film tient principalement sur la cohabitation de l'alien parasite et de son hôte qui au final deviennent complices. Un bon film de SF destiné à un public large, quelques longueurs cependant.
Ce film est bien réalisé. Il a su se concentrer sur les sentiments au delà du simple conflit humain contre extraterrestre. L'idée a certes été reprise des Goa'uld (Stargate SG-1) et certaines scènes font penser à Twilight mais l'ensemble est cohérent, les personnages sont crédibles, les superbes décors aident astucieusement à faire ressentir les sentiments d'amour, compassion et espoir que vivent les derniers survivants.
"Les âmes vagabondes" est un recyclage édulcoré de l'idée de "Body snatchers" assaisonné de romantisme nunuche. Même si c'est visuellement pauvre, ça donnerait finalement quelque chose de pas si mal que ça à regarder... s'il n'y avait pas cette voix intérieure ridicule, procédé exploité à l'identique dans "La personne aux deux personnes"... pour son côté comique. C'est franchement pesant, et venant d'Andrew Niccol, qui a réalisé des films qui ont marqué la mémoire récente du cinéma, c'est quand même étonnant. Il y avait peut-être plus subtile et mieux à faire.
Très bon film. Il a tous les élèments d'un grand. Un scénario très original avec une morale finale intelligente. Une réalisation sans défauts et des acteurs vrais. Vraiment très intéressant.
Film qui montre la nature humaine dans toute sa complexité et sa beauté. Il est vraiment désolant de voir certaines critiques négatives... C'est une très belle histoire, je regrette de ne pas l'avoir vu en salle.
Alors que je m'attendais à un nanar monumental, ce film, que j'ai téléchargé par erreur en voulant récupérer "The Host" de Bing Joon-Ho, s'est avéré une bonne surprise.
Ce métrage, pétri de bons sentiments, est une sorte de fable universelle sur l'amitié et l'amour. Le jeu des acteurs, même s'il ne relève pas du génie, est très juste.
Le regarder en entier est un supplice que je ne souhaite à personne. Passer votre chemin devant autant de nullité qui vous ferais demandé où mais où est ce qu'est passé le budejet de 44 millions de dollars. Que fais Andrew Niccol? Après un Time Out plus que moyen il nous livre ici l'un des plus mauvais film de ces 5 dernières années. L'histoire... quelle histoire? passons!
Très impressionné par la performance de Saoirse Ronan : réussir à être aussi convaincante avec un scénario qui lui l'est carrément pas du tout (et cest un euphémisme). Heureusement la photographie est belle (y'a des sous quand même) et donne l'impression que tout ça est sorti d'un petit recueil que distribue les témoins de Jéhova.
Andrew Niccol s'est perdu (vendu ?) dans cette histoire ectoplasme de plan à trois . 114 mn de rien, infligeant de stupidité, une torture visuelle et sonore. Niaiserie Guimauve sort de ce corps qui aurais du mourir dès le début de cette immondice court métrage ! Ce qui dès le départ n'aurais jamais du naitre .