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Un visiteur
5,0
Publiée le 3 avril 2013
Vivement qu'il sorte, j'espère que le livre sera aussi bien que le film. Stephenie Meyer a encore une fois fait un super livre. Je croise les doigts pour qu'elle écrive une suite. Et je vous conseil vivement de le lire. Pour moi Les âmes vagabondes est le meilleur livre que j'ai jamais lu.
N'ayant pas lu le livre, j'ai trouvé le film vraiment super ! sachant que c'était écrit par l'auteure de Twilight je m'attendais à un film assez niais et au final je suis agréablement surpris !!!! Espérons une suite. Je ne regrette absolument pas d'avoir dépensé de l'argent pour voir ce film.
J'ai adoré le livre et je peux dire que je n'ai pas été déçu du film ! Il n'y a peut être pas tout les détails du livre mais le plus important y est... Et le résultat !? Du pur régal mélangé à des sentiments parfaitement bien ressentis !
Mielleux est le premier mot qui me vient pour les âmes vagabondes. On sent plus la patte de Stéphanie Meyer sur le film que celle d'Andrew Niccol , et c'est le problème. Les thèmes du film sont vu et revu et en plus mal traités.
Andrew Niccol aura-t-il été (comme beaucoup) l'homme d'un seul film ? On commence à se poser la question. Car après le chef d'oeuvre de science-fiction qu'est Gattaca , on est un peu plus déçu à chaque nouveau film. Après le ratage Time-Out, il se fourvoie une fois de plus. Ses Ames vagabondes sont d'un ennui sans nom...
Comme d'habitude Andrew Niccol pose de bonnes questions, super réalisateur, bon scénario mention spéciale pour la musique d'Antonio Pinto, magnifique. Quelques maladresses et un triangle amoureux complètement foireux. Le tout reste quand même plaisant.
"Les âmes vagabondes" est un recyclage édulcoré de l'idée de "Body snatchers" assaisonné de romantisme nunuche. Même si c'est visuellement pauvre, ça donnerait finalement quelque chose de pas si mal que ça à regarder... s'il n'y avait pas cette voix intérieure ridicule, procédé exploité à l'identique dans "La personne aux deux personnes"... pour son côté comique. C'est franchement pesant, et venant d'Andrew Niccol, qui a réalisé des films qui ont marqué la mémoire récente du cinéma, c'est quand même étonnant. Il y avait peut-être plus subtile et mieux à faire.
Adaptation du roman éponyme de Stephenie Meyer, Les Âmes Vagabondes est un très bon film de science-fiction injustement méconnu, scénarisé et réalisé par le talentueux Andrew Niccol. L'histoire nous emmènes dans un futur ou le monde a été envahi par des extraterrestres qui prennent possession des humains. A travers ce scénario nous allons suivre le destin de Mélanie, une jeune femme qui va devoir cohabiter avec l'âme qui a pris possession de son corps, et qui va partir à la recherche de son petit frère. Dès les premiers instants on se retrouvent happés par ce récit captivant de bout en bout pendant près de deux heures, même si la tournure que prend la seconde partie avec sa romance prononcée est légèrement moins intéressante. Pour autant, le concept même de l’œuvre est particulièrement prenant tout comme les sujets qu'il traite à travers ses différents thèmes, interrogeant ainsi sur la nature humaine. C'est évidemment via ses personnages que tout cela est développé, ces derniers étant plaisants et interprétés par un casting mettant à l'honneur la gente féminine. En effet Saoirse Ronan éblouit l'écran de par son visage à deux faces, poursuivis par une Diane Kruger déterminée. Du côté des messieurs, le rôle de William Hurt est également agréable, hélas on ne peut pas en dire autant de Jake Abel et Max Irons qui ont peu de présence à l'écran. Les échanges entre tous ces protagonistes offrent de jolis moments, mêlant les émotions notamment via des dialogues bien écrits. Si dans le fond quelques éléments sont perfectibles, le long-métrage est inattaquable dans sa forme tout simplement parfaite. La réalisation d'Andrew Niccol est un régal pour les yeux. L'univers crée nous embarques alors qu'il est d'une grande simplicité. Les véhicules métallisés et les regards hypnotisant des envahisseurs suffisent à rendre crédible cet ensemble. Surtout que les environnements désertiques naturels sont grandioses et superbement mis en valeur par la photographie lumineuse et soignée rendant une copie esthétiquement sublime. Ces images sont en plus accompagnées par une b.o. douce et mélodieuse dont les envolées émerveillent les oreilles quand l'action s'emballe. La fin pour sa part est satisfaisante bien qu'elle laisse en suspend pas mal de questions dont on aura jamais les réponses. Cela n'empêche pas Les Âmes Vagabondes d'être un excellent film à découvrir absolument tout comme l'ensemble de la filmographie du cinéaste derrière ce projet mémorable.
Qu'il est vide ce film... Pourtant Andrew Niccol nous avait habitué à des films puissants et innovants : "Gattaca", "Time Out", "Lord of War"... Mais là, le compte n'y est pas. Scénario déjà vu en mieux ailleurs. Ca sent le petit bras. Ça caquète beaucoup et ça agit peu. On ressent un manque de vision et d'envergure. Espérons que le bouquin soit meilleur. Et les acteurs sont largement en deçà de leur talent. William Hurt et Saoirse Ronan assurent le job minimum mais Diane Kruger a rarement été aussi mauvaise , pas qu'elle soit exceptionnelle d'habitude mais là ça sent la sinistrose. Et ne parlons pas des jeunes éphèbes transparents et inodores. Vide... 2/5
Après les 30 première minutes du film, je me suis demandé si j'allais pouvoir aller au bout... Certes il y avait là une idée à développer, et après lui avoir donné une chance... mais là franchement c'est plus souvent risible, des dialogues affligeant digne d'un dessin animé pour enfant de 3 ans, sans parler de l'actrice principale qui a autant de charisme qu'une huître... Des méchants qui sont gentils, je ne sais pas, j'ai du louper un truc et je n'ai pas du tout réussi à rentrer dans cette histoire. J'ai mis une demi étoile pour les paysages et une demi étoile pour les Lotus chromées... J'ajoute un grand soupir de soulagement à la fin
Un infâme navet d'anticipation mielleuse,malheureusement prévisible car adapté de la tâcheronne Stéphanie Meyer("Twilight",c'est elle). On se demande alors comment Andrew Niccol,réalisateur du cultissime "Bienvenue à Gattaca",mais dont le souvenir s'évapore de plus en plus,a pu se laisser tenter par ces questionnements adolescents existentiels sur fond de corps manœuvrés par des E.T,qui ressemblent à des post-hippies. La réponse est simple:la dimension existentielle et futuriste du roman. Cependant,il est impossible de faire des miracles avec un matériau si basique,et Niccol peut juste rajouter quelques belles prises de vues du Nouveau-Mexique. La partie SF est très très légère,avec juste deux âmes cohabitant dans le même corps de l'héroïne,qui ne pense qu'à vivre son "grand amour" d'adolescente. Lorsque le film finit par se concentrer sur le triangle amoureux avec les deux bellâtres de service,il sombre dans le ridicule le plus absolu. "Twilight" à côté,apparaît comme du Proust,c'est dire !! Catastrophe industrielle et artistique pour ce teen-movie girly qui se fout du public.
Je n'avais pas lu le livre, je ne savais donc pas à quoi m'attendre. On retrouve bien la de touche de Meyer et sa niaiserie. On met longtemps à rentrer dedans, la deuxième partie est pas mal mais la fin est nulle car trop candide (tout est pour le mieux dans le meilleur du monde), une fin à la Twilight donc. Bref film très très très moyen.